Hitomi

  • : Le Carnet d'Hitomi
  • Le Carnet d'Hitomi
  • : Une petite partie des scénarios érotiques co-écrits par Hitomi. Hitomi est une adulte qui se comporte souvent comme une gamine. Elle a gardé ses rêves d'enfant. Soyez indulgents envers elle.
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Samedi 8 novembre 6 08 /11 /Nov 21:38
J'enfonce très lentement un doigt qui évidement rentre sans aucune difficulté, je le pousse le plus profondément possible, sentant, palpant largement le col de voisine ouverte, je le ressort légèrement pour caresser cette zone si tendre, si pulpeuse à l'entrée du vagin. Les réactions de voisine ouverte sont celles attendues : elle gémit de plus en plus fort, commence à se crisper, tire sur ses liens. Je rentre un deuxième, puis un troisième, puis un quatrième doigt; limant doucement voisine ouverte la cochonne, la remplissant plus que je ne l'ai jamais fait auparavant, je pousse mes doigts, essayent de les enfoncer bien au fond. Le cinquième doigt fait difficulté, la chatte de voisine ouverte semble ne pas vouloir s'ouvrir suffisamment pour l'accueillir. L'autre soumise s'approche renverse du gel sur ma main, prend délicatement chacune des lèvres de voisine ouverte en un pouce et un index, tire dessus pour ouvrir, colle doucement sa bouche au bouton presque turgescent de voisine ouverte pour l'aspirer. Elle relève la tête pour me murmurer tout bas : « Pourriez vous stimuler son anus ? » Je pose la pulpe d'un doigt sur la rose serrée de voisine ouverte qui se cambre, s'arque les membres entravés, mes cinq doigts rentrent d'un coup jusqu'aux carpes.


Enfin.... Enfin mon sexe en feu, offert, ouvert, exhibé reçoit ce qu'il réclame. Je sens un doigt s'enfoncer dans mon vagin lubrifié. Je ne peux m'empêcher de gémir mon plaisir si longtemps frustré. Mes cuisses se crispent pour accompagner la crispation de mon vagin qui essaie d'aspirer le doigt en moi. Un deuxième doigt vient accompagner le premier en moi, je les sens s'enfoncer profondément. Je râle de plaisir. Puis, un 3ème doigt vient ouvrir mon vagin. Je sens une étrange sensation de dilatation de mon vagin. Jamais, ni moi ni mon mari, n'avons enfoncé plus de 3 doigts en moi. Et pourtant, je sens qu'il étire mes chairs intimes, je gémis plus fort, essaie de serrer mes cuisses liées. Non je reste offerte à son vice de me dilater, je sens qu'il appuie fort pour enfoncer profondément ses 4 doigts alors que je pousse des « ahhhh » sans signification que la sensation de me faire dilater le vagin. Il insiste et je ressens maintenant qu'il veut m'ouvrir plus mais mon vagin me fait mal, son élasticité ne permet pas d'en prendre plus sans douleur. Le souffle court, grimaçante, je sens alors en plus des doigts en moi, d'autres doigts qui attrapent mes lèvres intimes. Pas de doute, j 4 doigts dans Voisine Ouverte e reconnais ces doigts si soyeux, je fonds de plaisir. Je la sens m'ouvrir les lèvres et déposer un produit inconnu sur la main qui pousse toujours en moi. Puis, un délicieux frisson de plaisir monte de mon clito et me fait gémir « ohhh ouiiiiii ». Je sens une succion et je sais que cet aspiration ne vient pas de mon mari mais des lèvres de la soumise. Je découvre ce plaisir buccale prodiguée par une femme et l'excitation est à son comble. Dans le même temps, je sens un autre doigt appuyer entre mes fesses ouvertes par la position qui exhibe autant mon anus que mon sexe. Les vagues de plaisirs proviennent de trois endroits de mon bassin : du vagin, du clito et de l'anus. Je suis au bord du tourbillon de plaisir lorsque les 5 doigts pénètrent enfin mon vagin me dilatant comme jamais.


Voisine ouverte pousse une sorte de cris entre le beuglement et le gémissement, je sens son vagin se contracter fortement comme pour expulser mes doigts, elle jouit secouant sa tête, son bassin, tirant par saccade sur les liens, elle jouit, jouit encore, cela semble être un instant d'éternel bonheur. Je laisse mes doigts en place, les poussant encore si possible, ses cris ont avertis les clients du club qu'une salope est entrain de jouir, des couples maîtres(esse)/soumis(es) convergent petit à petit vers le lit de délicieux supplices de voisine ouverte.


Cette dilatation si forte des parois de mon vagin engendre, au moment de la pénétration des 5 doigts, une irrésistible vague de plaisir qui parcourt tout mon corps qui se tend me cambrant dans mes liens. Je hurle presque un cri bestial tellement l'orgasme attendu est violent. Mon bassin se soulève, les contractions orgasmiques de mon vagin distendu, la tête en arrière les seins tendus vers le ciel, je jouis sur la main de mon maître. Plusieurs spasmes de jouissance me font gémir, tendue comme la corde d'un arc mais je sens toujours en moi les doigts qui restent en place.


Je pousse encore sur ma main trempée de la mouille de voisine ouverte et du gel, elle s'enfonce petit à petit complètement dans les entrailles sexuelles de voisines ouvertes qui semblent concentrée uniquement sur ce qui se passe dans son vagin comme si elle n'était plus que cela. Je peux maintenant serrer mon poing, l'ouvrir, le serrer à nouveau dans le tonneau à foutre de voisine ouverte qui s'ouvre de plus en plus. L'effet est immédiat, elle se remet à gémir, à trembler, à remuer ses liens, elle va jouir à nouveau devant tout le monde, quelques minutes à peine après la première fois. Certaines soumises autour d'elle la regardent avec envie.


Peu à peu, la vague de plaisir s'estompe doucement. Je respire fort reprenant mon souffle. Mais je sens toujours la pression sur les parois de mon vagin malgré la jouissance que je viens de subir. Pire encore, je sens que la main continue de pousser plus avant dans mes entrailles. Comme s'il ne voulait pas en rester là, comme si cet orgasme n'était qu'une étape. Je gémis en me mordant les lèvres sentant ma chatte remplie, la main est maintenant complètement en moi. Le gel aidant à glisser mais mon sexe me fait mal ainsi dilaté. Pourtant cette sensation de remplissage me fait tourner la tête. J'ou Voisine Ouverte fistée blie tout ce qui m'entoure, ne vois pas les gens qui me regardent. Les terminaisons nerveuses de mon sexe me donnent une image virtuelle de ce qui est en moi au creux de mes reins. Je visualise la main enfoncée jusqu'au poignet. Écartelée, sur la chaise gynéco, la main dans ma chatte se crispe se serre, le poing se referme en moi me dilatant encore par l'intérieur cette fois. Je pousse un cri surprise par les mouvements dans mon corps. Je me cambre de nouveau tirant sur mes muscles qui ne bougent pas. La main bouge en moi, joue en moi, fermant le poing l'ouvrant, mes chairs intimes distendues me renvoient une sensation obscène de dilatation, d'intrus dans mon corps qui stimule l'intérieur de mon sexe sans sortir comme si un monstre jouait en moi par l'intérieur. La sensation est tellement forte, tellement nouvelle et tellement sexuelle que je repars en criant la voix hachée par des interruptions provoquées par le poing dans ma chatte, en tirant sur mes cuisses en tendant mes seins. Au bout de quelques pressions internes, je cambre mon bassin empalée sur le point en jouissant pour la deuxième fois, à peine quelques minutes après mon premier orgasme. Je retombe le bassin dans le vide, essoufflée.


Je ressors lentement ma main, faisant attention de la faire tourner, d'être délicat pour ne pas brusquer voisine ouverte dont les chairs semblent complètement distendues. Puis un à un, je retire mes doigts, libère ma main. Je la fais bouger devant les yeux de voisine ouverte qui semble prendre conscience avec des yeux écarquillés et effarés de l'immense plaisir qui l'a submergé sans qu'elle puisse le contrôler, des hommes et femmes rassemblés autour d'elle, du lit, des liens.


Je sens la main sortir doucement me quitter. Une sensation de vide en moi mon vagin grand ouvert comme jamais. Je réalise doucement ce qui vient de m'arriver. Mon maître me présente sa main, je réalise que je viens de recevoir cette main en moi. Jusqu'à présent, je l'avais imaginé en moi en fonction de mes sensations mais là, je la vois, pleine de jus de ma chatte. Puis mon regard s'élargit et constate la foule amassée qui m'a regardée jouir par deux fois sur cette main. Leurs regards portés entre mes cuisses qui doivent exhiber mon vagin dilaté ouvert de façon obscène.


Je pose ma main sur son visage, repend sa mouille sur ses joues, sa bouche, ses paupières, je prends une voix douce mais audible autour de moi. « Alors voisine ouverte, tu as joui comme une cochonne ? » A l'évocation de ton nom, certains sourient, une femme rie franchement. Je poursuis : « Alors c'est ça, tu as joui comme une femelle n'attendant plus que cela, comme une femme ne pensant plus qu'à cela ? Et cela a été si fort n'est ce pas, si puissant, tu en rêvais depuis tellement longtemps sans moi » « Et maintenant, ça ne peut plus s'arrêter sinon cela deviendrait fade, tu vas en vouloir encore, tu en veux encore, et je t'en donnerai petite voisine ouverte, et tu es tellement belle quand tu te transforme en chienne en rut. » Je te masse les tempes en te parlant, termine ce monologue intime en posant mes lèvres contre les tiennes, ma main te caressant comme je ne l'avais jamais fait, pinçant, tirant tapotant tes lèvres, ma langue fouillant ta bouche, aspirant tes lèvres, les mordillant, puis les mordant de plus en plus fort pour les tirer avec les dents. Je termine cette délicate caresse en pinçant son clito pour le secouer puis claque une cuisse en disant au voisin : « Ta voisine ouverte est à toi »


