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  • : Le Carnet d'Hitomi
  • Le Carnet d'Hitomi
  • : Une petite partie des scénarios érotiques co-écrits par Hitomi. Hitomi est une adulte qui se comporte souvent comme une gamine. Elle a gardé ses rêves d'enfant. Soyez indulgents envers elle.
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Edito

Vous trouverez bien mieux ailleurs en blog d'histoires érotiques ou blog érotiques tout court.
J'ai souhaité ici mettre en ligne des textes écrits à plusieurs car je pratique ce genre d'exercice depuis bien longtemps et je trouvais dommage qu'il n'en reste finalement aucune trace.
Certains récits peuvent être très hard voire même dépasser les limites mais rappelez-vous qu'il ne s'agit que de pure fiction....
Quant à moi, si vous me le demandez gentillement, peut-être que je vous raconterais un peu de moi....

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Vendredi 31 octobre 5 31 /10 /Oct 17:00
Résumé de l'épisode précédent
Kendra sépare Ayako et Hitomi et décide de rester seule avec Hitomi. Après l’avoir attachée aux montants du lit, elle enferme ses seins entre deux baguettes de bois bien serrées. Puis, elle l’abandonne seule avec un objet cylindrique lisse dans le vagin en interdisant à Hitomi de le laisser s’échapper.

Hitomi dit (23:17) :
Je gémis en la voyant partir à regret. Je suis liée, écartelée, mes mamelons écrasés par les baguettes serrées qui m'excitent et me font mouiller et un objet qui glisse malgré moi de ma vulve. Je crispe mon vagin pour essayer de le maintenir mais je sens que je n'y arriverai pas
P dit (23:17) :
Une longue attente... tu entends juste des bruits, des voix au loin...
Hitomi dit (23:17) :
Je me bats pour maintenir l'objet en moi mais je le sens glisser : cylindrique, rien ne le retient en moi
P dit (23:17) :
Enfin, quelqu'un revient dans la cellule... c'est Ayako, seule, en larmes, visiblement encore choquée par ce qu'elle vient de subir...
P dit (23:18) :
Tête basse, sans un mot, elle vient s'agenouiller en face de toi, mains dans le dos
Hitomi dit (23:19) :
Je la vois entrer en larme. Désolée pour elle, j'ai envie de la consoler mais je ne peux pas bouger. que lui ont-elles fait ? Puis je la vois s'agenouiller comme Audrey. Un frisson me parcourt vicieux pervers : une envie
P dit (23:20) :
Tête basse, elle murmure : "elle m'a ordonnée de rester ainsi... si je te détache, on sera punies toutes les deux, ce sera encore pire... " D'une petite voix hésitante : "ça va?..."
Hitomi dit (23:22) :
Je l'écoute. Je vois son visage à hauteur de mon pubis, de mon sexe dont la baguette sort maintenant au 2/3. Rien que de la voir ainsi, je coule encore plus. J'ai trop envie qu'elle me fasse ce qu'Audrey m'a fait. Mais je réponds en hochant la tête. elle voit la baguette glisser de plus en plus
P dit (23:23) :
"Kendra m'a dit que si le bâton sortait... il fallait que je le fasse rentrer... sans les mains, avec la bouche... désolée, Hitomi... il faut que..."
P dit (23:23) :
Elle s'avance entre tes jambes, prend la baguette dans sa bouche et commence à la faire remonter...
Hitomi dit (23:25) :
Je la regarde prendre la baguette avec sa bouche que je voudrais sur mes lèvres, sur mon clito, dans mon vagin. Mais elle appuie doucement pour le faire remonter dans mon vagin qui coule sur mes cuisses. Je suis surexcitée et je gémis en même temps frustrée et stimulée
P dit (23:26) :
Et puis... comme si elle ne pouvait pas s'en empêcher, comme si elle ne pouvait plus résister... entrainée par ce cauchemar dans lequel vous êtes plongées... elle ne recule pas... serrant la baguette entre ses dents, elle commence à la faire monter et descendre... lentement...
Hitomi dit (23:27) :
« Hmmmm » je gémis dans mon bâillon sentant qu'elle fait du zèle enfonçant l'objet en moi avec sa bouche. Mon corps est luisant de sueur. J'ouvre mes chairs lui offre mon vagin. C'est si doux et c'est Ayako qui me donne ce plaisir
P dit (23:28) :
Emportée par ce qu'elle fait, elle continue... lentement... tu réalises de plus en plus qu'elle devait déjà fantasmer sur toi avant...
Hitomi dit (23:30) :
Je me souviens de ses regards sur moi lorsque Kendra m'a fait jouir. De ses regards sur mon corps dans le fourgon. aurait-elle vraiment envie de moi ? Mais c'est si bon. Je voudrais plus. Je voudrais sa bouche qui aspire mon clito. Je gémis de plus en plus fort. Elle le sait, elle le sent
P dit (23:31) :
visiblement, elle n'ose pas en faire trop... faisant de son mieux pour te caresser avec la baguette...en baissant le regard tu vois ses seins menus, ses petits tétons érigés et rouges d'excitation...
Hitomi dit (23:33) :
Pourtant j'ai envie de lui crier de me faire jouir. Mais elle continue sa douce pénétration en me mettant en fait au supplice de la jouissance que j'espère. Je la regarde, son visage si proche de mon sexe, ses seins tendus. Elle est excitée aussi.
P dit (23:34) :
À l'extérieur de la cellule, vous entendez des pas qui se rapprochent... du coup, elle se dépêche d'enfoncer la baguette aussi profondément que possible en toi... et s'écarte, reprenant une position soumise...
Hitomi dit (23:35) :
J'entends tout comme elle. Elle enfonce la baguette .je me crispe de nouveau sans pouvoir totalement l'empêcher de glisser. Je la vois maintenant devant moi les mains dans le dos, les seins tendus, son visage en face de mon sexe. oh comme j'aimerais ...
P dit (23:36) :
Ce sont Kendra et Aziza qui reviennent... accompagnées de deux blacks... et d'Audrey et de Sonia
P dit (23:37) :
Aussitôt entrées, Audrey et Sonia retirent leur blouse pour se mettre nues devant leur lit... comme Ayako l'a fait...
Hitomi dit (23:38) :
Kendra sourit. Les autres nous découvrent : moi écartelée, les seins entre les baguettes, mon sexe en feu, la baguette glissant doucement. la honte me terrasse surtout devant Audrey
Hitomi dit (23:38) :
Je vois les deux blondes se mettre en position de soumise, dociles. Moi je reste offerte sentant de plus en plus la baguette me quitter
P dit (23:39) :
Sorane semble mecontente d'Audrey... elle lui ordonne de se mettre dans la même position que toi... en face de toi en diagonale...
Hitomi dit (23:40) :
Je découvre la maitresse d'Audrey ... Audrey n'hésite pas et obéis. Son regard croise le mien me rappelant des souvenirs délicieux et faisant glisser encore la baguette de mon vagin
P dit (23:41) :
Sorane pose sur ses tétons des baguettes... le même genre, sauf qu'elles sont beaucoup plus courtes, et elle les pose à la verticale, deux petites pour chaque téton... et elle y attache des poids
Hitomi dit (23:43) :
Je regarde affolée la pauvre Audrey voyant ses seins déformés par les poids. Elle grimace. Je la vois et, malgré la compassion que je ressens pour elle, cette image m'excite. Une coulée de mouille emporte encore la baguette que je n'arrive plus à retenir
P dit (23:44) :
