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  • : Le Carnet d'Hitomi
  • Le Carnet d'Hitomi
  • : Une petite partie des scénarios érotiques co-écrits par Hitomi. Hitomi est une adulte qui se comporte souvent comme une gamine. Elle a gardé ses rêves d'enfant. Soyez indulgents envers elle.
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Edito

Vous trouverez bien mieux ailleurs en blog d'histoires érotiques ou blog érotiques tout court.
J'ai souhaité ici mettre en ligne des textes écrits à plusieurs car je pratique ce genre d'exercice depuis bien longtemps et je trouvais dommage qu'il n'en reste finalement aucune trace.
Certains récits peuvent être très hard voire même dépasser les limites mais rappelez-vous qu'il ne s'agit que de pure fiction....
Quant à moi, si vous me le demandez gentillement, peut-être que je vous raconterais un peu de moi....

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Vendredi 17 octobre 5 17 /10 /Oct 18:33
Nous quittons cette salle pour aller vers une autre d'où s'échappent des bruits secs et des gémissements. Je te tire pour y aller, tu sembles plus rétives, je m'approche de toi, caresse tes fesses sous la mini, la soulevant largement. Je t'embrasse dans le cou : « Allons voisine ouverte chérie, ce n'est qu'un jeu, rien ne dit ce que nous ferons ! ». Voisine ouverte et chérie sonnent bizarrement ensemble, et finalement n'irait il pas très bien ensemble, ne serait il pas le signe d'un amour profond ? Je te regarde fixement, tendrement en tirant la laisse, la soumise du voisin s'approche de toi et te murmure : « Si il ne veut pas te perdre, il doit en premier tenir compte de ton plaisir et de tes désirs, les maitresses des jeux ce sont les soumises en fait ». J'approche ma main de ton collier, attrape l'anneau auquel est attaché la laisse et te tire dans la pièce.

De nouveau, mon mari est obligé de tirer sur ma laisse pour me faire bouger, pour arracher mon regard de ce qui se passe ici. Je sens que je quitte presque à regret ses femmes attachées. Mais cette fois, c'est mon oreille qui est sollicitée, des claquements... des gémissements... des cris. Mon sang ne fait qu'un tour, j'ai tellement fantasmée sur ces pratiques que je n'ai aucun doute sur ce qui se passe derrière. Je prends peur, je m'arrête. J'ai peur d'être confrontée à mes fantasmes. Je panique. Je sens la main de mon mari nouvellement appelé maître sur mes fesses nues. Ses attouchements me ramènent sur terre. Il essaie de me rassurer mais mon cœur bat à tout rompre. Le voisin lui aussi essaie de me dire des choses sur le respect entre la maitre et sa soumise mais je ne l'écoute pas. Je ne l'écoute pas car je sais que, ce que je vais voir, c'est ce qui m'excite le plus dans mes dials et parfois même c'est ce qui me fait jouir.... La main se fait plus pressante, la force de l'homme qui est mon mari m'entraîne.


Soumise avant fouet Étant donné le lieu, on aurait envie de dire « rien que de très classique ». Des anneaux aux murs permettent d'attacher des êtres humains et de les fouetter, cravacher, fesser, quoi de plus normal finalement ? Un homme attaché de face se fait cravacher par sa maitresse, son membre dressé montre clairement l'état d'excitation dans lequel le met se traitement, sa maitresse en profite pour l'insulter largement sur cette érection non maitrisée. A côté de lui, une femme attachée face contre le mur se fait fouetter par une dame en combinaison de cuir, bottes à haut talon. Les marques sur son dos et ses fesses montrent clairement la violence de la correction, la soumise pourtant ne dit rien, accepte les coups sans broncher. Notre voisin va saluer la vigoureuse fouetteuse. « Ah elle a encore progressé, maintenant tu la corriges sans la bâillonner » « Oui elle, c'est une très bonne élève et elle aime les endorphines ». Elle montre du doigt ma femme : « C'est une nouvelle, elle veut commencer avec moi ? » Le voisin réplique doucement : « Ah elle débute, et Voisine ouverte n'est pas ma soumise » Moqueuse elle complété : « Voisine ouverte c'est son nom ? Rien que le nom mort de rire » Elle ponctue sa phrase d'un coup de fouet sur sa soumise qui se cambre sous la douleur.