Mon maître et aussi mon mari, tourne autour de la table et me caresse de sa main qui vient de ravager ma chatte. La mouille se répand sur mon visage me faisant renifler mon propre sexe. Puis tu t'adresses à moi, mettant en évidence devant tous mon nom et le fait que je viens de prendre mon pied. J'entends les moqueries et la honte, l'humiliation bien que me blessant me procure un plaisir vicieux. Et surtout, tu insistes sur le fait que je vais en vouloir encore. Et, après de tels orgasmes, je réalise rapidement que tu as raison, qu'une relation sexuelle « normale » ne peut pas me donner le même plaisir... Puis ta bouche dépose un baiser sur ma bouche. Un frisson me parcourt de nouveau d'autant plus que ta main s'active de nouveau sur ma chatte offerte. Et ce ne sont pas des caresses, tes doigts jouent avec ma chatte d'une façon possessive, brutale comme jamais tu ne m'as touché. Tes doigts étirent mes lèvres intimes, les pincent alors que ta langue s'enfonce vulgairement dans ma bouche. Tes dents me mordent pendant que tes doigts pincent mon clito. Ces attouchements machos font raviver une certaine envie entre mes cuisses. Et surtout la claque sur ma cuisse me fait tressauter, mouvement typiquement dominateur et possessif. Mais ce qui me fait écarquiller les yeux, c'est la phrase lancée au voisin : « Ta voisine ouverte est à toi »


Le voisin sourit, tapote les mamelles de voisine ouverte en ricanant : « Charmante voisine ouverte, voyons cela » Il va se placer entre les étriers, palpe le pubis, le cul de voisine ouverte pour choisir son trou, puis me demande : « Je crois que voisine ouverte n'est pas très ouverte du cul, je laisse se trou là alors ? » « Oui je te remercie de ton intention voisin, je préfère être le premier à enculer à fond ma chienne. » L'importante question du trou à utiliser pour baiser voisine ouverte étant réglée, le voisin sort sa bite pour vider son foutre dans l'éponge à foutre de voisine ouverte.


Je regarde le voisin, horrifiée par l'idée que ce pervers ne me prenne. J'ai joui sur la main de mon mari mais être offerte à un autre est plus difficile à accepter. Je me souviens du regard de l'homme plus tôt dans la soirée au moment où j'ai été nommé « voisine ouverte ». A cet instant, il savait déjà que je serai ouverte aussi pour lui. Alors que je commence à gémir en direction de mon mari, le voisin passe entre mes cuisses. Ses doigts me touchent sans gêne, pose sa main sur mon pubis, ma vulve descends entre mes fesses. Je me crispe. Je n'ai pas le moyen de me plaindre. Mon mari et maître discute avec le voisin sans m'écouter. Ils parlent de mes orifices devant tout le monde de façon profondément humiliante. Je ferme les yeux de honte mais ces propos humiliants m'excitent malgré moi. Je me mors les lèvres en voyant le voisin sortir son sexe, je sais qu'il va me prendre, qu'il va se défouler en moi et qu'il en rêve depuis le début de la soirée.


Par Hitomi - Publié dans : Le Passage à l'Acte (offline) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Commentaires

Premier Fist ? Mon oeil ... T'as vraiment trop l'air d'aimer ça Hitomi ...
commentaire n° :1 posté par : M le: 11/11/2008 à 09h55
Que répondre à cela ?
Il ne faut pas confondre le personnage et l'actrice.
Voisine Ouverte n'est pas Hitomi.
Maintenant, il est vrai qu'une actrice peut prendre du plaisir à jouer certaines scènes...
réponse de : Hitomi le: 12/11/2008 à 09h23
Je repose ma question alors... Est ce que l'actrice, c'est à dire toi Hitomi, aime ce genre de pratique ?
commentaire n° :2 posté par : M le: 14/11/2008 à 08h43
Laisse moi ton adresse mail dans le commentaire, je te répondrais à part
réponse de : Hitomi le: 17/11/2008 à 20h19
Non. Réponds ici.
commentaire n° :3 posté par : M le: 20/11/2008 à 13h45

Bon, t'es dur avec moi ...

La réponse est : "je ne sais pas", je n'ai jamais essayé. Voilà tu es content ?

réponse de : Hitomi le: 23/11/2008 à 10h23
Le premier fist fucking n'est jamais chose aisée, mais c'est une sensation très agréable. J'en témoigne.

http://www.pecheresse.fr/
commentaire n° :4 posté par : La Pécheresse le: 16/03/2010 à 19h25
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