Hitomi

  • : Le Carnet d'Hitomi
  • Le Carnet d'Hitomi
  • : Une petite partie des scénarios érotiques co-écrits par Hitomi. Hitomi est une adulte qui se comporte souvent comme une gamine. Elle a gardé ses rêves d'enfant. Soyez indulgents envers elle.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil

Pour s'y retrouver

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

L'Erreur Judiciaire (online)

Mardi 23 septembre 2 23 /09 /Sep 20:13
Résumé de l'épisode précédent
Hitomi et Ayako sont arrêtées sur dénonciation d'une collègue jalouse. Dans le Fourgon, elles doivent subir les mauvais traitements infligés par les policières. Au tribunal, après un procès expéditif, elles sont envoyées dans un centre pénitencier pour femmes.

Hitomi emprisonnée

P dit (21:32) :
Tu viens d'être condamnée avec ton amie Ayako. Les policières vous trainent hors du tribunal
Hitomi dit (21:33) :
Oui nues sous nos vêtements le sexe en feu par le lubrifiant de la matraque mais complètement abasourdie par la condamnation
P dit (21:33) :
Vous traversez les bâtiments, on vous conduit vers le centre pénitentiaire
Hitomi dit (21:34) :
Nous marchons telles des fantômes sans comprendre
P dit (21:34) :
Vous traversez des couloirs, des cours... poussées a coups de matraque, ces mêmes matraques qui vous ont forcé dans la fourgonnette...
Hitomi dit (21:35) :
Les femmes prennent plaisir à nous pousser avec. Elles ricanent en nous les montrant la honte me submerge car je sais où elles sont passées
P dit (21:35) :
Elles insistent en expliquant que vous n'avez pas fini de les gouter, leurs matraques...
Hitomi dit (21:36) :
Nous avons toujours les baillons je réagis en les entendant elles veulent encore nous violer il faut faire quelques choses ... s'enfuir ? Mais c'est impossible
P dit (21:37) :
Après des couloirs et des cours, vous entrez dans un bâtiment d'accueil... elles vous conduisent dans une grande pièce, coupée en deux par un comptoir derrière lequel attendent deux gardiennes
P dit (21:37) :
Les policières qui vous ont amenées vous détachent enfin, retirent vos baillons
Hitomi dit (21:38) :
Nous regardons partout paniquées voyant encore des f sont-elles aussi perverses que les policières ... ?
Hitomi dit (21:38) :
Puis enfin nos bouches sont libres nous nous mettons à gémir ensemble que c'est une erreur que nous n'avons rien fait
P dit (21:38) :
Les gardiennes vous regardent passivement, d'un air mauvais. Les policières vous ordonnent de vous déshabiller
Hitomi dit (21:40) :
'Nooon arrêtez nous n'avons rien fait aidez nous appeler un juge ....' mais le regard des policières est froid et elles ne nous écoutent pas
P dit (21:40) :
Elles brandissent leurs matraques : silence... vous voulez encore des coups, les jaunes?
Hitomi dit (21:41) :
Je recule Ayako se blottit contre moi nous voyons les matraques
P dit (21:41) :
L'une passe sa matraque sur ta poitrine : tu obéis silencieusement? Ou je m'occupe encore de toi?
Hitomi dit (21:41) :
Je sens la matraque qui m'a violée ou a violée Ayako qui appuie sur mon sein je tremble puis résignée terrorisée je me déshabille...
P dit (21:42) :
Elles vous ordonnent de tout poser sur le comptoir, où les gardiennes ont amené des baquets, ou elles ont inscrit votre nom...
Hitomi dit (21:43) :
Je retire mon chemisier et ma jupe me retrouve complètement nue humiliée et les pose dans le baquet Ayako me rejoint je la vois de nouveau nue et dans mon esprit son sexe pris par la matraque me revient
P dit (21:44) :
Les gardiennes tendent alors deux colliers que les policières vous mettent au cou... deux colliers de cuir, cadenassés, avec une plaque portant vos matricules
Hitomi dit (21:45) :
Je gémis encore 'nooo n je vous en prie ...' mais les colliers se referment sur notre cou serré une plaque comme seul habillage
P dit (21:46) :
Elles vous menottent ensuite les poignets, devant cette fois ci... puis vous font avancer vers une autre salle
Hitomi dit (21:47) :
Les menottes froides se referment de nouveau sur nos poignets j'avance plaçant mes mains liées pour cacher mon sexe avec encore un peu de pudeur
P dit (21:47) :
Vous allez passer l'examen médical d'entrée... elles vous conduisent d'abord a la salle de douches : elles sont crasseuses, elles puent la sueur ces deux la... on va les récurer a fond
Hitomi dit (21:49) :
Un examen je regarde Ayako puis les douches malgré les insultes sur notre odeur, il est évident que le traitement dans le fourgon nous a fait suer nous acceptons volontiers la douche
P dit (21:49) :
Vous êtes conduites dans une grande salle de douche... elles vous font mettre au milieu de la salle, vous ordonnant de lever les bras très haut
Hitomi dit (21:50) :
Les mains liées on se retrouve au milieu de la pièce sans comprendre Ayako lève les bras je l'imite pas rassurée
P dit (21:51) :
Elles vous attachent les poignets à des chaines qui pendent du plafond... puis elles vous font écarter les jambes, vous attachant les chevilles à des anneaux fixes dans le sol
Hitomi dit (21:52) :
Nooon fais je en me retrouvant de nouveau attachée cette fois les bras en l'air mais trop tard elles écartent de nouveau mes jambes complètement nue offerte nous sommes de nouveau à leur merci
P dit (21:53) :
Elles sortent et vous laissent attachées ainsi... une bonne dizaine de minutes passent...
Hitomi dit (21:53) :
Je tire sur mes liens Ayako résignée me dis "c'est inutile laisse tomber ....
P dit (21:54) :
C'est finalement une gardienne qui revient (les uniformes des gardiennes et des policières sont différents, les gardiennes ont un badge avec leur nom), poussant deux filles vêtues juste d'une blouse
P dit (21:55) :
La gardienne s'appelle Emma...
Hitomi dit (21:55) :
Le temps dure une éternité mais enfin quelqu'un entre. Elles nous regardent nues ouvertes exhibées de façon obscène
P dit (21:58) :
visiblement, ce sont deux détenues amenées pour une corvée. Emma leur lance : Aziza, Kendra... nettoyez moi ces deux salopes, et faites leur une toilette complète!
Hitomi dit (21:59) :
Ayako et moi regardons les deux pauvres filles mais Emma parle déjà vulgairement de nous cette f ne m'inspire pas confiance
P dit (22:00) :
Les deux filles vous regardent d'un air blasé... plutôt méprisant... elles décrochent du mur des lances à eau et commence à vous laver au jet... à l'eau froide
Hitomi dit (22:01) :
Leurs yeux trahissent une certaine lassitude nous voyons les lances la peur nous étreint nous crions ensemble mais l'eau froide vient frapper nos corps qui se tordent
P dit (22:02) :
Emma sort et les laisse faire... quand elles se retrouvent seules les deux filles prennent aussitôt plus d'assurance, abandonnant leur air de soumission...
Hitomi dit (22:02) :
Ahhh je crie alors que le jet appuie sur mon ventre je vois leurs yeux changer
P dit (22:02) :
Elles ricanent en se moquant de vous... commençant à viser les endroits sensibles avec le jet... seins... sexe...
Hitomi dit (22:03) :
Leurs regards ... comme si elles se défoulaient le jet d'eau vient frapper mes seins je me tends en criant Ayako le reçoit entre ses jambes ouvertes en hurlant
P dit (22:03) :
"Tu te rends compte? Voila qu'il faut qu'on nettoie des bridées, maintenant... on va pas leur servir de masseuses, quand même!"
Hitomi dit (22:04) :
Comment cette f a t'elle pu nous laisser à la merci des ces deux détenues pleines de haines. A ce moment elle abat aussi le jet sur ma vulve l'eau froide sous pression m'arrache un cri
P dit (22:05) :
"T'inquiètes pas, la grosse est partie, on va s'amuser un peu" Aziza s'approche de toi : "ca te dirait que je te fasse jouir, jaune d'œuf?"
Hitomi dit (22:06) :
Elle approche j'ai peur de la lance dans ses mains 'noon je vous en prie libérez moi ... '
P dit (22:06) :
Elle a baissé un peu la force du jet... et avance la lance entre tes cuisses : t'a déjà joui au jet, salope?
Hitomi dit (22:07) :
La pression est moins forte elle avance le jet je sais que mon sexe est ouvert par le lubrifiant de tout à l'heure je réponds 'noon pas ça
P dit (22:08) :
Elle avance lentement le jet entre tes cuisses... commençant à l'introduire en toi...
Hitomi dit (22:08) :
Sous les yeux d'Ayako le jet approche entre mes cuisses dirigée dans mon vagin il me travaille je me cambre mon sexe le reçoit liquide froid et pourtant j'ai chaud 'nooon'
P dit (22:09) :
La force du jet, même amoindrie, aide aussi à écarter ta fente, aidant le bout de la lance à pénétrer
Hitomi dit (22:10) :
Ahhh nooon fais je alors que le jet entre en moi je sens l'eau dans mon vagin qui se remplit je me cambre tire sur mes liens le bout de lance me pénètre elle me remplit d'eau je râle
P dit (22:10) :
En face de toi, Aziza fait subir la même chose a Ayako qui pleure d'humiliation, cherchant ton regard des yeux
Hitomi dit (22:11) :
Nos regards se croisent subissant le même destin mon sexe est travaillé par l'eau qui entre me remplis et ressort entre mes cuisses je tremble sur mes jambes
P dit (22:12) :
Kendra ricane : il parait que ces bridées elles aiment les trucs bizarres... on va leur offrir ca, hein?
Hitomi dit (22:13) :
Je ne comprends pas ces rumeurs sur nos pratiques sexuels mais mon vagin se crispe sous le fait de l'eau mes joues roses trahissent mon excitation
P dit (22:14) :
Kendra se dresse contre toi, sa blouse maintenant complètement trempée moulant ses seins gonfles, ses tétons dresses
Hitomi dit (22:14) :
Je la sens contre moi alors qu'elle manie toujours la lance et le jet en moi
P dit (22:15) :
Elle commence à se frotter contre toi : quand on sera en cellule, je t'apprendrai à t'occuper de moi...