Elles la regardent toutes les 4... L'insultant, lui disant qu'elle n'est vraiment bonne a rien... même pas capable d'offrir correctement du plaisir a sa maitresse...
Hitomi dit (23:45) :
Audrey encaisse les insultes. Mes yeux sont rivés sur ses seins étirés. Mon sexe palpite malgré moi. Comment puis-je prendre du plaisir à la voir souffrir ?
P dit (23:46) :
tu comprends vite que les deux beurs et les deux blacks prennent leur pied à insulter une blanche a leur merci... a la rabaisser... surtout quand tu penses a la façon dont elle t'avait fait jouir...
Hitomi dit (23:47) :
Dans ma tête, je revois le doux visage d'Audrey entre mes cuisses : sa langue si délicieuse et l'orgasme que j'ai reçu grâce à elle. Là maintenant sa souffrance.... je coule et la baguette finit par tomber entre mes cuisses
P dit (23:48) :
On entend soudain un "poc" sec dans la pièce... la baguette vient de glisser de ton sexe, tombant au sol... Kendra se retourne vers toi avec un sourire moqueur : "je vois... tu n'as pas vraiment envie d'une petite récompense..."
Hitomi dit (23:49) :
Je l'entends moi aussi sachant très bien ce que c'est. La baguette au sol devant Ayako est luisante de ma mouille. Je vois le visage de Kendra, son sourire pervers et moqueur. j'ai envie de lui demander pardon
P dit (23:50) :
Elles discutent entre elles... finalement décidant que ce serait bon que tu t'entraines un peu : "tu vas sucer cette pute d'Audrey...»
Hitomi dit (23:51) :
Je les écoute attachée, écartelée, mon sexe en feu frustré puis le verdict tombe ... Audrey ... lui rendre le bien qu'elle ma fait ... cela me parait presque une récompense
P dit (23:51) :
Elles te détachent du lit, enfin... te laissant les baguettes sur les tétons... t'arrachent ton bâillon... commencent à te lier les bras dans le dos, croises, serres, cordes passant autour de tes seins...
Hitomi dit (23:55) :
Elles me libèrent. Mes jambes ont du mal à me porter. Enfin elle libère ma bouche sortant le bâillon plein de salive. Puis elles me lient les bras dans le dos. Elles s'amusent à me serrer fort en passant la corde autours de mes seins, les serrant, toujours les mamelons écrasés. Je gémis et l'effet est immédiat sur ma chatte. mes seins aiment trop ce genre de traitement
P dit (23:56) :
Elles te font agenouiller devant Audrey : "vas-y... et t'as intérêt à faire jouir cette petite salope..."
Hitomi dit (23:57) :
Je tombe à genoux, haletante. Mes seins me donnent un plaisir inimaginable dans la douleur et surtout je ne demande qu'à faire jouir Audrey
P dit (23:57) :
Devant toi, Audrey pleure dans ses liens... te reconnaissant maintenant, comme soulagée de trouver un visage amical... humiliée par les 4 autres, elle te jette un regard désespéré...
Hitomi dit (23:58) :
Je la vois pleurer. Cela me désole mais je ne peux m'empêcher de regarder ses seins maltraités. Je lui rends son regard approchant mon visage de son sexe. Je lui montre que je vais la soulager comme elle l'a fait pour moi
P dit (00:00) :
Tu sens son regard vaciller. a la fois humiliée d'être traitée ainsi devant toi... voulant refuser de s'abandonner... et tellement frustrée qu'elle a envie de toi...
P dit (00:00) :
Comme par un reflexe de pudeur, elle se débat dans ses liens... se cambrant pour essayer d'échapper a ta bouche qui avance...
Hitomi lèche Audrey Hitomi dit (00:01) :
J'approche mes lèvres, tire ma langue et goute enfin à ses lèvres fines et épilées. Malgré ses mouvements, elle ne peut bouger et ma langue glisse sur ses lèvres doucement puis entre. Je prends plaisir à la lécher comme si j'avais toujours été une gouine
P dit (00:02) :
Tu la sens cambrée, tendue, essayant de te fermer son sexe, par honte... mais visiblement elle n'a eu droit a aucun réconfort depuis longtemps... elle sent ta langue... elle commence petit à petit à se relâcher... se laisser aller... s'ouvrant et se detendant...
Hitomi dit (00:03) :
Je sens ses lèvres crispées se détendre doucement sous ma langue. Ma langue passe maintenant entre mes lèvres qui se collent à son sexe aspirant doucement. Je sens sa vibration. Elle s'ouvre. Elle commence à couler doucement. je goute à son sexe avec délice
P dit (00:05) :
Au bout d'un moment, elle s'est complètement relâchée... fermant les yeux pour ne pas voir les 4 filles qui profitent du spectacle... essayant de ne pas écouter leurs insultes... elle s'abandonne a ta langue... complètement maintenant, s'arqueboutant pour avancer son sexe vers toi
Hitomi dit (00:06) :
Je la sens appuyer malgré ses liens son sexe sur ma bouche. Ses lèvres s'ouvrent. Je découvre sa grotte humide et y insinue ma langue cherchant la chaleur de son corps. Je remonte ma langue pour titiller son clito qui se dresse. Je pose ma bouche et aspire son clito. je veux la faire jouir
P dit (00:08) :
Petit a petit elle commence à se trémousser... râlant dans son bâillon des "non" de honte pour cacher son excitation... elle est trempée, ouverte, offerte a ta langue... malgré la douleur de ses tétons...
Hitomi dit (00:09) :
Je la sens vibrer sur ma langue. Ses grandes lèvres sont maintenant ouvertes. Ma langue parcourt ses petites lèvres avec vices, lapant son sexe, s'enfonçant dans son vagin puis venant tourner autours du clito. Je la sens monter de plus en plus, onduler sous ma langue. Je suis heureuse de lui offrir ce plaisir
P dit (00:10) :
Et soudain... elle explose, hurlant dans le bâillon, se tordant comme une folle dans ses liens, les yeux révulsés... incontrôlable... cherchant encore ta langue...
Hitomi dit (00:12) :
Ma langue que je lui donne. Je l'enfonce dans sa chatte qui se contracte lâchant des flots de mouille que je m'empresse de boire avec désirs. que c'est bon de la sentir jouir sur ma bouche

