Hitomi

  • : Le Carnet d'Hitomi
  • Le Carnet d'Hitomi
  • : Une petite partie des scénarios érotiques co-écrits par Hitomi. Hitomi est une adulte qui se comporte souvent comme une gamine. Elle a gardé ses rêves d'enfant. Soyez indulgents envers elle.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil

Pour s'y retrouver

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>
Vendredi 3 octobre 5 03 /10 /Oct 21:46
Je te prends par la main, plus fermement cette fois-ci, ouvre la porte de gauche et te fait marcher quelques mètres, tu m'entends ouvrir un casier puis lentement, même tendu, même dans ce lieu, même pour jouer à te domine, il ne m'est pas possible de te déshabiller autrement que lentement, prenant le temps de regarder, admirer ces formes que je voie tous les jours. Je me retiens de te caresser en le faisant : le jeu l'interdit. Tu entends des gens parler autour de nous, des bruits de pas, de mouvements, nous sommes dans les vestiaires du club. Je te passe une mini en vinyle, zippée derrière puis un bustier noir et blanc, moulant largement tes seins, tu te retrouves à ton tour dans une tenue en montrant plus qu'elle ne cache. A moi même, je murmure : « Bon je ne me suis pas trop gouré dans les tailles » Puis je me penche pour passer à tes pieds des mules à talon, je n'ai pas voulu prendre le risque d'acheter des chaussures te faisant mal aux pieds toute la soirée. Je me redresse, te regarde, il est surprenant de voir pour la première fois, sa femme normalement si bien sur elle, mise par soi même dans une tenue de salope, dans un club SM.

Sous la mini-jupe d'Hitomi Je sens la main de mon mari m'attirer, les yeux bandés, je reconnais sa main. J'entends que tu marches autours de moi que tu ouvres quelque chose. Puis tes mains se posent sur moi. Je tremble. Ma respiration s'accélère. Tu me déshabille lentement, je sens mon corps être mis à nu mes seins lourds en poire, mes fesses rondes mais fermes. Cet effeuillage me trouble et chauffe mon entre cuisse, je le sens. Mais surtout ce qui me perturbe le plus, ce sont les voix, les bruits de pas... tu me mets nue alors que des gens passent par là et cette exhibition m'excite au plus haut point bien que je ne vois rien. J'imagine les regards sur mon corps. Je devrais avoir honte de me montrer ainsi mais j'ai tellement rêvé d'exhibition qu'au contraire mes seins se dressent les mamelons pointés vers l'avant montrant mon trouble et mon désir. Je sens que tu me passe une jupe très courte dans une drôle de texture, du vinyle ! Je n'ai rein dessous, la matière recouvre mes fesses et mon pubis mais je sens bien qu'elle est tellement courte que finalement elle ne cache pas grand-chose. Puis tu referme sur mes seins un bustier les pressant et les remontant sans doute pour les mettre en valeur. Je sens l'air aussi entre mes seins, il doit être ouverte et exposé ma poitrine. Je ne me vois pas mais je m'imagine dans une tenue de traînée de salope comme on m'a si souvent appelée dans mes tchatts. Je sais que ce genre de tenue s'accompagne souvent de talons hauts et je ne suis pas surprise lorsque tu m'en passe aux pieds. Bien sûr les talons font cambrés mes reins, je me sens habillée mais nue, je me sens entrer dans la peau de la femme de mes fantasmes.

Je m'approche de toi, te murmure « tu es superbe et si accessible » Je glisse une main sous ta mini vinyle pour te caresser et en glisse une dans l'échancrure du bustier pour pétrir tes seins. « Oui vraiment très accessible » Je penche ma tête et t'embrasse longuement, glissant ma langue dans ta bouche, cherchant ta langue, l'aspirant, léchant tes lèvres. J'écarte doucement ma bouche, murmure, mes lèvres effleurant les tiennes en bougeant : « Mme ma soumise est prête ?, c'est comme dans tes chattes ? » Sans te laisser le temps de répondre, je peste « ah j'allais oublier » Je prends un collier et une laisse dans le casier et tes les pose, m'excusant presque

Tes mains confirment ce que je pressentais, tu atteints trop facilement mon sexe et mes seins. Je gémis lorsque tu pétris mes seins que tu sais très sensibles et tes doigts sur mes lèvres ne peuvent que constater mon état d'excitation. Puis tes levres viennent se poser sur les miennes et m'électrisent. Bien sûr ce n'est pas notre premier baiser mais c'est le premier où j'ai les yeux bandés et que je suis habillée comme une salope. Nos langues se mêlent et je te réponds mélangeant nos salives j'ai envie de toi maintenant. Ne te voyant pas je tends mes lèvres et ma langue mais déjà tu me parles doucement « Mme ma soumise est prête ?, c'est comme dans tes chattes ? ». Cette révélation me frappe comme un coup de couteau j'en reste bouche bée. Ainsi, tu sais, tu les as lus. Alors tu sais tout ce que je suis capable de faire avec ces hommes. Je sais pour ma part que je suis allé très loin et je commence à craindre de vivre réellement ces fantasmes. Le souffle coupé je m'apprête à chercher des excuses, à me défendre mais tu ne m'écoute pas et passe le collier autours de mon coup. Et la laisse s'accroche en un petit clic. Décontenancée, je finis par renoncer à t'expliquer l'inexplicable.