Hitomi dit (22:16) :
Elle se frotte contre moi. Moi qui n'ai jamais eu d'expérience lesbienne elle presse mes seins de sa poitrine tout en travaillant mon vagin à l'eau mes seins se tendent se dressent
P dit (22:17) :
Kendra te regarde : t'as vu ça, Aziza, elle a l'air super excitée, cette salope... on dirait qu'elle aime ca!"
Hitomi dit (22:17) :
L'autre me regarde et constate mon état que je ne contrôle plus malgré ma honte ma chatte à envie de jouir
P dit (22:18) :
Aziza répond : "oui, et celle la aussi, on dirait qu'elle aime encore plus voir sa copine se faire prendre par une fille!"
Hitomi dit (22:19) :
Alors que j'halète je vois effectivement le regard d'Ayako fixé sur la lance à l'entrée de mon vagin
P dit (22:19) :
Tu vois petit à petit ses yeux se révulser... tu réalises qu'elle est en train de jouir...
Hitomi dit (22:20) :
Je la vois fondre debout et moi je ne vais plus résister longtemps Kendra le sens et enfonce un peu plus la lance en moi je pousse un cri en me tendant sentant l'orgasme crisper mon vagin
P dit (22:21) :
Elle se penche pour lécher ton téton avec une langue agile, fouilleuse...
Hitomi dit (22:21) :
L'effet bien qu'inédit pour moi est immédiat je me tends en jouissant en criant fort mon plaisir
P dit (22:22) :
Elle continue à sucer, aspirer ton téton... ajustant la force du jet pour faire comme des à coups...
Hitomi dit (22:23) :
En jouissant elle me fait durer l'orgasme en m'accompagnant c'est fort et violent un orgasme comme je n'en ai jamais ressenti
P dit (22:23) :
En face de toi, Ayako semble avoir ressenti le même effet... elle est pantelante en face de toi, remuée par sa jouissance
Hitomi dit (22:24) :
Elle est juste soutenue par ses bras, ses jambes ne l'a portent plus je comprends que nous avons joui toutes les deux sous l'effet de la lance je tombe mollement moi aussi croisant le regard de ma violeuse
P dit (22:27) :
Kendra te lance un regard dominateur : "t'as compris comment faire jouir une fille, ma jolie? Tu verras, je t'apprendrai, tu me serviras de copine ici..."
Hitomi dit (22:28) :
Son regard me trouble elle vient de me faire jouir j'ai honte et ses mots sont lourds de sens... sa copine ...
P dit (22:29) :
Elle a prononce "copine" comme on aurait dit "esclave" ou serpillère"... ce que tu ne sais pas, c'est que dans les coutumes et habitudes d'ici, elle a mis la main sur toi en premier, donc tu lui appartiens
Hitomi dit (22:30) :
Oui je sens en elle une domination je sens le danger de lui appartenir et pourtant j'ai joui tellement fort que je suis déboussolée
P dit (22:31) :
En fait, c'est un cadeau que la gardienne leur a fait... pour services rendus...elles prennent maintenant des éponges rêches du savon, et vous récurent complètement.
P dit (22:31) :
S'amusant à insister sur vos seins, votre entrejambe, y revenant régulièrement...
Hitomi dit (22:32) :
Emma nous a donner à elles pour leur faire plaisir ... les éponges frottent durement notre corps nous reprenons constance nous tordant pour y échapper. Le sourire sadique de Kendra quand elle frotte ma chatte brutalement et que je gémis
P dit (22:33) :
Quand vous êtes bien propres, elles vont chercher des tablettes qu'elles posent à côté de vous... tout un matériel de coiffure... et elles commencent à vous couper les cheveux
Hitomi dit (22:35) :
Je me sens irrités sur tout le corps surtout les seins et le sexe puis je subis la coupe de mes longs cheveux je crie d'humiliation
P dit (22:36) :
"Tais-toi, salope! Ici c'est la règle pour tout le monde, si t'es pas contente je te rase!" (Elles ont elles aussi les cheveux assez courts)
Hitomi dit (22:36) :
Je me tais vaincue je ne peux rien faire que subir des larmes coulent sur mes joues
P dit (22:37) :
Quand elles ont fini, vous avez droit à un nouveau coup de jet pour retirer les cheveux
Hitomi dit (22:38) :
Nous crions mais bien que ce soit pénible le souvenir du jet en moi me perturbe m'excite même
P dit (22:38) :
Tu les vois ensuite qui s'agenouillent devant vous... commençant à enduire vos toisons de mousse à raser...
Hitomi dit (22:40) :
Je crie noooon pas ça avoir le sexe lisse pour une asiatique est quelque chose d'inimaginable Ayako elle ne dit rien et contemple mon sexe
P dit (22:41) :
En fait elles ne vous rasent pas complètement, elles se contentent de vous faire une toison en "ticket de métro", une barre fine qui remonte sur vos ventres...
Hitomi dit (22:42) :
Mais elle rase nos lèvres je sens le rasoir qui met mes lèvres intimes à nu j'ai honte et pourtant le regard d'Ayako se délecte du spectacle
P dit (22:43) :
Kendra ricane : "comme ca, on verra que tu es une soumise! Quand on aura le temps, on vous épilera complètement..."
Hitomi dit (22:43) :
Je la regarde et rebelle je lui jette "je ne suis pas une soumise ! Jamais !"