Soumise fouettée sous les yeux d'Hitomi

A peine entrée un claquement attire mon regard, je découvre avec horreur et délice le dos et les fesses d'une femme marquée par la morsure du fouet qu'une maîtresse en cuir lui inflige. Cette vision maintes fois imaginée par mon corps me fait frissonner de la tête au pied. J'halète presque et des crispations de mes cuisses et de mon vagin accompagnent le fouet. Sa peau est marquée par des stries rouges. Je n'ose pas imaginer la douleur que cette femme ressent et qui pourtant, ne crie pas. Entre mes cuisses serrées, mon vagin se liquéfie. Je savais que voir une telle scène m'exciterait. Je le sais depuis toujours que ces scènes de correction violente me donnent du plaisir et l'envie de me masturber mais jamais je n'ai envisagé des les pratiquer. La fouetteuse me pointe du doigt, j'entends à peine ce qu'elle dit, mais c'est comme si elle me désignait pour aller prendre la place de la pauvre fouettée. Mon cœur s'arrête un instant mais le voisin la calme. Et pourtant j'halète, j'ai chaud, je suis en feu. Elle prononce mon nom en se moquant et, en me jetant un regard de défi frappe les fesses de la soumise qui se crispe en se tordant.


Là je suis inquiet, ça fait beaucoup, je m'approche de la femme que je tiens au bout de la laisse, la regarde, je frotte mon nez amusé contre le sien, glisse une nouvelle fois ma main sous la mini. Je sens son sexe encore trempé, dégoulinant, je cherche discrètement son clitoris, son état me rassure ou m'affole, l'heure n'est plus à l'analyse détaillée. Je la caresse rentre un doigt profondément, je veux l'exciter plus, lui donner du plaisir pour lui donner envie de continuer. Je glisse un doigt aussi vers sa rose serrée de derrière qui réagit mieux qu'au début de la soirée se laissant caresser, masser Je sens les fesses de ma femme bouger et à ma grande surprise je vois la soumise du voisin presque collée à ma femme lui caressant tendrement les fesses et la nuque en lui murmurant dans l'oreille. Ma femme aurait elle un apprentissage par une paire ? Elle se laisse bercer par ma masturbation, les douceurs de notre nouvelle amie et le spectacle qui s'offre à elle.


Je suis comme hypnotisée tout mon corps tremble. Mon mari s'approche sa main passe entre mes cuisses et je sais qu'il ne peut que constater mon état d'excitation. Il me fouille doucement, ses doigts jouent avec mon clitoris tendu gonflé de sang, un doigt s'enfonce facilement mon vagin dilaté grand ouvert. Vicieux il continue à profiter de Voisine ouverte car oui à cet instant je suis ouverte, pourquoi le nier. Ses doigts passent entre mes fesses touchent mon anus qui est lui aussi dilaté par la chaleur et l'excitation de mon bas ventre. Je me laisse faire, je me laisse toucher ... ouverte. Puis un frisson part de ma nuque et parcourt mon corps jusqu'au bout des seins, des doigts, des orteils. Un baiser de la maitresse du voisin dont j'ignore même le nom, le baiser d'une femme... Elle me parle doucement tout doucement « laisse toi aller, tu sais que tu en a envie.... Tu sais que cela t'excite .... Accepte ce que tu es .... Accepte le plaisir oublie tes tabous .... Tu ne joues pas à Voisine ouverte, TU ES voisine ouverte... depuis toujours tu le sais » Mes yeux rivés sur le spectacle du fouet qui lacère la peau, mon mari jouant avec mes organes, et la jolie soumise me susurrant tout en me caressant, mes jambes tremblent presque au bord de l'orgasme devant tant d'émotions refoulées. Je ne suis plus moi-même, je ne me contrôle plus.