Je te reconduits dans le couloir, cette fois je te fais avancer un peu puis te tourne et te retire ton bandeau, tu es face à un miroir où tu peux t'admirer, cambrée par les talons, les fesses serrées par la mini en vinyle noir brillant avec le zip voyant dans le dos, le bustier découvrant le haut de ta poitrine et soulignant tes tétons moulés à travers le tissu. Dans la glace tu nous vois aussi tous les trois guettant ta réaction et le visage excité et amusé de la soumise du voisin.

Tu me fais ressortir et rejoindre nos « amis » Le bandeau me quitte. Je me découvre enfin face au miroir. Je me vois telle une salope le peu de tissu ne fait que montrer encore plus mes formes généreuses. Je constate que mes seins sont gonflés, mes mamelons sont obcènement tendu sous le tissu. Je me vois comme une traînée excitée. Mes joues sont roses, j'ai honte de moi, je baisse la tête mais ne dis rien, acceptant ma tenue de soumise.

Celui-ci suggère : « Nous commençons la visite ? » J'hésite l'air ennuyé, et puis précise : « J'aimerais lui trouver un nom de soumise, et puis ça permettra de bien marquer les moments normaux de ceux du jeu » J'hésite de nouveau puis suggère : « Voisine Ouverte, pas mal, ca fait référence à cette soirée d'intronisation et puis Ouverte dis bien ce que ça veut dire, ça me rappelle les totems scouts, Voisine Ouverte cela sonne un peu comme loutre habile ou un truc comme ça ».

Je t'écoute lancer le sujet sur le nom de soumise. Je me souviens que certains hommes avec qui je chattais aimait me donner des noms tous plus humiliants les uns que les autres : les classiques chienne, pute, salope quelquefois pisseuse, punie, trou voire des prénoms sans doute le prénom de l'épouse de l'homme frustrée qui souhaite faire de sa femme sa soumise.... Comme moi ce soir .... Puis j'entends ce que tu prononces : « Voisine Ouverte ». Je ne peux m'empêcher de redresser la tête et de gémir « noooon ». Voisine passe encore mais ouverte, cela sous-entend tellement de chose, je me sens humiliée.

Le voisin sourit en te regardant : « Alors tu es ouverte Voisine, bonne nouvelle » Il se tourne vers moi : « Tu permets » Il glisse un doigt dans ton intimité et te caresse lentement, commente : « Ouverte je ne sais pas mais excitée surement elle est trempée Voisine Ouverte » Il sort son doigt le fait lécher à sa soumise puis essaye de te le glisser dans le cul. « Ah de ce côté là ce n'est pas encore vraiment ouvert » Je le regarde : « Ah ca peut être mieux, je peux voir? » Je fais à mon tour sucer un doigt à sa soumise et essaye de le lui glisser dans son cul où il rentre tout seul. Je constate : « oui tu as raison ça peut être mieux, je travaillerai l'ouverture arrière de Voisine Ouverte, on y va ? »

Et ce sous-entendu de mon nom, le voisin ne se gêne pas pour en profiter et vérifier par lui-même. Je le vois approcher et sa main passe entre mes cuisses mes yeux te fixent, t'implorant de l'arrêter mais je vois que ça te plait qu'un autre homme me touche. Son doigts glissent facilement entre mes lèvres tr
Hitomi ouverte au voisin empées et ressort luisant. Puis je vois sa soumise venir poser sa langue sur son doigt et goûter à mon jus, cela me donne une vague de chaleur et un flot de mouille encore plus important entre mes cuisses brulantes. Puis sa main s'approche de nouveau et essaie de passer entre mes fesses, de reflexe je les sers crispée je grimace « non pas là » fais je. Tu sais très bien toi mon mari que je refuse d'être touché de ce côté, que je trouve cela dégoutant. Et pourtant, combien de fois mes amants virtuels m'ont torturée ou prise par là. Devrais-je vivre cela aujourd'hui ? Je me souviens que tu as lu mes dialogues. Je m'en mords les lèvres. Il retire enfin son doigt. Puis je te vois présenter ton doigt à cette femme, elle te lèche et tu la pénètre par derrière. Un sentiment de jalousie me terrasse, la première femme à qui tu mets un doigt dans le cul, ce n'est pas moi mais elle. A moins qu'il y en ai eu d'autre avant moi.... T'entendant dire que tu travailleras mon ouverture arrière ne me laisse pas d'illusion sur ce qui va m'arriver. Ce soir je subirai par là.

Je plaque ma main sur tes fesses et avance dans le club en te conduisant par le postérieur.

Crispée, apeurée, ta main ferme se pose sur mes fesses et me poussent vers l'avant, vers ma première expérience de soumission.

Par Hitomi - Publié dans : Le Passage à l'Acte (offline) - Communauté : Ecritures Sensuelles
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus