Hitomi

  • : Le Carnet d'Hitomi
  • Le Carnet d'Hitomi
  • : Une petite partie des scénarios érotiques co-écrits par Hitomi. Hitomi est une adulte qui se comporte souvent comme une gamine. Elle a gardé ses rêves d'enfant. Soyez indulgents envers elle.
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Mardi 16 septembre 2 16 /09 /Sep 20:47
Hitomi menottée
P dit (21:54) :
Je t'avais parlé d'une société futuriste... J'imagine d'une part, des lois qui permettent de transformer des peines de prison en peines de travail, qu'on doit effectuer chez des particuliers qui acceptent de vous loger... et de vous surveiller
Hitomi dit (21:55) :
Intéressant mais c'est un peu risqué pour les particuliers d'avoir des criminels chez eux non ?
P dit (21:56) :
Pas les crimes les plus graves, bien sur. Mais il y a beaucoup plus de condamnations, notamment pour toutes les atteintes à la morale... les comportements scandaleux, l'adultère, etc...
Hitomi dit (21:56) :
Oui c'est une société très stricte
P dit (21:57) :
Il faut être très prudent... mais une de tes amies, jalouse de toi parce qu'elle pense que tu dragues son petit copain... décide de t'"éliminer" de la circulation
Hitomi dit (21:58) :
Pourtant je suis au dessus de tout reproche je m'habille sagement ne provoque pas ne m'exhibe pas mais ... la délation peut faire des ravages
P dit (21:59) :
Elle envoie une lettre de dénonciation, affirmant que tu as une liaison lesbienne avec une de tes amies
Hitomi dit (21:59) :
Alors que je n'ai jamais touché à une f de ma vie, la lettre fait son chemin
P dit (22:00) :
Elle a envoyé des photos ou tu es allongée avec elle sur un canapé... couchée dans le même lit... juste des photos innocentes de vacances et de w-e ou vous vous reposiez, mais...
Hitomi dit (22:01) :
Il n'y a pourtant rien de scandaleux dans ces photos
P dit (22:02) :
Apparemment non... mais vous êtes couchées ensemble... et la lettre donne des précisions sur toutes vos rencontres... indiquant que celle qui l'écrit est une fille que vous voulez forcer à participer a vos ébats
Hitomi dit (22:02) :
Quelle conspiration ! Et la cellule de surveillance de la morale va s'y intéresser
P dit (22:03) :
Exactement. Et la pire humiliation, c'est qu'un inspecteur, et un agent dans l'uniforme très reconnaissable de cette cellule, viennent te chercher un jour à ton travail
Hitomi dit (22:04) :
La brigade des mœurs débarque sur le plateau dans lequel je travaille tout le monde les regarde les reconnait
P dit (22:05) :
Et ca ne plaisante pas. L'inspecteur te présente un mandat, l'agent te fait lever et te menotte les poignets dans le dos
Hitomi dit (22:06) :
Je suis sous le choc lorsqu'il s'adresse à moi. Tout le monde me regarde, j'ai beau dire que je n'ai rien fait c'est l'humiliation
P dit (22:07) :
Tu es poussée vers la sortie du bureau, menottée, sous les regards étonnés de tous tes collègues (sauf peut être une...)