P dit (22:44) :
Tranquillement, elle se plante en face de toi, prend tes tétons entre ses doigts, et commence à les pincer en tournant : "qu'est ce que tu dis?"
Hitomi dit (22:45) :
Toujours attachée elle attrape mes mamelons et les pince les tords me faisant mal je serre les dents ne veux pas lui céder soutient son regard
P dit (22:46) :
Elle continue lentement... accentuant sa torsion et ses mouvements... en face de toi, Aziza fait de même avec Ayako qui a voulu te soutenir
Hitomi dit (22:46) :
La douleur de mes seins me fait grimacer de douleur elle continue perverse je souffre et finis par gémir de douleur baissant la tête vaincue
P dit (22:47) :
Ayako est en train d'élever la voix, gémissant de douleur : "oui, je suis à vous... je suis... votre esclave...»
P dit (22:47) :
Kendra te regarde en continuant : "on continue? Avec ta gouine aussi?"
Hitomi dit (22:48) :
Je l'entends céder s'offrir je ne peux pas faire ça "nooon arrêtez ... vous avez gagné
P dit (22:48) :
"Alors? Qui es tu, salope?"
Hitomi dit (22:49) :
"Je... je suis ta soumise .... "
P dit (22:50) :
Elle lâche enfin tes tétons, et Aziza en fait de même... elles vous sèchent avec des serviettes rêches
Hitomi dit (22:50) :
J'ai honte de moi honte d'avoir céder à cette femme je me laisse faire pour le séchage ou elle frictionne vigoureusement mes seins
P dit (22:52) :
Elles retirent alors leurs blouses pour en prendre d'autres, sèches, dans un placard... tu vois leurs corps, leur peau mate et cuivrée, leurs seins lourds et gonfles...
Hitomi dit (22:52) :
Elles sont nues elles aussi et se montrent mon regard se porte sur leurs seins ils me font envie et leur sexe. Ayako est aussi sous le charme malgré ce qu'elles nous ont fait subir
P dit (22:53) :
Elles se rhabillent et sortent, vous restez à nouveau seules... jusqu'a ce que la gardienne, Emma, revienne à son tour

Par Hitomi - Publié dans : L'Erreur Judiciaire (online)
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 16 septembre 2 16 /09 /Sep 20:47
Hitomi menottée
P dit (21:54) :
Je t'avais parlé d'une société futuriste... J'imagine d'une part, des lois qui permettent de transformer des peines de prison en peines de travail, qu'on doit effectuer chez des particuliers qui acceptent de vous loger... et de vous surveiller
Hitomi dit (21:55) :
Intéressant mais c'est un peu risqué pour les particuliers d'avoir des criminels chez eux non ?
P dit (21:56) :
Pas les crimes les plus graves, bien sur. Mais il y a beaucoup plus de condamnations, notamment pour toutes les atteintes à la morale... les comportements scandaleux, l'adultère, etc...
Hitomi dit (21:56) :
Oui c'est une société très stricte
P dit (21:57) :
Il faut être très prudent... mais une de tes amies, jalouse de toi parce qu'elle pense que tu dragues son petit copain... décide de t'"éliminer" de la circulation
Hitomi dit (21:58) :
Pourtant je suis au dessus de tout reproche je m'habille sagement ne provoque pas ne m'exhibe pas mais ... la délation peut faire des ravages
P dit (21:59) :
Elle envoie une lettre de dénonciation, affirmant que tu as une liaison lesbienne avec une de tes amies
Hitomi dit (21:59) :
Alors que je n'ai jamais touché à une f de ma vie, la lettre fait son chemin
P dit (22:00) :
Elle a envoyé des photos ou tu es allongée avec elle sur un canapé... couchée dans le même lit... juste des photos innocentes de vacances et de w-e ou vous vous reposiez, mais...
Hitomi dit (22:01) :
Il n'y a pourtant rien de scandaleux dans ces photos
P dit (22:02) :
Apparemment non... mais vous êtes couchées ensemble... et la lettre donne des précisions sur toutes vos rencontres... indiquant que celle qui l'écrit est une fille que vous voulez forcer à participer a vos ébats
Hitomi dit (22:02) :
Quelle conspiration ! Et la cellule de surveillance de la morale va s'y intéresser
P dit (22:03) :
Exactement. Et la pire humiliation, c'est qu'un inspecteur, et un agent dans l'uniforme très reconnaissable de cette cellule, viennent te chercher un jour à ton travail
Hitomi dit (22:04) :
La brigade des mœurs débarque sur le plateau dans lequel je travaille tout le monde les regarde les reconnait
P dit (22:05) :
Et ca ne plaisante pas. L'inspecteur te présente un mandat, l'agent te fait lever et te menotte les poignets dans le dos
Hitomi dit (22:06) :
Je suis sous le choc lorsqu'il s'adresse à moi. Tout le monde me regarde, j'ai beau dire que je n'ai rien fait c'est l'humiliation
P dit (22:07) :
Tu es poussée vers la sortie du bureau, menottée, sous les regards étonnés de tous tes collègues (sauf peut être une...)
Hitomi dit (22:08) :
Étonnés et choqués car ils savent que c'est un crime de morale dont je suis accusée ils me tirent malgré moi et m'emmènent malgré mes protestations
P dit (22:09) :
Ils te font sortir dans la rue, sous le regard des passants, et te poussent a l'arrière d'une fourgonnette ou t'attendent deux femmes flics en uniforme
Hitomi dit (22:09) :
Ils me poussent sans ménagement sous les regards des passants
P dit (22:11) :
À l'intérieur de la fourgonnette, les deux f te font asseoir sur un banc métallique, te fixant les menottes à un anneau derrière
Hitomi dit (22:12) :
Elles me manipulent comme une criminelle j'ai beau leur dire que je suis innocente je me retrouve attachée à l'anneau. Rageuse je tire dessus
P dit (22:13) :
Comme tu te débats, elles t'attachent les cheville sa des anneaux du sol, jambes écartées... et te forcent à avaler un bâillon boule
Hitomi dit (22:14) :
Elles prennent mes chevilles et les attachent volontairement écartée je crie et les insultes elle enfourne alors dans ma bouche un bâillon je me retrouve liée dans la fourgonnette
P dit (22:15) :
La fourgonnette roule un moment, s'arrête... un arrêt pendant lequel tes gardiennes se moquent de toi, te traitant de sale petite gouine
Hitomi dit (22:16) :
Je reçois les insultes en pleine face mais ne peut pas répondre je les vois et la façon dont elles m'ont écartés les jambes je me demande si ce ne sont pas elles les gouines ... je gémis dans mon bâillon
P dit (22:17) :
Après quelques minutes, la porte s'ouvre, l'inspecteur et l'agent poussent à l'intérieur ton amie, celle qui a été dénoncée avec toi, bien que vous n'en sachiez encore rien
Hitomi dit (22:17) :
Je regarde la porte s'ouvrir je suis attachée ne peux rien dire je vois mon amie je me demande ce qu'elle fait là
P dit (22:20) :
Elle subit presque aussitôt le même traitement que toi... elle se retrouve attachée, jambes écartées, bâillonnée, sur le banc juste en face de toi
Hitomi dit (22:20) :
Elle se débat un peu mais les deux femmes la mettent dans la même situation. Face à face nos regards se croisent sans comprendre et paniquées
P dit (22:22) :
La fourgonnette repart, les deux h à l'avant, les f vous contemplant en ricanant : regarde ces deux petites gouines... on a surement le temps de leur donner une bonne leçon
Hitomi dit (22:23) :
En entendant « gouine » mon amie a la même réaction que moi et leur jette un regard dédaigneux. J'essaie toujours de tirer sur mes liens en vain
P dit (22:23) :
En face de toi, la f commence à déboutonner le chemisier de ta copine, remontant sa jupe sur ses cuisses...
Hitomi dit (22:25) :
Je la vois faire elle l'a déshabille Ayako se rebiffe mais attachée ne peux rien faire je vois sa jupe remontée je suis sous le choc
Hitomi dit (22:25) :
(Ayako est japonaise aussi pur souche, je portais jupe longue et chemisier dessous culotte et sg blanc)
P dit (22:26) :
La gardienne qui s'est assise a côté de toi commence à te faire subir le même sort... déboutonnant ton chemisier pour découvrir ton sg...
Hitomi dit (22:27) :
hmmmm hmmm je gémis dans mon bâillon voulant hurler mais elle découvre mon sg et mes seins pressés à l'intérieur sous le regard d'Ayako l'une en face de l'autre exhibée l'une à l'autre pour la première fois
P dit (22:27) :
Elles ricanent : elles ont toutes des petits seins, ces chinetoques. J'vois pas pourquoi on leur donne des sg... allez, on va leur enlever
Hitomi dit (22:29) :
Je me crispe tire sur mes liens sur mes chevilles en grimaçant Ayako est sous le choc des insultes impossible de les laisser faire ... et pourtant
P dit (22:29) :
elles prennent chacune une sorte de lanière de cuir, vous la passant autour du cou... la fixant a un crochet au dessus de votre tête... vous forçant ainsi à rester le buste très droit, à moitié étranglées
Hitomi dit (22:30) :
La lanière de cuir se referme sur mon cou je suffoque dans le bâillon elle tire dessus me faisant mettre la tête droite à la verticale je suis terrorisée je distingue Ayako qui subit le même sort
P dit (22:31) :
Ta gardienne prend alors un cutter, sans doute confisqué à une délinquante... et tranche ton sg au milieu, entre tes seins
Hitomi dit (22:32) :
Je vois la lame du cutter approché de mon corps affolée je ne peux plus bouger je sens la lame entre mes seins je me tends puis sens le sg me quitter et libérer mes seins nus sous le regard d'Ayako
P dit (22:33) :
Malgré sa situation, elle est fascinée... elle a toujours été un peu séduite par toi... mais elle subit le même sort, tu vois ses seins apparaitre en face de toi
Hitomi dit (22:34) :
Je vois son regard sur mes seins offerts l'autre exhibe les siens je les découvre à mon tour moi qui n'ai jamais connu de f je suis obligée de regarder mon amie être mise à nue
P dit (22:35) :
Elles continuent en découpant les bretelles, vous retirant complètement vos sg... Ta gardienne prend un de tes tétons entre ses doigts, et commence à le pincer
Hitomi dit (22:36) :
Elle me fait mal le pince fortement je grimace mais ma tête liée je ne peux que subir sous le regard d'Ayako
P dit (22:38) :
Ayako subit la même chose... elles pincent vos tétons, les étirent, ricanant : c'est autre chose que de se gouiner entre vous, hein, les chinetoques? Ça vous plait?
Hitomi dit (22:38) :
Elles les pincent les étirent sans ménagement me faisant mal mais rapidement le traitement fait dresser mes mamelons qui pointent en direction d'Ayako je ne peux m'empêcher de regarder l'autre torturer ses seins
P dit (22:40) :
Elle aussi semble fascinée par le spectacle que tu offres... la gardienne remonte de plus en plus sa jupe sur ses cuisses, découvrant sa culotte
Hitomi dit (22:40) :
Ricanant et l'insultant elle la retrousse montrant sa culotte tendu entre ses cuisses écartées malgré moi mon regard se porte à cet endroit
P dit (22:41) :
Assis à l'avant, l'inspecteur se retourne de temps en temps pour profiter du spectacle
P dit (22:42) :
Ta jupe est plus longue.... plus difficile à remonter. Après quelques efforts, la f en coupe lentement la couture au cutter, la fendant très haut
Hitomi dit (22:43) :
J'entends le tissu être découper et le regard d'Ayako en face qui suis l'ouverture de ma jupe je me crispe mes jambes tirent sur les liens je me fatigue inutilement
P dit (22:44) :
Tu sens maintenant la main de la femme s'avancer entre tes cuisses écartées... frotter rugueusement ta culotte : hmmm... on va voir a quoi ca ressemble de la chatte de Viet!
Hitomi dit (22:45) :
Je vois dans le regard fixé d'Ayako que la main de la f approche entre mes cuisses ouvertes puis je sens le contact brutal sur ma culotte juste à l'endroit de mes lèvres je gémis humiliée sous les yeux de mon amie
P dit (22:46) :
Ayako subit le même sort... elle bouge légèrement dans ses liens, et tu constates qu'elle ne peut s'empêcher de te détailler du regard, horrifiée et fascinée
P dit (22:46) :
L'autre gardienne ricane c'est une Viet, la tienne? La mienne a l'air encore plus pute, ca doit être une de ces salopes de thaï
Hitomi dit (22:47) :
Alors que je sens qu'elle fixe mon entre jambe moi aussi je regarde l'autre appuyer sur sa culotte au niveau de son sexe de f nous accusons les insultes racistes mais nos regards restent fixés entre nos cuisses
P dit (22:48) :
Elles saisissent à nouveau leurs cutters... commençant par fendre vos culottes en longueur, les ouvrants sur vos fentes
Hitomi dit (22:48) :
Je sens et vois sur Ayako le cutter ouvrir le tissu juste au niveau de nos lèvres un geste plus loin et nous serions coupés je suis terrorisée
P dit (22:49) :
On aurait mieux fait de les renvoyer chez eux, ces foutus boat people. Regarde ces salopes... on va leur apprendre à se tenir
P dit (22:49) :
Elles ont fait leur découpe soigneusement... l'habitude? Maintenant, elles font glisser l'autre extrémité du cutter, arrondie, sur vos fentes
Hitomi dit (22:51) :
Elles maitrisent leur arts je comprends qu'elles ont l'habitude de terroriser de pauvres f comme nous que m'arrive t'il pourquoi suis je là j'ai envie de pleurer
P dit (22:51) :
Après avoir joué un peu ainsi, elles finissent de découper vos culottes, jetant les restes de cote... ca vous dirait, les gouines, de vous branler sur nos matraques?
Hitomi dit (22:52) :
Mes yeux suivent sur la vulve d'Ayako le jeu pervers de la f puis je vois enfin son sexe je suis surprise et troublée de regarder ainsi un sexe de f puis j'entends les deux f flics j'ai un mouvement de refus
P dit (22:53) :
Elles ricanent : regarde, elles s'en frétillent d'envie, ces salopes... on va leur faire plaisir... elles détachent leurs matraques de leur ceinture, et les enduisent d'une sorte de lubrifiant
Hitomi dit (22:54) :
Je sais qu'Ayako voit mon sexe autant que je vois le sien je vois les matraques d'une taille importante je comprends qu'elles vont nous violer de nouveau je gémis en me débattant
P dit (22:55) :
Avec le bout de la matraque, elles commencent à frotter votre toison, vos lèvres intimes... puis elles commencent à les enfoncer doucement
Hitomi dit (22:56) :
Je sens la matraque grosse frotter entre mes lèvres mon sexe offert je vois la matraque appuyer sur celui d'Ayako puis je sens la pression pour dilater mon vagin je me cambre en regardant l'autre matraque s'enfoncer dans le sexe d'Ayako
P dit (22:56) :
C'est super, ton lubrifiant, ca glisse bien, t'as trouve ça où ? - je l'ai pique a un type qu'on avait arrêté... tu vas voir, ça a une sorte d'effet chauffant, ca va les démanger de se faire ramoner la chatte, ces deux la
Hitomi dit (22:57) :
Je sens en moi la matraque progresser je vois la taille en face dans le sexe d'Ayako elle s'enfonce aussi je ressens soudain une chaleur dans mon vagin que m'arrive t'il je vois le même trouble en face
P dit (22:58) :
Les matraques s'enfoncent en vous... commençant à aller et venir au même rythme... glissant facilement, mais avivant cette sensation d'échauffement, d'excitation de votre intimité...