Le voisin nous sort de notre torpeur : « On va voir la dernière salle ? » Celle-ci est plus soft, moins SM, des couchettes sur les bords de la salle ronde, au milieu un sorte d'immense pouf sur lequel des couples baisent plus ou moins tranquillement, dans un coin un lit de gynécologie. Je réalise soudain que nous avons fait le tour du club, que nous seulement cela a plu à ma femme, mais la fortement troublée, l'est elle autant que dans ces chattes, je ne sais pas mais elle est complètement ouverte, excitée, disponible. Finalement son nom de soumise lui convient bien. Je m'imagine parler de cela lors de notre prochaine réunion de famille chez ses parents, dire au café : « Ah belle maman vous avez une fille extraordinaire, qui est à la fois une bonne mère, une adorable épouse et ce qui ne gâche rien une incroyable salope soumise » Me répondrait elle : «Cher gendre j'attendais ce moment avec impatiente, moi même je m'y suis mise tardivement mais quel plaisir ».


Encore une fois, vous m'arrachez au spectacle et aux mains qui me touchent. La dernière salle est presque décevante. Bien sûr des couples font l'amour, mais rien à voir avec le spectacle précédent. Mes seins sont tendus mes mamelons pointant outrageusement, ma jupe courte ne cache pas ma peau luisante de mouille entre mes cuisses. Tout mon corps est en feu et mon sexe réclame le plaisir.


La sensation des regards sur moi ma ramène à la réalité, la visite est terminée, il faut passer à des choses plus concrètes. Je n'ai pas le choix, il faut que je trouve ce qui va faire le plus jouir ma femme. Je la regarde, est elle vraiment ma femme ou seulement Voisine ouverte une apprentie soumise désirant comme une folle être traitée en salope ?


Je me sens tellement obscène, tout mon corps exulte l'envie de plaisir comme une chienne qui serait en rut et qui chercherait à se faire saillir. Cette visite m'a mise dans un tel état. Je croise le regard perdu de mon mari qui réfléchi, le sourire moqueur du voisin et la bouche en cœur, le regard pétillant de sa soumise.

Par Hitomi - Publié dans : Le Passage à l'Acte (offline) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Jeudi 16 octobre 4 16 /10 /Oct 21:02
Résumé de l’épisode précédent
Y, un collègue d’Hitomi, l’invite à boire un verre chez lui. Hitomi espère beaucoup de ce rendez-vous. Pourtant Y la drogue et lui fait faire quelques poses photo alors qu’elle est inconsciente. Il l’attache ensuite avant de la réveiller brutalement.

Y dit (21:16) :
Tu es attachée sur la table en levrette, une barre d'écartement entre les jambes, les mains liées dans le dos, et tu ne portes que ta petite culotte et tes chaussures (ndh des mules à talon)
Hitomi dit (21:43) :
Tu m'as réveillée par une belle paire de gifles je réalise que je suis attachée sur la table les fesses en l'air. Je crie et gémis te demandant de me libérer
Y dit (21:43) :
Je m'assois dans le canapé et prend plaisir à te regarder me supplier
Y dit (21:44) :
Je m'allume une cigarette
Hitomi dit (21:44) :
Je tourne la tête sur la table liée par le collier. je tire sur mes bras 'détache moi ! Je t'en prie ....
Y dit (21:44) :
"Et pourquoi je te libérerais ?"
Hitomi dit (21:45) :
Je sens mes jambes écartées. Je réalise que je n'ai plus ma robe. je te regarde les yeux en larmes "qu'est ce que j'ai fait... pitié... ne me fait pas de mal ...
Y dit (21:46) :
"Je ne vais pas te faire de mal, et pour ce que j'en ai senti tout a l'heure, tu prends plutôt ton pied"
Hitomi dit (21:47) :
Je me sens humiliée par ce que tu dis me faisant croire que je prends du plaisir à être traitée ainsi "nooon tu mens ! Espèce de ... de ... pervers !"
Y dit (21:48) :
Hitomi mains liées dans le dos
Je me lève, me place derrière toi, et glisse ma main sous ta culotte. Je glisse un doigt dans ton sexe, facilement, que je sors couvert de mouilles
Y dit (21:48) :
Je place mon doigt devant ton visage " et ça c'est quoi ?"
Hitomi dit (21:49) :
Je te sens approcher de moi par derrière avec la vue sur mes fesses tendues. J'essaie de tourner la tête, de me la tordre puis je sens ta main qui soulève le tissu de ma culotte. Je crie 'noooooo' et ton doigt s'enfonce en moi. Je râle de désespoir en n'opposant aucune résistance
Hitomi dit (21:49) :
Puis tu ressors et m'expose ton doigt plein de mon jus. je détourne la tête en pleurant
Y dit (21:49) :
"Goute ta mouille"
Hitomi dit (21:50) :
"Nooonn" je suis au bord de m'effondrer honteuse et humiliée ainsi. Tu me pousse vers le vice pervers
Y dit (21:50) :
Je te prends par les cheveux, et force ta bouche pour y enfoncer mon doigt
Hitomi dit (21:51) :
Tu tires mes cheveux me faisant grimacer. Je crie de douleur ouvrant la bouche : tu en profites pour y enfoncer ton doigt et me faire gouter à mon propre sexe
Y dit (21:52) :
" Tu aimes ?"
Hitomi dit (21:52) :
Des larmes coulent sur mes joues je hoche la tête pour dire non avec une terrible envie de te mordre
Y dit (21:52) :
"Je suis sûr que oui"
Y dit (21:53) :
Et je retourne derrière toi
Y dit (21:53) :
Je prends un vibro dans ma boite
Hitomi dit (21:53) :
Je suis toujours les fesses en l'air avec juste ma culotte qui couvre mon sexe. Les jambes écartées par la barre, je ne vois pas ce que tu fais
Y dit (21:53) :
J'écarte ta culotte
Y dit (21:54) :
Et enfonce dans ton sexe le vibro, que je mets en marche, sur la vitesse la plus rapide, et je le bloque avec ta culotte
Y dit (21:54) :
Puis je retourne m'assoir, m'allumant une cigarette
Hitomi dit (21:55) :
Je sens de nouveau le tissu se décoller de ma vulve. Puis je sens quelque chose que tu pousses en moi. je crie 'noooon pitié ne me viole pas ! Je t'en prie ...'. Mais tu l'enfonces dans mon vagin qui le laisse entrer et soudain je sens la vibration. Je crie 'ahhhhhh non '
Hitomi dit (21:56) :
Mais tu t'écartes laissant en moi le vibro qui me donne des vagues de chaleur malgré moi. J'ai honte car je sens que je mouille alors que tu me regardes. Je gémis en serrant les dents
Y dit (21:57) :
"Mais laisse toi aller, on est entre nous"
Y dit (21:57) :
"Je vais même en faire un souvenir"
Hitomi dit (21:57) :
Attachée sur la table, engodée dans ma culotte qui vibre, je ressens la honte de ma vie d'être ainsi devant toi
Y dit (21:57) :
Je prends mon appareil photo et recommence a te filmer
Hitomi dit (21:58) :
Puis du regard je te vois prendre l'appareil. je hurle 'noooon pas ça nooon je ne veux pas qu'on me voit comme ça "
Y dit (21:58) :
"Ne t'en fais pas ça restera entre nous, tant que tu seras obéissante"
Hitomi dit (21:59) :
Tes mots me font comprendre la menace de diffusion de telles images me forçant à faire ce que tu veux. Je me sens prise au piège
Y dit (22:00) :
"Laisse toi jouir, après tu te sentiras mieux, tu verras"
Hitomi dit (22:01) :
'Noooon je ne veux pas' Et pourtant le vibro me donne de plus en plus de frissons alors que ma culotte est maintenant trempée obscène comme une vilaine fille