Hitomi dit (22:08) :
Étonnés et choqués car ils savent que c'est un crime de morale dont je suis accusée ils me tirent malgré moi et m'emmènent malgré mes protestations
P dit (22:09) :
Ils te font sortir dans la rue, sous le regard des passants, et te poussent a l'arrière d'une fourgonnette ou t'attendent deux femmes flics en uniforme
Hitomi dit (22:09) :
Ils me poussent sans ménagement sous les regards des passants
P dit (22:11) :
À l'intérieur de la fourgonnette, les deux f te font asseoir sur un banc métallique, te fixant les menottes à un anneau derrière
Hitomi dit (22:12) :
Elles me manipulent comme une criminelle j'ai beau leur dire que je suis innocente je me retrouve attachée à l'anneau. Rageuse je tire dessus
P dit (22:13) :
Comme tu te débats, elles t'attachent les cheville sa des anneaux du sol, jambes écartées... et te forcent à avaler un bâillon boule
Hitomi dit (22:14) :
Elles prennent mes chevilles et les attachent volontairement écartée je crie et les insultes elle enfourne alors dans ma bouche un bâillon je me retrouve liée dans la fourgonnette
P dit (22:15) :
La fourgonnette roule un moment, s'arrête... un arrêt pendant lequel tes gardiennes se moquent de toi, te traitant de sale petite gouine
Hitomi dit (22:16) :
Je reçois les insultes en pleine face mais ne peut pas répondre je les vois et la façon dont elles m'ont écartés les jambes je me demande si ce ne sont pas elles les gouines ... je gémis dans mon bâillon
P dit (22:17) :
Après quelques minutes, la porte s'ouvre, l'inspecteur et l'agent poussent à l'intérieur ton amie, celle qui a été dénoncée avec toi, bien que vous n'en sachiez encore rien
Hitomi dit (22:17) :
Je regarde la porte s'ouvrir je suis attachée ne peux rien dire je vois mon amie je me demande ce qu'elle fait là
P dit (22:20) :
Elle subit presque aussitôt le même traitement que toi... elle se retrouve attachée, jambes écartées, bâillonnée, sur le banc juste en face de toi
Hitomi dit (22:20) :
Elle se débat un peu mais les deux femmes la mettent dans la même situation. Face à face nos regards se croisent sans comprendre et paniquées
P dit (22:22) :
La fourgonnette repart, les deux h à l'avant, les f vous contemplant en ricanant : regarde ces deux petites gouines... on a surement le temps de leur donner une bonne leçon
Hitomi dit (22:23) :
En entendant « gouine » mon amie a la même réaction que moi et leur jette un regard dédaigneux. J'essaie toujours de tirer sur mes liens en vain
P dit (22:23) :
En face de toi, la f commence à déboutonner le chemisier de ta copine, remontant sa jupe sur ses cuisses...
Hitomi dit (22:25) :
Je la vois faire elle l'a déshabille Ayako se rebiffe mais attachée ne peux rien faire je vois sa jupe remontée je suis sous le choc
Hitomi dit (22:25) :
(Ayako est japonaise aussi pur souche, je portais jupe longue et chemisier dessous culotte et sg blanc)
P dit (22:26) :
La gardienne qui s'est assise a côté de toi commence à te faire subir le même sort... déboutonnant ton chemisier pour découvrir ton sg...
Hitomi dit (22:27) :
hmmmm hmmm je gémis dans mon bâillon voulant hurler mais elle découvre mon sg et mes seins pressés à l'intérieur sous le regard d'Ayako l'une en face de l'autre exhibée l'une à l'autre pour la première fois
P dit (22:27) :
Elles ricanent : elles ont toutes des petits seins, ces chinetoques. J'vois pas pourquoi on leur donne des sg... allez, on va leur enlever
Hitomi dit (22:29) :
Je me crispe tire sur mes liens sur mes chevilles en grimaçant Ayako est sous le choc des insultes impossible de les laisser faire ... et pourtant
P dit (22:29) :
elles prennent chacune une sorte de lanière de cuir, vous la passant autour du cou... la fixant a un crochet au dessus de votre tête... vous forçant ainsi à rester le buste très droit, à moitié étranglées
Hitomi dit (22:30) :
La lanière de cuir se referme sur mon cou je suffoque dans le bâillon elle tire dessus me faisant mettre la tête droite à la verticale je suis terrorisée je distingue Ayako qui subit le même sort
P dit (22:31) :
Ta gardienne prend alors un cutter, sans doute confisqué à une délinquante... et tranche ton sg au milieu, entre tes seins
Hitomi dit (22:32) :
Je vois la lame du cutter approché de mon corps affolée je ne peux plus bouger je sens la lame entre mes seins je me tends puis sens le sg me quitter et libérer mes seins nus sous le regard d'Ayako
P dit (22:33) :
Malgré sa situation, elle est fascinée... elle a toujours été un peu séduite par toi... mais elle subit le même sort, tu vois ses seins apparaitre en face de toi
Hitomi dit (22:34) :
Je vois son regard sur mes seins offerts l'autre exhibe les siens je les découvre à mon tour moi qui n'ai jamais connu de f je suis obligée de regarder mon amie être mise à nue
P dit (22:35) :
Elles continuent en découpant les bretelles, vous retirant complètement vos sg... Ta gardienne prend un de tes tétons entre ses doigts, et commence à le pincer
Hitomi dit (22:36) :
Elle me fait mal le pince fortement je grimace mais ma tête liée je ne peux que subir sous le regard d'Ayako
P dit (22:38) :
Ayako subit la même chose... elles pincent vos tétons, les étirent, ricanant : c'est autre chose que de se gouiner entre vous, hein, les chinetoques? Ça vous plait?
Hitomi dit (22:38) :
Elles les pincent les étirent sans ménagement me faisant mal mais rapidement le traitement fait dresser mes mamelons qui pointent en direction d'Ayako je ne peux m'empêcher de regarder l'autre torturer ses seins
P dit (22:40) :
Elle aussi semble fascinée par le spectacle que tu offres... la gardienne remonte de plus en plus sa jupe sur ses cuisses, découvrant sa culotte
Hitomi dit (22:40) :
Ricanant et l'insultant elle la retrousse montrant sa culotte tendu entre ses cuisses écartées malgré moi mon regard se porte à cet endroit
P dit (22:41) :
Assis à l'avant, l'inspecteur se retourne de temps en temps pour profiter du spectacle
P dit (22:42) :
Ta jupe est plus longue.... plus difficile à remonter. Après quelques efforts, la f en coupe lentement la couture au cutter, la fendant très haut
Hitomi dit (22:43) :
J'entends le tissu être découper et le regard d'Ayako en face qui suis l'ouverture de ma jupe je me crispe mes jambes tirent sur les liens je me fatigue inutilement
P dit (22:44) :
Tu sens maintenant la main de la femme s'avancer entre tes cuisses écartées... frotter rugueusement ta culotte : hmmm... on va voir a quoi ca ressemble de la chatte de Viet!
Hitomi dit (22:45) :
Je vois dans le regard fixé d'Ayako que la main de la f approche entre mes cuisses ouvertes puis je sens le contact brutal sur ma culotte juste à l'endroit de mes lèvres je gémis humiliée sous les yeux de mon amie
P dit (22:46) :
Ayako subit le même sort... elle bouge légèrement dans ses liens, et tu constates qu'elle ne peut s'empêcher de te détailler du regard, horrifiée et fascinée
P dit (22:46) :
L'autre gardienne ricane c'est une Viet, la tienne? La mienne a l'air encore plus pute, ca doit être une de ces salopes de thaï
Hitomi dit (22:47) :
Alors que je sens qu'elle fixe mon entre jambe moi aussi je regarde l'autre appuyer sur sa culotte au niveau de son sexe de f nous accusons les insultes racistes mais nos regards restent fixés entre nos cuisses
P dit (22:48) :
Elles saisissent à nouveau leurs cutters... commençant par fendre vos culottes en longueur, les ouvrants sur vos fentes
Hitomi dit (22:48) :
Je sens et vois sur Ayako le cutter ouvrir le tissu juste au niveau de nos lèvres un geste plus loin et nous serions coupés je suis terrorisée
P dit (22:49) :
On aurait mieux fait de les renvoyer chez eux, ces foutus boat people. Regarde ces salopes... on va leur apprendre à se tenir
P dit (22:49) :
Elles ont fait leur découpe soigneusement... l'habitude? Maintenant, elles font glisser l'autre extrémité du cutter, arrondie, sur vos fentes
Hitomi dit (22:51) :
Elles maitrisent leur arts je comprends qu'elles ont l'habitude de terroriser de pauvres f comme nous que m'arrive t'il pourquoi suis je là j'ai envie de pleurer
P dit (22:51) :
Après avoir joué un peu ainsi, elles finissent de découper vos culottes, jetant les restes de cote... ca vous dirait, les gouines, de vous branler sur nos matraques?
Hitomi dit (22:52) :
Mes yeux suivent sur la vulve d'Ayako le jeu pervers de la f puis je vois enfin son sexe je suis surprise et troublée de regarder ainsi un sexe de f puis j'entends les deux f flics j'ai un mouvement de refus
P dit (22:53) :
Elles ricanent : regarde, elles s'en frétillent d'envie, ces salopes... on va leur faire plaisir... elles détachent leurs matraques de leur ceinture, et les enduisent d'une sorte de lubrifiant
Hitomi dit (22:54) :
Je sais qu'Ayako voit mon sexe autant que je vois le sien je vois les matraques d'une taille importante je comprends qu'elles vont nous violer de nouveau je gémis en me débattant
P dit (22:55) :
Avec le bout de la matraque, elles commencent à frotter votre toison, vos lèvres intimes... puis elles commencent à les enfoncer doucement
Hitomi dit (22:56) :
Je sens la matraque grosse frotter entre mes lèvres mon sexe offert je vois la matraque appuyer sur celui d'Ayako puis je sens la pression pour dilater mon vagin je me cambre en regardant l'autre matraque s'enfoncer dans le sexe d'Ayako
P dit (22:56) :
C'est super, ton lubrifiant, ca glisse bien, t'as trouve ça où ? - je l'ai pique a un type qu'on avait arrêté... tu vas voir, ça a une sorte d'effet chauffant, ca va les démanger de se faire ramoner la chatte, ces deux la
Hitomi dit (22:57) :
Je sens en moi la matraque progresser je vois la taille en face dans le sexe d'Ayako elle s'enfonce aussi je ressens soudain une chaleur dans mon vagin que m'arrive t'il je vois le même trouble en face
P dit (22:58) :
Les matraques s'enfoncent en vous... commençant à aller et venir au même rythme... glissant facilement, mais avivant cette sensation d'échauffement, d'excitation de votre intimité...
Hitomi dit (22:59) :
Les matraques s'enfoncent plus facilement que je n'aurai cru mon regard vois l'objet s'enfoncer dans le sexe d'Ayako qui luit je ressens la même chose mon sexe brûle et coule sous ce viol à la matraque
P dit (23:00) :
Elles s'arrêtent un moment, laissant les matraques enfoncées en vous, vous ordonnant de serrer les cuisses pour les garder. Et elles détachent de leurs oreilles leurs boucles d'oreilles à clip... pour les poser sur vos tétons
Hitomi dit (23:01) :
J'ai chaud mon sexe mouille la matraque en moi je sens que j'ai envie mais c'est impossible la matraque dans le sexe d'Ayako m'excite je suis perdue je ne comprends plus
P dit (23:02) :
Elles reprennent leurs matraques et continuent ce mouvement de va et vient... en face de toi, Ayako commence à se trémousser, elle aussi le regard noyé... te fixant avec fascination... gemissant... de plaisir???
Hitomi dit (23:04) :
Les clips se referment sur mes mamelons tendus la douleur se transmet dans mes seins jusqu'à mon sexe le mouvement reprends j'halète dans mon bâillon je regarde Ayako qui ondule comme si elle prenait du plaisir quelle honte ...
P dit (23:04) :
ca devient quasiment une certitude maintenant... elle ondule de tout son corps... laisse échapper des râles a travers le bâillon... se tend par à coups...
Hitomi dit (23:06) :
Ayako se crispe sur la matraque son sexe luit la f la sort complètement avant de lui enfoncer profondément et Ayako se cambre de plaisir je le vois et cela me trouble moi aussi mon sexe est en feu mes seins me renvoient des vagues de plaisir je résiste
P dit (23:07) :
Les deux femmes regardent Ayako : je t'avais dit qu'elles aimaient ca, ces putes jaunes... et toi, tu fais ta fière? Tu préférerais qu'on te l'enfonce dans le cul, hein?
Hitomi dit (23:08) :
Je vois le sexe d'Ayako ouvert réclamant je transpire je sens le plaisir en moi mais je refuse de l'accepter puis la menace me fait horreur et ça se lit dans mes yeux
P dit (23:08) :
Elles ricanent : regarde comme elle en a envie... t'inquiète pas, ma salope, en prison t'auras tout le temps de te faire enculer par les negresses
Hitomi dit (23:09) :
Leurs plaisanteries sadiques m'indiquent la destination et je comprends que là-bas ce sera pire moi qui suis vierge par derrière j'imagine le pire
P dit (23:11) :
La fourgonnette commence à ralentir, les h annoncent que vous arrivez au centre judiciaire.
P dit (23:11) :
Du coup, les f rangent leurs matraques, retirent les pinces de vos tétons... reboutonnent - à peine - vos chemisiers
Hitomi dit (23:12) :
Ayako continue de se trémousser visiblement avec l'envie de jouir les pinces nous quittent mes les seins restent pointés elles remettent nos jupes sur nos sexe nus en feu dégoulinant
P dit (23:13) :
Peu après la camionnette s'arrête dans une des arrières cours du centre judicaire (commissariat, comité de sécurité morale, tribunal, prison...). Elles vous détachent de vos bancs et vous font sortir, menottées et bâillonnées
Hitomi dit (23:14) :
Elles nous poussent nous deux encore sous le choc du viol nue sous nos vêtements et surtout les chattes en feu frustrées
P dit (23:15) :
Les chemisiers à peine reboutonnés, l'impression d'être presque seins à l'air... les h et les f vous conduisent tous les 4 vers une petite salle de tribunal
Hitomi dit (23:15) :
Elles nous poussent je sens l'air sur mes seins tendus le souvenir des clips sur mes mamelons
P dit (23:16) :
Vous allez être mises en examen... un détenu sort encadre par deux gendarmes, tout juste condamne... on vous fait avancer a votre tour vers le box des accuses
Hitomi dit (23:17) :
Les baillons toujours sur la bouche impossible de nous défendre nos regards se croisent paniquées
P dit (23:18) :
Les f fixent au sol deux sortes de barres en T, la petite poutre verticale à hauteur de vos aisselles. Les h vous y poussent vous faisant passer les bras autour, poignets ainsi retenus en arrière, la barre poussant entre vos bras et votre dos
P dit (23:20) :
Ensuite, elles fixent vos chevilles à des anneaux du sol, jambes écartées
Hitomi dit (23:20) :
Ils nous attachent sur ces T comme des condamnées dangereuses. Immobilisées les bras dans le dos
P dit (23:20) :
Dans cette position qui vous cambrent, tes seins semblent près à sortir du chemisier a peine boutonné
Hitomi dit (23:21) :
De nouveau ils écartent nos jambes et les fixes jambes écartées bras an arrière penchée en avant je subis une position humiliante
P dit (23:21) :
Les gardiennes se mettent debout derrière vous, comme pour vous surveiller
Hitomi dit (23:22) :
Impossible de bouger je sens mes seins visibles
P dit (23:22) :
L'inspecteur se tourne vers le juge et demande une procédure de MOF
Hitomi dit (23:22) :
Nous ne comprenons pas le terme mais ne pouvons pas parler de toute manière
P dit (23:23) :
Le Maintien à l'Ordre Force : pour les prévenus particulièrement agités, violents, insultants, il peut être décidé d'examiner leur dossier en les empêchant de troubler l'ordre public...
Hitomi dit (23:23) :
Mais nous n'avons rien fait nous ne sommes pas dangereuses !
P dit (23:23) :
L'inspecteur témoigne sous serment que vous avez été violentes, que vous les avez insultés pendant tout le trajet, que vous vous êtes débattues violemment...
P dit (23:24) :
L'agent et les gardiennes viennent contresigner sa déposition
Hitomi dit (23:24) :
Nos yeux s'écarquillent nous ne pouvions pas parler nous avons été violés c'est de l'abus de pouvoir
Hitomi dit (23:24) :
Je croise leur regard un instant dans son œil le vice et le sadisme
P dit (23:25) :
Le juge examine alors votre dossier... il lit la lettre, dont vous découvrez le contenu avec stupeur...
P dit (23:25) :
Il fait passer les photos, vous ensemble, allongées côte à côte, ou vous tenant par les épaules...
Hitomi dit (23:25) :
Je reconnais les photos mais il n'y a rien de mal
P dit (23:25) :
Autant d'attitudes innocentes mais qui semblent soudain vous accuser irrémédiablement, à leurs yeux
P dit (23:26) :
Finalement, le juge tranche : pas la peine de perdre du temps avec un procès, on peut constater le délit
Hitomi dit (23:26) :
On gémit toutes les deux dans nos baillons
P dit (23:27) :
Les accusées sont condamnées à 18 mois d'emprisonnement, dont 12 avec sursis. La peine est commuable en TSP.
Hitomi dit (23:27) :
J'accuse le coup 18 mois alors que je n'ai rien fait
P dit (23:27) :
Le jugement est rendu, les gardiennes vous détachent pour vous entrainer
Hitomi dit (23:27) :
Nous sommes effondrées on se laisse guidées
P dit (23:28) :
Les Travaux en Situation Privative sont une possibilité d'effectuer votre peine en travaillant pour un employeur prive, particulier ou entreprise, qui prend a sa charge votre hébergement. Une mesure qui permet de vider un peu les prisons...
P dit (23:29) :
La mesure ne s'applique pas aux condamnes pour crimes, délits graves... et normalement, pas non plus à celles qui sont supposes avoir un comportement violent...
P dit (23:30) :
En attendant, on vous emmène directement vers les cellules...
Hitomi dit (23:30) :
Dans les couloirs nous sommes trainées comme deux fantômes qui ne comprennent rien à ce qui leur arrivent
Par Hitomi - Publié dans : L'Erreur Judiciaire (online)
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