Par Hitomi - Publié dans : L'Erreur Judiciaire (online)
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Mardi 28 octobre 2 28 /10 /Oct 17:13
Je respire à fond, regarde autour de moi, me remémore les salles traversées, par quoi allons nous commencé ? Non ce n'est pas possible je ne vais traiter ma femme comme cela, je ne vais pas la baiser comme une truie ou comme un putain, ça c'est bon pour les femmes la pétasse du voisin pas pour mon épouse chérie. A propos de cette femme, je la regarde, elle est à nouveau collée au dos de mon épouse, et comme il n'y a qu'une raison pour que quelqu'un d'autre que ma femme mette sa main à cette endroit, je suis obligé d'accepter qu'elle est entrain de caresser doucement ma fameuse épouse chérie, bougeant doucement ses doigts glissés dans l'entrecuisse. L'avantage de cette mini jupe, c'est qu'on est courant de tout ce qui se passe dessous.


Pendant le temps d'hésitation de mon mari, la soumise du voisin qui semble en pincer pour moi se colle de nouveau à mon dos. Sa main glisse sur mon bas ventre et vient plonger sous la mini en vinyle, ses doigts délicats trouvant facilement mes lèvres intimes gonflées et trempées. La sensation de ses doigts, des doigts de femme, qui me touchent, m'enfonce encore dans la recherche du plaisir. Mon bassin ondule sur ses doigts devant le regard de toutes les personnes présentes comme un appel au peuple.


Effaré par la situation je me demande comment se fait il que ma femme ne lui a pas encore donné une gifle, mais que ce soit mon épouse, qu'elle soit chérie ou pas, il me faut admettre que Voisine ouverte adore ces caresses, adore n'est peut être pas le bon mot, elle a les yeux mi-clos, remue doucement son bassin attendant la suite et probablement le plaisir. Je me souviens rapidement d'une phrase lue dans les logs des dialogues de ma femme : « Le plus dur dans la soumission n'est pas l'humiliation ou la douleur, le plus dur est de se découvrir soumise » Découvrir que son épouse est une soumise qu'elle adore ça et qu'elle en montre une excitation bien supérieure à celle de nos relations de couples n'est pas facile non plus.


Mon voisin toussote, je le regarde, il me montre discrètement voisine ouverte qui commence à jouir, en ce lieu, en ce moment il n'est plus possible de l'appeler mon épouse chérie. J'hésite un instant puis réagit, gifle voisine ouverte, aurais je jamais osé un tel geste sur mon épouse, tire un coup sec sur la laisse pour lui faire sortir le cul des doigts envoutant. « Qu'est ce que tu as petite salope, tu vas jouir comme çà comme une putain ? » Voisine ouverte me regarde un instant, un instant je revois ces yeux, ce regard qui a capturé mes sens quand nous commencions à nous fréquenter, depuis combien d'années n'ai je pas vu ce regard ? Et il faut que ce soit ici. Ben oui, c'est justement parce que nous sommes ici que j'ai la chance de revoir ce regard.