Hitomi dit (22:59) :
Les matraques s'enfoncent plus facilement que je n'aurai cru mon regard vois l'objet s'enfoncer dans le sexe d'Ayako qui luit je ressens la même chose mon sexe brûle et coule sous ce viol à la matraque
P dit (23:00) :
Elles s'arrêtent un moment, laissant les matraques enfoncées en vous, vous ordonnant de serrer les cuisses pour les garder. Et elles détachent de leurs oreilles leurs boucles d'oreilles à clip... pour les poser sur vos tétons
Hitomi dit (23:01) :
J'ai chaud mon sexe mouille la matraque en moi je sens que j'ai envie mais c'est impossible la matraque dans le sexe d'Ayako m'excite je suis perdue je ne comprends plus
P dit (23:02) :
Elles reprennent leurs matraques et continuent ce mouvement de va et vient... en face de toi, Ayako commence à se trémousser, elle aussi le regard noyé... te fixant avec fascination... gemissant... de plaisir???
Hitomi dit (23:04) :
Les clips se referment sur mes mamelons tendus la douleur se transmet dans mes seins jusqu'à mon sexe le mouvement reprends j'halète dans mon bâillon je regarde Ayako qui ondule comme si elle prenait du plaisir quelle honte ...
P dit (23:04) :
ca devient quasiment une certitude maintenant... elle ondule de tout son corps... laisse échapper des râles a travers le bâillon... se tend par à coups...
Hitomi dit (23:06) :
Ayako se crispe sur la matraque son sexe luit la f la sort complètement avant de lui enfoncer profondément et Ayako se cambre de plaisir je le vois et cela me trouble moi aussi mon sexe est en feu mes seins me renvoient des vagues de plaisir je résiste
P dit (23:07) :
Les deux femmes regardent Ayako : je t'avais dit qu'elles aimaient ca, ces putes jaunes... et toi, tu fais ta fière? Tu préférerais qu'on te l'enfonce dans le cul, hein?
Hitomi dit (23:08) :
Je vois le sexe d'Ayako ouvert réclamant je transpire je sens le plaisir en moi mais je refuse de l'accepter puis la menace me fait horreur et ça se lit dans mes yeux
P dit (23:08) :
Elles ricanent : regarde comme elle en a envie... t'inquiète pas, ma salope, en prison t'auras tout le temps de te faire enculer par les negresses
Hitomi dit (23:09) :
Leurs plaisanteries sadiques m'indiquent la destination et je comprends que là-bas ce sera pire moi qui suis vierge par derrière j'imagine le pire
P dit (23:11) :
La fourgonnette commence à ralentir, les h annoncent que vous arrivez au centre judiciaire.
P dit (23:11) :
Du coup, les f rangent leurs matraques, retirent les pinces de vos tétons... reboutonnent - à peine - vos chemisiers
Hitomi dit (23:12) :
Ayako continue de se trémousser visiblement avec l'envie de jouir les pinces nous quittent mes les seins restent pointés elles remettent nos jupes sur nos sexe nus en feu dégoulinant
P dit (23:13) :
Peu après la camionnette s'arrête dans une des arrières cours du centre judicaire (commissariat, comité de sécurité morale, tribunal, prison...). Elles vous détachent de vos bancs et vous font sortir, menottées et bâillonnées
Hitomi dit (23:14) :
Elles nous poussent nous deux encore sous le choc du viol nue sous nos vêtements et surtout les chattes en feu frustrées
P dit (23:15) :
Les chemisiers à peine reboutonnés, l'impression d'être presque seins à l'air... les h et les f vous conduisent tous les 4 vers une petite salle de tribunal
Hitomi dit (23:15) :
Elles nous poussent je sens l'air sur mes seins tendus le souvenir des clips sur mes mamelons
P dit (23:16) :
Vous allez être mises en examen... un détenu sort encadre par deux gendarmes, tout juste condamne... on vous fait avancer a votre tour vers le box des accuses
Hitomi dit (23:17) :
Les baillons toujours sur la bouche impossible de nous défendre nos regards se croisent paniquées
P dit (23:18) :
Les f fixent au sol deux sortes de barres en T, la petite poutre verticale à hauteur de vos aisselles. Les h vous y poussent vous faisant passer les bras autour, poignets ainsi retenus en arrière, la barre poussant entre vos bras et votre dos
P dit (23:20) :
Ensuite, elles fixent vos chevilles à des anneaux du sol, jambes écartées
Hitomi dit (23:20) :
Ils nous attachent sur ces T comme des condamnées dangereuses. Immobilisées les bras dans le dos
P dit (23:20) :
Dans cette position qui vous cambrent, tes seins semblent près à sortir du chemisier a peine boutonné
Hitomi dit (23:21) :
De nouveau ils écartent nos jambes et les fixes jambes écartées bras an arrière penchée en avant je subis une position humiliante
P dit (23:21) :
Les gardiennes se mettent debout derrière vous, comme pour vous surveiller
Hitomi dit (23:22) :
Impossible de bouger je sens mes seins visibles
P dit (23:22) :
L'inspecteur se tourne vers le juge et demande une procédure de MOF
Hitomi dit (23:22) :
Nous ne comprenons pas le terme mais ne pouvons pas parler de toute manière
P dit (23:23) :
Le Maintien à l'Ordre Force : pour les prévenus particulièrement agités, violents, insultants, il peut être décidé d'examiner leur dossier en les empêchant de troubler l'ordre public...
