Hitomi

  • : Le Carnet d'Hitomi
  • Le Carnet d'Hitomi
  • : Une petite partie des scénarios érotiques co-écrits par Hitomi. Hitomi est une adulte qui se comporte souvent comme une gamine. Elle a gardé ses rêves d'enfant. Soyez indulgents envers elle.
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Mardi 28 octobre 2 28 /10 /Oct 17:13
Je respire à fond, regarde autour de moi, me remémore les salles traversées, par quoi allons nous commencé ? Non ce n'est pas possible je ne vais traiter ma femme comme cela, je ne vais pas la baiser comme une truie ou comme un putain, ça c'est bon pour les femmes la pétasse du voisin pas pour mon épouse chérie. A propos de cette femme, je la regarde, elle est à nouveau collée au dos de mon épouse, et comme il n'y a qu'une raison pour que quelqu'un d'autre que ma femme mette sa main à cette endroit, je suis obligé d'accepter qu'elle est entrain de caresser doucement ma fameuse épouse chérie, bougeant doucement ses doigts glissés dans l'entrecuisse. L'avantage de cette mini jupe, c'est qu'on est courant de tout ce qui se passe dessous.


Pendant le temps d'hésitation de mon mari, la soumise du voisin qui semble en pincer pour moi se colle de nouveau à mon dos. Sa main glisse sur mon bas ventre et vient plonger sous la mini en vinyle, ses doigts délicats trouvant facilement mes lèvres intimes gonflées et trempées. La sensation de ses doigts, des doigts de femme, qui me touchent, m'enfonce encore dans la recherche du plaisir. Mon bassin ondule sur ses doigts devant le regard de toutes les personnes présentes comme un appel au peuple.


Effaré par la situation je me demande comment se fait il que ma femme ne lui a pas encore donné une gifle, mais que ce soit mon épouse, qu'elle soit chérie ou pas, il me faut admettre que Voisine ouverte adore ces caresses, adore n'est peut être pas le bon mot, elle a les yeux mi-clos, remue doucement son bassin attendant la suite et probablement le plaisir. Je me souviens rapidement d'une phrase lue dans les logs des dialogues de ma femme : « Le plus dur dans la soumission n'est pas l'humiliation ou la douleur, le plus dur est de se découvrir soumise » Découvrir que son épouse est une soumise qu'elle adore ça et qu'elle en montre une excitation bien supérieure à celle de nos relations de couples n'est pas facile non plus.


Mon voisin toussote, je le regarde, il me montre discrètement voisine ouverte qui commence à jouir, en ce lieu, en ce moment il n'est plus possible de l'appeler mon épouse chérie. J'hésite un instant puis réagit, gifle voisine ouverte, aurais je jamais osé un tel geste sur mon épouse, tire un coup sec sur la laisse pour lui faire sortir le cul des doigts envoutant. « Qu'est ce que tu as petite salope, tu vas jouir comme çà comme une putain ? » Voisine ouverte me regarde un instant, un instant je revois ces yeux, ce regard qui a capturé mes sens quand nous commencions à nous fréquenter, depuis combien d'années n'ai je pas vu ce regard ? Et il faut que ce soit ici. Ben oui, c'est justement parce que nous sommes ici que j'ai la chance de revoir ce regard.


Emportée par le doux mouvement des doigts de la soumise du voisin, j'ondule haletante sans percevoir le signe du voisin à mon mari. Les yeux mi-clos sentant monter en moi le plaisir masturbée par la femme, je sors de ma rêverie d'un seul coup. Giflée brutalement, la douleur perce ma joue qui valse, mes yeux s'ouvrent en grand. Je suis choquée, jamais mon mari ne m'a battue et une chaleur envahissante monte à mon visage. Je n'arrive plus à réagir comme une épouse bafouée par une telle gifle. Je n'ai pas le temps de me plaindre car la laisse tire sur mon cou me forçant à avancer d'un pas vers lui. Ce qui est le plus frustrant n'est pas cette gifle ou cette reprise en main, c'est que les doigts de la soumise du voisin quittent mon entrecuisse qui palpite de désir. A mes oreilles parviennent les mots de cette voix que je connais si bien. Et pourtant, ce ne sont pas des mots habituels dans sa bouche mais des mots vulgaires, humiliants : « Qu'est ce que tu as petite salope, tu vas jouir comme ça comme une putain ? ». Ces mots blessants sont pourtant emprunts de vérité, j'étais sur le point de jouir debout devant tout le monde ... comme une putain ... Et cette façon de m'insulter, de me rappeler ce que je suis en train de faire, de me montrer la manière dont je me comporte trouve un écho au fond de mon âme. Je lève les yeux vers mon mari, en oubliant presque que c'est mon mari. Ce ne sont plus les yeux de l'épouse fidèle qu'il voit en plongeant son regard dans le mien. Ce sont les yeux emplis de désir d'une femme en chaleur cherchant à assouvir ses plus bas instincts. Tout dans mon regard réclame, il n'y a plus de lucidité, plus de tabous, plus de barrière. Juste l'envie...


Ce regard plus que tout autre chose, me donne envie de continuer, offrir l'occasion à voisine ouverte de me regarder d'autres fois comme cela devient une motivation, une excitation. Je ne peux plus marchander entre une éventuelle éducation bien pensante et un désir de vice, l'évidence est là par ce regard qui me frappe comme un fouet. Pourtant je balance encore, vais je moi-même faire subir les pires outrages à voisine ouverte. Un bref regard à mon voisin et sa soumise me donne la solution.



Je m'adresse à la compagne du voisin : « Toi attache voisine ouverte sur le lit de gynéco, attache bien ses bras au montant du lit, écarte bien ses cuisses avec les étriers, et attache les fortement dessus. Évidement tu remontes son espèce de cache sexe de catin de bordel » Je prononce ma phrase d'une traite, sur un ton plus ferme, plus doux, il ne m'est plus nécessaire de crier, je suis le maitre de voisine ouverte qui est ma soumise obéissante, en quelques heures de présence dans ce club, c'est une évidence clairement établie. Je vais me promener autour de la pièce sans plus me préoccuper de l'installation de voisine ouverte.


Toujours en laisse, j'halète d'un souffle rapide qui soulève ma poitrine. Je bois les paroles qui sortent de ta bouche et entends ta demande de m'attacher sur le lit gynéco. Je pousse un petit feulement incompréhensible pour un humain. Dans mon délire sexuel, des images montent de mon inconscient, je me vois attachée exhibée et c'est cela qui va m'arriver. L'envie de découvrir cette sensation me comble de joie. Loin de me montrer dégoutée ou choquée, m'appeler « Catin de bordel » me fait sourire d'un mouvement de lèvres pervers.


Elle monte avec des gestes mécaniques sur le lit comme si ce n'était pas encore tout à fait elle qui agissait, l'autre femme devenue mon assistance installe tranquillement, confortablement voisine ouverte sur lit, elle lui parle, lui masse les tempes, les seins, les cuisses en l'enserrant au moyen de large bande de tissu à velcro. Rapidement voisine ouverte se trouve immobilisée, cuisses écartées, la mini relevée, elle ferme les yeux, halète presque déjà doucement. Sa, presque complice va pour l'embrasser, pour aspirer sa bouche avec ses pulpeuses lèvres lorsqu'un coup de cravache violent la rappelle à l'ordre. Mon voisin a emprunté une cravache à un maitre présent et l'avertit par ce geste à ne pas dépasser la tache qui lui a été assignée, à ne pas sortir de sa condition de soumise. Immédiatement elle s'agenouille, baisse la tête et dit clairement, à haute et intelligible voix : « Je vous prie de m'excuser maitre, je vous prie de me punir » Mon voisin sans lui laisser le temps de se préparer assène 4 coups de cravache sur chacun de ses seins.


Presqu'avec envie, je me dirige vers la chaise gynéco vers mon destin sans hésitation. J'ai toujours détesté ces fauteuils gynécologiques qui ouvrent et expose d'une manière si vulgaire les chairs intimes des femmes. Bien sûr, c'est sans doute pratique pour le praticien, mais ce sont-ils déjà rendus compte de la situation dans laquelle ça nous mets, nous les femmes ? La soumise du voisin m'accompagne, ses gestes sont doux, ses mains exquises et je me prends à espérer de les sentir de nouveau entre mes jambes. Mais, elle dépose mes jambes sur les étriers m'ouvrant et pose des bandes a velcro pour empêcher mes cuisses de bouger. Je déguste cette sensation d'être contrainte ... enfin... je contracte mes muscles essayant de bouger mais mes deux jambes sont maintenant écartées écartelées même. Après quelques tests me montrant comment je suis obligée de rester ouverte, je ferme les yeux imaginant ce que voient les gens dans la salle. Mes longues et fines lèvres gonflées, mon clitoris tendu sous mon pubis, mon vagin légèrement ouvert de la cyprine brillant au fond de ma grotte. Je sens alors un frémissement électrique sur mes lèvres, c'est doux et si Hitomi embrassée par la soumise du voisin sensuel que je devine qu'il s'agit d'elle. Mon premier baiser avec une femme se finit trop tôt car j'entends claquer la cravache et la soumise se crisper avant de me quitter. Je l'entends demander la punition. Cela ma fait frémir, saurais je un jour moi aussi demander qu'on me punisse ? Je n'arrive pas à me redresser pour voir ce qui se passer mais j'entends la cravache s'abattre sur la soumise du voisin. Je distingue juste qu'il frappe devant. J'imagine avec excitation qu'il frappe ses seins et cela me rappelle mes fantasmes, la douleur sur mes seins si sensibles. La simple évocation de cette idée, me fait lâcher de nouveau une coulure de mon vagin alors que mes seins sont pointés gonflés.


Je prends mon temps pour revenir vers le lit où voisine ouverte est exposée aux yeux de tous comme une vulgaire poupée dans les vitrines de noël, je m'approche doucement, palpe doucement les seins de voisine ouverte et demande à celle qui l'a installée : « Elle mouille notre voisine ouverte cochonne » La soumise regarde son maître pour vérifier qu'elle a le droit de parle puis : « Votre voisine ouverte est prête et je crois que oui, elle est complètement prête » Ma question est superflue, n'importe quel homme en jetant un regard à la femme attachée sur le lit sait qu'elle est dans un état d'excitation maximum, proche de l'hystérie. Ses seins sont gonflés, ses tétons dressées de façon obscène, son ventre monte et descend grâce à de profonde inspirations, son sexe est luisant, sa mouille semble couler comme un ruisseau de sa chatte, son clito qui pourtant n'a rien d'extraordinaire pointe entre les replis des chairs des lèvres, sa tête est renversée en arrière, son regard presque extatique comme une offrande humaine lors des sacrifices maya. Oui voisine ouverte n'attend plus qu'un prêtre officie pour lui permettre enfin de libérer son plaisir.


La palpation d'un sein hyper tendu me fait réaliser que tu es là, que tu me regardes exhibée ainsi. Toi mon maître... J'entends la question sur le fait que je sois ouverte et la réponse de la soumise du voisin. Je n'ai aucun doute d'être en ce moment voisine ouverte, mon vagin réclamant fortement d'être comblé. Puis je vois le regard de mon mari détailler entre mes cuisses attachée ma chatte en feu. Ce qu'il voit ne me fait plus honte, cela me plait m'excite. Je suis exhibée et cela me rend encore plus folle de désir. Je veux lui donner envie. Je veux lui être offerte.
Par Hitomi - Publié dans : Le Passage à l'Acte (offline) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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