Y dit (22:01) :
Je me lève, et me place derrière toi, filmant ta culotte
Y dit (22:01) :
"Tu veux faire croire à qui que tu ne veux pas, ta culotte est toute mouillée"
Hitomi dit (22:02) :
Je sens que tu filmes le tissu maintenant transparent de ma lubrification. J'ai honte de mouiller ainsi. Je me sens vulgaire
Y dit (22:02) :
Je tapote le cul du vibro au travers de ta culotte
Hitomi dit (22:03) :
Ahhhhhh je ne peux réprimer un cri alors que le vibro bouge en moi dans mon vagin dilaté au bord de la jouissance
Y dit (22:03) :
Je claque tes fesses
Hitomi dit (22:04) :
La claque me surprend et frappe mes fesses au travers de ma culotte. Je n'ai pas vraiment mal mais la honte de me voir comme une petite fille punie fessée me submerge. Je crie "nooon pitiééé"
Y dit (22:04) :
"Bien"
Y dit (22:04) :
J'arrête, et coupe le vibro le laissant dans ta chatte
Y dit (22:05) :
Je me place devant toi et m'accroupis pour être a ta hauteur
Y dit (22:05) :
"C'est mieux ?"
Hitomi dit (22:06) :
Je sens que tu coupes le vibro. Mon sexe est brulant, ma culotte trempée et une envie irrésistible entre mes cuisses. Je suis presque frustrée de n'avoir pas joui alors que je sens le vibro toujours en moi
Hitomi dit (22:06) :
J'halète, respire fort. Mes joues roses, mon corps me trahit mais je continue à dire "libère-moi s'il te plaît ..." presque gentiment
Y dit (22:07) :
"Mmmh "
Y dit (22:07) :
"Non"
Y dit (22:07) :
Et je retourne derrière toi et relance le vibro, à la moitié de sa vitesse max
Hitomi dit (22:08) :
Je ne dis rien en entendant non. Pourquoi ? Je ne sais pas. J'ai honte d'être ainsi traitée mais je sens aussi que mon sexe réclame. Je ferme les yeux, vaincue ... puis tu t'éloignes et relance le vibro. Je gémis les fesses en l'air
Y dit (22:09) :
"Je te libérerais quand j'en aurais envie, et pour l'instant je n'en ai pas, j'ai plutôt envie d'autre chose, mais chaque chose en son temps"
Hitomi dit (22:10) :
Je pousse des petits soupirs sentant que je coule toujours entre mes cuisses mon bassin relevé. je me demande si ce calvaire va durer longtemps mais je sais que tu m'as filmé
Y dit (22:10) :
J'appuie sur le vibro pour le pousser au plus profond de ton sexe, et je garde la pression
Hitomi dit (22:11) :
Je me cambre sentant la pression. Je gémis la bouche ouverte prise à mon propre plaisir. J'ai envie d'onduler, de jouir
Y dit (22:12) :
Tout en maintenant la pression avec mon pouce, je commence à masser ton clito avec mon majeur et mon index
Hitomi dit (22:13) :
« Ahhhh noooon pas là ahhh » je râle de plaisir alors que tu masses mon clito tendu très sensible. 'Noooon' je me dis plus « non » à moi-même pour ne pas jouir plutôt qu'à toi pour que tu arrêtes
Y dit (22:13) :
J'intensifie ma caresse, l'écrasant plus que je le masse
Hitomi dit (22:14) :
Plus tu appuies plus mes râles se transforment en gémissements obscènes. Je me crispe : je ne veux pas jouir ; pas ainsi
Y dit (22:15) :
Je relâche la pression de mon pouce, tout en continuant de masser ton clito
Y dit (22:15) :
Et je repousse le vibro, et commence à alterner pression et relâche, sentant que tu ne vas pas tarder à jouir
Hitomi dit (22:16) :
« Ahhh » je sens le vibro glisser doucement alors que mon clito me renvoit des vagues de plaisirs. Je me cambre attachée la tête relevée en gémissant animal 'hhaaannnn'
Y dit (22:17) :
Je te filme toujours
Hitomi dit (22:17) :
Je ne vois plus la caméra. Je ne suis plus moi-même. mon corps prends le pas sur mon esprit je respire de plus en plus vite de plus en plus fort
Y dit (22:18) :
J'accélère les pression/relâchement sur le vibro
Y dit (22:18) :
Et je coince entre mon index et mon majeur ton clito, le pinçant
Hitomi dit (22:19) :
Au moment où tu pinces mon clito, un arc électrique déclenche en moi une crispation vaginale. Je sens monter en moi une vague violente, un orgasme terrible. Je hurle un son animal
Y dit (22:20) :
Mes doigts commencent à être complètement couverts de ton jus
Hitomi dit (22:20) :
Un flot de mouille inonde ma culotte alors que je jouis ainsi attachée offerte
Y dit (22:20) :
Te voyant jouir, je suis satisfait, tu as franchi la première étape
Hitomi dit (22:21) :
Je tire sur mes bras liés encore secoués par des crispations internes en râlant ne réalisant pas encore ce que je viens de faire


A suivre ...
Par Hitomi - Publié dans : Les Collègues (online)
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