Lundi 3 novembre
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20:19
J'envoie la deuxième cassette à ton père qui toujours refuse de réagir, même s'il voit que je t'ai forcée cette fois. Je reviens alors chez
toi, toujours attachée en croix sur la table. J'ai encore la caméra. J'ai pris un martinet avec moi et commence par te fouetter le ventre avec, puis les seins, faisant bien claquer les lanières
dessus. Puis je descends à ton sexe et le fouette abondamment. Tes cris se font de plus en plus forts, mais je n'écoute pas - la caméra par contre oui - et continue. J'arrête avant que tu ne sois
en sang, car j'ai l'intention de t'utiliser pour mon plaisir maintenant. Mais d'abord, j'envoie cette cassette à ton père, lui disant que la prochaine fois il n'y aurait pas de cassette parce que
je serais occupé de mes deux mains ...
Mon père a du visualiser mon corps écartelé de force sur la table et le vice dont tu as fait preuve en me claquant les seins. Malgré mes cris, mon père
est un homme dur, il refuse de céder au chantage pour si peu. La vue de ma vulve en gros plan à la fin de la bande ne l'émeut même pas.
J'ai passé la nuit ainsi liée sur la table. Enfin l'a lumière s'allume. Je vois mon geôlier approché caméra sur épaule et quelque chose à la main. Mes yeux éblouis visualisent peut à peu le
manche surmonté de nombreuses lanières de cuirs... En voyant ça, je comprends que mon père n'a pas cédé, je tire sur mes liens en criant, en suppliant.
Sans écouter mes jérémiade, tu lève le bras et vient frapper les lanières sur mon ventre, je crie en me cambrant mais je suis attachée. Tu fais claquer les lanières sur ma peau en remontant vers
ma poitrine. Je crie à chaque coup mais lorsque les lanières de cuir viennent mordre mes seins je me tords de douleur en hurlant les larmes aux yeux. Tu continues à frapper marquant mes seins de
marques rouges. La douleur et la chaleur envahit mes seins, je souffre comme jamais je n'ai souffert.
Enfin, les coups sur mes seins criant de douleur et rougis s'arrêtent enfin. Mais cette fois tu te dirige entre mes jambes ouvertes et abat les lanières sur mon pubis et mes lèvres je hurle de
douleur, l'endroit le plus sensible de mon corps est fouetté. Je m'arcqueboute en tirant comme une folle sur mes liens mais rien n'y fait, les lanières pénètrent mes lèvres intimes, viennent
frapper durement mon clito. Je pleure comme une gamine entre deux hurlements de femme blessée. Les marques rouges boursoufflées couvrent mon bas ventre et mon sexe palpite de douleur. Dans ma
souffrance, je ne réalise pas que tu as filmé toute la scène, chaque cri, chaque marque sur ma peau est sur la pellicule.
Par Hitomi
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Publié dans : L'enlèvement (offline)
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