Hitomi

  • : Le Carnet d'Hitomi
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  • : Une petite partie des scénarios érotiques co-écrits par Hitomi. Hitomi est une adulte qui se comporte souvent comme une gamine. Elle a gardé ses rêves d'enfant. Soyez indulgents envers elle.
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Le Passage à l'Acte (offline)

Dimanche 28 septembre 7 28 /09 /Sep 20:00
En voyant la réaction de ma femme, elle se tourne vers moi et comme : « ah vous ne lui ... » Sa phrase s'arrête, notre voisin lui ayant tapoté sur la cuisse, elle baisse la tête et dit, cette fois ci avec une voix claire : « Je m'excuse maître » « Ce n'est rien petite soumise » Leurs yeux montrent clairement qu'ils sont amusés de cette situation, situation de deux novices un peu perdu.


« Soumise », « Maître ». Ces mots prononcés aussi distinctement me perturbent. Et leurs regards amusés ne laissent aucun doute sur l'effet qu'ils ont voulu donné. Les joues roses, perturbée, je tourne la tête vers mon mari. Non, il ne m'a rien dit, rien du tout. Je n'ai plus aucun doute maintenant sur le lieu et sur les intentions de mon mari et du voisin. Pourquoi me suis-je laisser entraîner là-dedans ? J'aurais pu quitter ce lieu au moment où cette femme s'est mise à 4 pattes en montrant son postérieur, mais je ne l'ai pas fait. Pourquoi ? Peut-être parce ce sont mes fantasmes et que j'ai envie de les assouvir ici et maintenant ou peut-être parce que j'ai envie de lui faire plaisir, ou tout simplement parce que je n'ai pas assez de courage....


Je prends une grosse respiration, souffle et dit : « Bon ben autant y aller maintenant non ? » Je me lève, te regarde : « allez viens toi » On quitte la table, dans le mouvement, l'autre femme arrive à te glisser à l'oreille rapidement : « Il est super, très tendu mais super, tu verras les maitres se détendent quand ils ont plus d'expérience » Elle glousse, jette un œil pour vérifier que son maitre et moi sommes suffisamment en avant pour ne pas l'entendre et poursuit : « Je pourrais te passer mon mail comme ça on pourra échanger des confidences sur ta première séance plus tard, c'est bien ta première séance n'est ce pas ? » Tu n'a pas le temps de répondre, je t'appelle nous sommes à l'entrée d'un couloir.


Il me regarde enfin depuis un long moment comme s'il avait décidé de prendre les choses en main et son ton est surprenant : « allez viens toi ». Ces mots claquent à mes oreilles. Je me lève comme tout le monde et la maîtresse du voisin s'approche très près, et me parle doucement à l'oreille, son souffle si proche. Aussi bizarre que cela puisse paraître, ses mots me réconfortent car, je comprends que l'expérience sera nouvelle pour moi mais aussi pour lui. De plus, ce côté bavardage en cachette des hommes nous rapprochent, je me sens aussitôt prise d'affection pour cette femme inconnue. Je n'ai pas le temps de lui demander de l'aide pour savoir comment s'y prendre que nous sommes obligées de rejoindre les hommes.


Il y a une porte sur notre gauche et à notre droite des sanitaires avec douches, je regarde notre petit groupe et va pour avancer quand notre voisin toussote légèrement. « Oh non, pour une première fois il faut un peu de décorum, les jeux SM sont tellement fondés sur des rites, des protocoles, des cérémonies, tu as bien le bandeau ? » Je note rapidement le passage au tutoiement et bégaie presque : « Le bandeau, ..., ah oui le bandeau » Je sors de ma poche un morceau de tissu noir, tu reconnais le bandeau de corsaire d'un déguisement de nos enfants, je me place derrière toi, et très clairement hésitant je te bande les yeux. Tu entends alors notre ami dire : « Chère voisine, vous pouvez maintenant retirer votre bandeau mais si vous le gardez c'est que vous acceptez la suite et les règles que vous donnera votre mari »


Hitomi les yeux bandés Arrivée dans le couloir, j'entends le voisin parler de jeux SM et ces mots ont aussitôt un écho au creux de mes reins. Je m'arrête mes jambes tremblent, je me mords les lèvres puis vois mon mari sortir le bandeau des enfants, le comportement de mon mari, l'objet qu'il montre, tout cela pourrait nous faire rire en temps normal mais il s'agit effectivement presque d'un rituel et personne ne rit. Il vient poser le bandeau sur mes yeux, je respire profondément en proie de nouveau à d'affreux doutes. Les mots du voisin arrivent à mes oreilles mais je ne le vois plus. « Chère voisine, vous pouvez maintenant retirer votre bandeau mais si vous le gardez c'est que vous acceptez la suite et les règles que vous donnera votre mari ». J'ai le choix... je peux le retirer et partir mais que dirait mon mari, me le pardonnerait-il ? En ai-je vraiment envie ? Que vont-ils me faire ?

Nous y voilà, comme dans les mauvais films de série B, les romans de gare érotiques ou les nombreux blogs du net, nous vivons la scène du choix de la soumise, celle où elle doit dire que finalement elle accepte le jeux et a envie de s'en remettre à son « maitre ». Certes, le moment est connu, presque codifié comme l'a dit notre voisin, il n'est pas néanmoins sans tension, si tu disais non à vivre réellement ce que tu as écris tant de fois sur le net ? Comme tu ne bouges pas, notre voisin conclue : « Alexia accepte d'être la soumise de son mari » Vu son ton cérémonial, on s'attendrait presque à ce qu'il conclue : « Le maitre peut embrasser la soumise ».

 


En proie à toutes ces questions, à ne pas arriver à trancher entre le fait de vivre ce que j'ai tant de fois écrit en chat et le fait de refouler ces obscénités que mon éducation réprouve, je laisse l'opportunité au voisin de prendre la parole et de décider à ma place. « Alexia accepte d'être la soumise de son mari ». Mes épaules s'abaissent comme si j'étais finalement soulagée de ne pas avoir à choisir, que le choix soit fait pour moi. Ainsi les dés sont jetés....

Par Hitomi - Publié dans : Le Passage à l'Acte (offline) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Mercredi 17 septembre 3 17 /09 /Sep 22:21

Je t'ouvre la porte de la voiture, t'aide à descendre et te pousse par le cul vers la porte d'entrée murmurant : « Il a beaucoup insisté pour que nous venions, tu sais comme il est le voisin » La porte s'ouvre m'évitant de donner plus de détails, je vais pour régler quand ma femme demande : « Tu ne trouves pas curieux que les hommes seuls payent plus que les couples et que ce soit gratuit pour les femmes ? » Je me retourne énervé, je viens de réaliser que j'ai payé avec ma carte bleue, payer avec ma carte bleue dans cet endroit que je ne connais pas et qui est pour moi l'enfer du vice. Je demande agacé : « Quoi ? » La porte du bar s'ouvre et nous pouvons entrer sans poursuivre une fois de plus ce début de conversation.


Pas de réponse à ma dernière question. Il descends simplement de la voiture et m'ouvre de façon romantique. Je descends à mon tour, replace ma robe sur mes cuisses. Il me pousse gentillement vers une façade avec une vitrinne teintée et une porte rouge. La porte s'ouvre toute seule à notre approche comme si nous étions attendus. A l'entrée, une reception en bois laqué avec une hôtesse tout sourire, je le vois s'y diriger et sortir son porte-feuille. Je me dis qu'il est étrange de devoir payer si le voisin nous a invité mais finalement cet aura de mystère entourant cette soirée m'amuse et pique ma curiosité. Mes yeux vagabondent et tombent sur l'affiche des prix à l'entrée : "Tu ne trouves pas curieux que les hommes seuls payent plus que les couples et que ce soit gratuit pour les femmes ? ". Ta réponse est presque brutale : je te regarde sans comprendre ce comportement mais la porte s'ouvre et je n'ai pas le temps de demander ce qui t'ennerve.


 L'ambiance est douce et tamisée, je soupire intérieurement, j'avais peur de rentrer directement dans une salle de « tortures ». J'avise un coin avec 4 fauteuils de libre, y conduits ma tendre et chère, je m'y affale ma compagne à coté de moi. Je regarde discrètement autour de nous. Une voix me sort de mon inspection : « Ah vous êtes là »


Je te suis et découvre l'endroit, un bar en bois au fond de la salle éclairé par des lumières bleues pâles et tamisées. Quelques personnes mais sans plus au bar. Au fond de la salle des couloirs en ambiance rouge cette fois. Cela ressemble plus à un club privé qu'à un bar et je n'ai pas beaucoup l'habitude de ce genre d'endroit. Je me tourne vers mon homme mais il se dirige déjà vers des fauteils confortables et profonds. Haussant les épaules pour son manque de réponses, je m'assois à ses côtés. Il ne se passe pas longtemps avant que quelqu'un nous adresse la parole.


 Notre voisin s'assoie devant nous, une femme plantureuse prend place à coté de lui. J'ai beau faire un effort, elle ne ressemble pas du tout à ma voisine, et de toute façon il m'est impossible d'imaginer la femme de mon voisin dans la tenue de ma vis à vis dont les vêtements cherchent plus à montrer ses formes généreuses qu'à cacher quoique ce soit.


C'est notre voisin que je connais peu mais mon mari le côtoie beaucoup ces derniers temps. Il n'est pas seul et si je connais peu le voisin, je connais très bien son épouse. Pour moi c'est un choc car je m'attendais à la voir ... elle. Je regarde la femme qui l'accompagne avec un peu trop insistante, cherchant à comprendre. Cet homme oserait sortir en soirée avec nous avec sa maîtresse ??? Il a vraiment du culot. Que devrais je dire à sa femme ? Me voilà dans une situation délicate.


 Je reprends mon inspection alentours, vois une serveuse arrivée vers une autre table, décidément les femmes de cet endroit attache plus d'importance à montrer ce qu'elles ont comme avantage qu'à se couvrir décemment. Elle pose sur une table une bouteille de château Latour-Martillac, grand cru classé de Pessac-Léognan. La serveuse verse comme il se doit un peu de liquide dans un verre à Bordeaux, au moins ils savent vivre ici. J'écarquille les yeux, après l'assentiment de l'homme, l'employée du bar pose par terre une gamelle pour chien et une adorable jeune femme blonde aux cheveux somptueux se met à quatre pattes pour commencer à laper son vin. L'homme qui lit un journal en dégustant son vin, tapote la cuisse de la femme avec son pied, celle-ci se cambre, met ses mains dans le dos, écartent ses cuisses et reprend sa dégustation comme auparavant son minou et son intimité largement visible. Je ferme les yeux : « C'est pas possible, là elle va se lever, me foutre une baffe et partir »


Vision de soumise

L'atmosphère me pèse je ne sais pas quoi dire. Je vois mon mari regarder partout. je détourne les yeux de la compagne de notre voisin oubliant un instant mes reflexions pour suivre son regard. Les serveuses sont peu vêtues leur tenue mettant en valeur leur féminité. Il s'agit visiblement d'un club privé ou d'un bar à hôtesse. Drôle d'endroit pour une soirée à moins que ... notre voisin n'ait des idées derrière la tête... C'est à ce moment que j'ai un hocquet de surprise en voyant la jeune femme se mettre à quattre patte et approcher son visage de l'écuelle. J'en reste bouche bée ... Je me doutais bien que c'est endroit respirait le libertinage mais de là à voir une femme s'humilier ainsi je suis choquée. Mes yeux fixés sur la femme je la vois ecarter ses cuisses, sa minijupe largement remontée sur ses hanches à 4 pattes, elle exhibe ses levres intimes de façon à ne rien cacher. Ma respiration s'accélère je rougis jusqu'au oreilles et en même temps une douce chaleur envahit mon bassin. Cette position et cette exhibition me rappellent des photos mais il ne s'agit pas ici de photos ; cette femme s'exhibe réellement devant nous. Je ne peux m'empecher de repenser à ces dialogues où ces h me soumettaient pour mon plaisir et je me vois un instant à la place de cette femme. Le souffle court, j'essaie de reprendre pied. Que faire ? pourquoi m'a t'il amené ici ? Serait-il à la recherche de nouvelles experiences ? Il est vrai que de ce point de vue, notre couple est des plus sage. Mais s'il me connait (enfin s'il connait ce que je veux lui montrer de moi) il devrait savoir que je n'aime pas ce genre de chose. Puis un déclic, les logs dont il m'a parlé ! Serait-il possible qu'il ai connaissance de mes échanges ? Je le regarde mais il me fuit il sait que j'ai vu. Il attend ma réaction .... et je ne sais pas quoi faire prise au piège entre la femme sage que je voudrais être et la femme de mes fantasmes.


 Je réouvre les yeux, rien ne se passe, rien ne s'est passé, il y a un léger flottement, je n'ose tourner la tête vers celle qui est tous les soirs dans mon lit et par le fait la mère de mes enfants. Je regarde mon voisin qui a un regard ironique, s'amuse-t-il ? que dire ? « Ah cette année, cher voisin votre pelouse est magnifique » ou « Vous avez vu ? La mairie a encore changé le ramassage des poubelles » ou pire « Votre épouse va bien ? »


Le silence se fait lourd, de plomb. Je n'ai toujours rien dis comme si je n'avais pas vu cette scene et pourtant, tout le monde autours de la table l'a vue et tout le monde sait que je l'ai vue. Je cherche toujours le comportement à adopter en pleine panique.


 Mon voisin sentant ma gène commence : « Ici vous ne craignez rien, les gens fréquentant les clubs sont discrets par nature et par obligation, tous ont besoin de la discrétion de tous pour pouvoir jouer ici, ils sont très tolérants, sachant que tous ont débuté un jour terrorisé à l'idée de ce qu'ils faisaient, et ils sont très complaisant pour peu qu'on respecte les us et coutumes du lieu» Il respire et poursuit : « D'ailleurs il ne faut pas s'y tromper, les libertins du XVIII-XIXéme siècle n'étaient des licencieux, mais des personnes réfléchissant à d'autres formes de sociétés, d'autres formes de relation entre les personnes, ce n'étaient pas les amoureux de vices qu'a gardé l'imaginaire collectif ».


Le voisin semble un habitué des lieux. Il prend la parole (ce qui soulage tout le monde) pour nous faire un cour sur les clubs libertins que je n'écoute que vaguement. Je finis pas essayer de me convaincre que c'est lui qui nous a invité et qu'il affectionne ce genre d'endroit exotique. Il n 'y a peut-être rien de plus derrière tout cela et peut-être mon mari est-il tout aussi gêné que moi.


 Je le regarde l'air le plus intelligent possible comme un élève écoutant son professeur, d'ailleurs n'est ce pas ce que je suis ? La voisine de notre voisin ouvre la bouche, se retient au dernier moment, se tourne vers notre ami tête baissée, il lui murmure quelque chose, elle répond un murmure : « Merci maitre » Ma femme l'a-telle entendu comme moi ?


Je regarde à nouveau mon mari qui boit les paroles de notre interlocuteur. A priori, il s'interresse au libertinage du XIXème siècle.... J'aimerais pourtant que l'on aborde d'autres sujets plus communs. Ma reflexion est de nouveau interrompue par la première prise de parole de l'amante de notre voisin. Je ne distingue pas ce qu'ils se disent mais un mot me parvient un seul et quel mot ! Mes yeux s'écarquillent et aussitôt je sens entre mes levres intimes comme un aiguillon qui reveille mon entre-cuisse. Ce mot que tant d'hommes m'ont fait utiliser envers eux lors de ces chatt. Ce simple mot qui réussit à m'émoustiller qui signifie l'acceptation de l'appartenance... Elle l'a prononcé, notre voisin pratique la domination et cette femme inconnue lui obeit.


 Puis elle se tourne vers ma réguliére avec un sourire désarmant et mondain : « C'est la première fois que vous venez ? Vous trouvez le lieu comment ? »


Elle se tourne vers moi je ne la regarde plus du tout de la même manière. Cette femme représente mes fantasmes mais ce que je me refuse à être dans la vie réelle. Pourtant ses propos sont totalement anodins en apparence. Je bredouille montrant ainsi mon trouble à tout le monde et réponds "oui ... la première fois... L'endroit est vraiment très... très ... comment dire... surprenant" Je me sens ridicule les joues roses ne trouvant pas mes mots presque intimidée.

Par Hitomi - Publié dans : Le Passage à l'Acte (offline) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Lundi 15 septembre 1 15 /09 /Sep 19:30

Content de ma réplique ma main se fait caressante sur ta cuisse pendant que je conduis tranquillement vers le lieu de la soirée. Effectivement je n'ai rien trouvé de graves, quelques logs des enfants sans gravité et beaucoup de logs msn.

 

Ma sueur froide rapidement passée, mon regard se perd sur le paysage sentant ta main câline, un peu trop peut-être....

 

Je te regarde à la dérobée à la lumière des réverbères songeant "elle aurait donc une activité de chatt soutenue avec des hommes différents, elle est assez discrète finalement sur ses désirs intimes puisqu'il m'a fallu scruter le disque dur pour connaître son âme". (sourire un peu grandiloquent mais bon)

 

Mes pensées vagabondent, je me mets à penser à ces dialogues lorsque tu n'es pas là. Impossible que tu es la moindre idée de ma façon de prendre du plaisir depuis si longtemps sur des scénarios érotiques avec ces h inconnus qui aiment m'insulter m'humilier. Je ne dois pas penser à cela.....

Hitomi endormie

Ma main remonte plus haut, arrivant à la douce peau interne des cuisses  près de l'aine, elle a un mouvement de recul mais je laisse mes doigts errer en éfleurant cet endroit délicat.

 

La main se fait plus  pressante plus proche mes cuisses se crispent, que fait-il ? ce n'est pas l'endroit pour approcher de si près mon intimité...

 

Au début, j'ai été choqué, non pas par le caractère sexuel des échanges par le fait d'être passé à coté de cela, de n'avoir pas vu qu'elle désirait autre chose dans son intimité et je n'avais pas su le voir ni lui donner ce plaisir la. Une question qui m'a beaucoup hantée était "mais finalement, le faire en cachette, avec un amant est peut être aussi la source de son plaisir, peut être même indispensable à son plaisir et les mêmes jeux avec moi qui est là tous les jours n'auront peut être aucune saveurs". Et il n'y avait qu'une solution pour répondre a cette question.

 

Que dirait-il s'il savait ? et moi que dirais je, ces dialogues sont parfois tellement crus, tellement obscenes. Peut-il simplement imaginer comment ces h me parlent ? Non je ne dois pas lui parler de ça c'est mon jardin secret, la partie la plus intime de mon âme. Et puis avant lui je l'ai caché à tellement de monde. Je me masturbe de cette manière depuis si longtemps, aussi loin que je me souvienne depuis que j'ai des besoins sexuels. Il est arrivé après, il ne peut pas interférer lorsqu'il n'est pas là

 

Les quelques semaines de réflexion ont abouti à cette situation : je suis dans ma voiture en smoking loué lui caressant l'antichambre du secret de ses cuisses en lui ayant demandé de se mettre en tenue de soirée.

 

Les phares d'une voiture en face me font sortir de ma réflexion intime, j'en viens à me demander où nous allons. Il ne m'a pas beaucoup parlé de cette soirée

 

Mes doigts ont fait quelques passages furtifs sur le tissu du string quand je me gare dans un parking disant "j'espere que ce ne sera pas trop ennuyeux, c'est une histoire de remise de médaille pour le meilleur blog d'un site de blog, il m'a juste dit de venir habillé et à fortement insisté". Je l'aide à descendre de notre voiture replacant ma main là où elle devrait etre plus souvent : sur les fesses de madame. Je la regarde avec l'air le plus innocent que je peux "et au fait tu sais ce que c'est un blog ?"

 

Un frisson remonte de mon pubis lorsque tes doights efleurent le tissu de mon string. Je repousse délicatement ta main gênée que tu me touches sans rien me dire même si ce n'est pas un refus catégorique. Enfin, tu me parles je me détends, le silence me pesait. "une remise de médaille ? pour un blog ?" à ce mot des images de blog traverse mon esprit malheureusement uniquement à caractère sexuel. Je le chasse rapidement... "oui bien sûr mais pourquoi sommes nous invités ?"

Par Hitomi - Publié dans : Le Passage à l'Acte (offline) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Lundi 15 septembre 1 15 /09 /Sep 19:17
L'histoire d'un couple dont la sexualité semble pour le moins monotone. Une découverte du mari va faire basculer tout ça. Hitomi l'épouse modèle

Il me manque sans trop que je sache pourquoi, le début de cette histoire.... Gomen ne

En résumé, voici ce qui s'est produit avant le premier paragraphe de B :

B mon mari, me dit un soir en rentrant de chez le voisin où il passe beaucoup de temps que nous sommes invités par celui-ci à une soirée Samedi Soir. Naturellement j'accepte mais il reste très discret quant à l'endroit. Le jour arrive et il me demande de m'habiller en tenue de soirée. Après m'être pomponnée, nous montons dans la voiture toujours sans me dire ni où nous allons, ni ce que nous allons faire. Au bout d'un certain temps de silence, il pose sa main sur ma cuisse et me glisse qu'il a installé un nouvel outil sur le PC familial pour tracer tout ce qui passe sur le PC. Cela me fait un choc......

Vous allez comprendre pourquoi en lisant la suite...

Pour ce scénario écrit à deux, j'utilise les codes couleurs (pas forcément très heureux, je vous l'accorde) :
 - Monsieur B qui écrit en bleu
 - Hitomi, l'épouse de Monsieur B, qui écrit en rose

C'est un choix discutable que je pourrai corriger éventuellement si vous me laissez des commentaires me disant que ça ne va pas.

Bonne Lecture
Par Hitomi - Publié dans : Le Passage à l'Acte (offline) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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