Hitomi dit (23:23) :
Mais nous n'avons rien fait nous ne sommes pas dangereuses !
P dit (23:23) :
L'inspecteur témoigne sous serment que vous avez été violentes, que vous les avez insultés pendant tout le trajet, que vous vous êtes débattues violemment...
P dit (23:24) :
L'agent et les gardiennes viennent contresigner sa déposition
Hitomi dit (23:24) :
Nos yeux s'écarquillent nous ne pouvions pas parler nous avons été violés c'est de l'abus de pouvoir
Hitomi dit (23:24) :
Je croise leur regard un instant dans son œil le vice et le sadisme
P dit (23:25) :
Le juge examine alors votre dossier... il lit la lettre, dont vous découvrez le contenu avec stupeur...
P dit (23:25) :
Il fait passer les photos, vous ensemble, allongées côte à côte, ou vous tenant par les épaules...
Hitomi dit (23:25) :
Je reconnais les photos mais il n'y a rien de mal
P dit (23:25) :
Autant d'attitudes innocentes mais qui semblent soudain vous accuser irrémédiablement, à leurs yeux
P dit (23:26) :
Finalement, le juge tranche : pas la peine de perdre du temps avec un procès, on peut constater le délit
Hitomi dit (23:26) :
On gémit toutes les deux dans nos baillons
P dit (23:27) :
Les accusées sont condamnées à 18 mois d'emprisonnement, dont 12 avec sursis. La peine est commuable en TSP.
Hitomi dit (23:27) :
J'accuse le coup 18 mois alors que je n'ai rien fait
P dit (23:27) :
Le jugement est rendu, les gardiennes vous détachent pour vous entrainer
Hitomi dit (23:27) :
Nous sommes effondrées on se laisse guidées
P dit (23:28) :
Les Travaux en Situation Privative sont une possibilité d'effectuer votre peine en travaillant pour un employeur prive, particulier ou entreprise, qui prend a sa charge votre hébergement. Une mesure qui permet de vider un peu les prisons...
P dit (23:29) :
La mesure ne s'applique pas aux condamnes pour crimes, délits graves... et normalement, pas non plus à celles qui sont supposes avoir un comportement violent...
P dit (23:30) :
En attendant, on vous emmène directement vers les cellules...
Hitomi dit (23:30) :
Dans les couloirs nous sommes trainées comme deux fantômes qui ne comprennent rien à ce qui leur arrivent
Par Hitomi - Publié dans : L'Erreur Judiciaire (online)
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 16 septembre 2 16 /09 /Sep 20:45
Cette histoire se déroule dans un monde proche du nôtre et en même temps avec ses propres lois. P est plein d'imagination et dispose de nombreuses références littéraires (pas comme moi ^^). Il a donc imaginé tout un background cohérent à cette histoire.

Je cite ici un peu les fondements de cet univers parallel :

"Brave New World", c'est le titre original anglais du roman d'Aldous Huxley, traduit en français : "Le Meilleur des Mondes". C'est un livre intéressant, datant des années 30, qui décrit un univers futuriste où tout est organisé. Le nouveau dieu est Ford (dans les années 30, Henry Ford était le pionnier des usines au travail à la chaîne), le symbole n'est pas la croix mais le T (la Ford T a été la première voiture bon marché que les moins riches pouvaient s'offrir). Les relations sexuelles sont libres et stérilisées, tous les bébés sont des "bébés-éprouvette".

Il y a quatre classes dans la société, Alpha, Bêta, Gamma et Delta (les 4 premières lettres de l'alphabet grec!). La classe à laquelle un individu appartient dépend du traitement de l'embryon qui a produit le "bébé-éprouvette".

Avec un embryon, on fabrique un bébé Alpha, un futur membre de la caste supérieure des dirigeants de cet univers.
Si on scinde l'embryon en deux, on fabrique deux Bêtas, la classe des chefs.
Si on le scinde encore en deux, on fabrique quatre Gammas, la classe "moyenne".
Si on le scinde encore en deux, on fabrique huit Deltas, la classe des ouvriers.

Chaque classe a ainsi un intellect et des capacités plus ou moins développées. Tout est organisé pour que chacun soit pourvu des besoins adaptés à sa classe (travail, distractions, etc...), de sorte que tout le monde est heureux dans ce "meilleur des mondes".
Heureux et bien conditionné. Sauf les Alphas qui sont les seuls libres-penseurs. Il ya d'ailleurs même une zone ou on isole les Alphas qui craquent et ne supportent plus cette organisation. Les autres classes sont trop conditionnées pour penser différemment.
L'organisation que tu ne vas pas tarder à découvrir est basée sur ce Brave New World. Ses membres appartiennent à une des quatre classes et participent à l'organisation suivant leur rang.
Ah oui, un petit détail : ce n'est pas forcément le meilleur des mondes pour tous. Ici, les Deltas sont bien plus des esclaves que des ouvriers. Mais tu ne vas pas tarder à le comprendre...


Merci à P pour ce scénario que j'aime beaucoup et pour donner de la couleur au monde dans lequel ce déroule cette histoire. Ce qui permet de s'y investir encore plus.
Par Hitomi - Publié dans : L'Erreur Judiciaire (online)
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus