Sous la menace tu me demandes de me déshabiller lascivement devant la caméra. J'obéis bien que gênée et exhibe mes seins lourds en poire puis montre mes fesses rondes mais fermes. Comme tu insistes, devant l'objectif j'ouvre mes cuisses et approche ma main de mes longues et fines lèvres roses serrées. J'ai honte surtout que tu me dis que tu va me montrer à mon père, moi sa putain de fille en train de se branler. Tu filmes en gros plan ma vulve et mes doigts appuyant sur mon clito.
Tu me ramènes dans ma cellule et envois la k7 à mon père. Mais celui-là retourne sa colère contre moi en disant que je suis une petite pute.

Ayant fait croire à ton père que tu étais une vraie salope qui se déshabille sans rechigner et commence à se caresser, je décide de m'occuper personnellement de toi. Tout en te filmant, je t'attrape par les cheveux et te traîne jusqu'à une table. Cette fois-ci, tu te débats, mais je te calme en tirant d'un coup sec sur tes cheveux et en te giflant copieusement les seins. Une fois que tu es calmée, je te jette sur la table et t'y attache, bras et cuisses écartées ... la dernière image que je fais sur ce bout de film pour ton père en est une de ta chatte bien ouverte ...

Voyant qu'il faut aller plus loin, tu viens me tirer de ma cellule, toujours nue. Tu fixes la caméra et tu mets un masque. Tu me tire par mes cheveux longs je crie et gémis. Tu montres mon visage à la caméra pour qu'il voit bien que c'est moi sa fille. De nouveau je crie alors que tu m'entraines jusqu'à la table. Je résiste et tu me fais taire en claquant mes seins qui valsent sous les coups je n'ai jamais subi un tel traitement sur mes seins et je gémis de douleur. La caméra enregistre aussi mes cris et suppliques. Tu me soulève et m'allonge nue sur la table écartelée, m'attache en croix. Je gémis et pleurniche mais tu reprends la caméra sur l'épaule pour bien parcourir mon corps sur la bande ; montrer mon visage en larme puis tu descends et fais un gros plan sur ma vulve ouverte.