Emportée par le doux mouvement des doigts de la soumise du voisin, j'ondule haletante sans percevoir le signe du voisin à mon mari. Les yeux mi-clos sentant monter en moi le plaisir masturbée par la femme, je sors de ma rêverie d'un seul coup. Giflée brutalement, la douleur perce ma joue qui valse, mes yeux s'ouvrent en grand. Je suis choquée, jamais mon mari ne m'a battue et une chaleur envahissante monte à mon visage. Je n'arrive plus à réagir comme une épouse bafouée par une telle gifle. Je n'ai pas le temps de me plaindre car la laisse tire sur mon cou me forçant à avancer d'un pas vers lui. Ce qui est le plus frustrant n'est pas cette gifle ou cette reprise en main, c'est que les doigts de la soumise du voisin quittent mon entrecuisse qui palpite de désir. A mes oreilles parviennent les mots de cette voix que je connais si bien. Et pourtant, ce ne sont pas des mots habituels dans sa bouche mais des mots vulgaires, humiliants : « Qu'est ce que tu as petite salope, tu vas jouir comme ça comme une putain ? ». Ces mots blessants sont pourtant emprunts de vérité, j'étais sur le point de jouir debout devant tout le monde ... comme une putain ... Et cette façon de m'insulter, de me rappeler ce que je suis en train de faire, de me montrer la manière dont je me comporte trouve un écho au fond de mon âme. Je lève les yeux vers mon mari, en oubliant presque que c'est mon mari. Ce ne sont plus les yeux de l'épouse fidèle qu'il voit en plongeant son regard dans le mien. Ce sont les yeux emplis de désir d'une femme en chaleur cherchant à assouvir ses plus bas instincts. Tout dans mon regard réclame, il n'y a plus de lucidité, plus de tabous, plus de barrière. Juste l'envie...


Ce regard plus que tout autre chose, me donne envie de continuer, offrir l'occasion à voisine ouverte de me regarder d'autres fois comme cela devient une motivation, une excitation. Je ne peux plus marchander entre une éventuelle éducation bien pensante et un désir de vice, l'évidence est là par ce regard qui me frappe comme un fouet. Pourtant je balance encore, vais je moi-même faire subir les pires outrages à voisine ouverte. Un bref regard à mon voisin et sa soumise me donne la solution.



Je m'adresse à la compagne du voisin : « Toi attache voisine ouverte sur le lit de gynéco, attache bien ses bras au montant du lit, écarte bien ses cuisses avec les étriers, et attache les fortement dessus. Évidement tu remontes son espèce de cache sexe de catin de bordel » Je prononce ma phrase d'une traite, sur un ton plus ferme, plus doux, il ne m'est plus nécessaire de crier, je suis le maitre de voisine ouverte qui est ma soumise obéissante, en quelques heures de présence dans ce club, c'est une évidence clairement établie. Je vais me promener autour de la pièce sans plus me préoccuper de l'installation de voisine ouverte.


Toujours en laisse, j'halète d'un souffle rapide qui soulève ma poitrine. Je bois les paroles qui sortent de ta bouche et entends ta demande de m'attacher sur le lit gynéco. Je pousse un petit feulement incompréhensible pour un humain. Dans mon délire sexuel, des images montent de mon inconscient, je me vois attachée exhibée et c'est cela qui va m'arriver. L'envie de découvrir cette sensation me comble de joie. Loin de me montrer dégoutée ou choquée, m'appeler « Catin de bordel » me fait sourire d'un mouvement de lèvres pervers.


Elle monte avec des gestes mécaniques sur le lit comme si ce n'était pas encore tout à fait elle qui agissait, l'autre femme devenue mon assistance installe tranquillement, confortablement voisine ouverte sur lit, elle lui parle, lui masse les tempes, les seins, les cuisses en l'enserrant au moyen de large bande de tissu à velcro. Rapidement voisine ouverte se trouve immobilisée, cuisses écartées, la mini relevée, elle ferme les yeux, halète presque déjà doucement. Sa, presque complice va pour l'embrasser, pour aspirer sa bouche avec ses pulpeuses lèvres lorsqu'un coup de cravache violent la rappelle à l'ordre. Mon voisin a emprunté une cravache à un maitre présent et l'avertit par ce geste à ne pas dépasser la tache qui lui a été assignée, à ne pas sortir de sa condition de soumise. Immédiatement elle s'agenouille, baisse la tête et dit clairement, à haute et intelligible voix : « Je vous prie de m'excuser maitre, je vous prie de me punir » Mon voisin sans lui laisser le temps de se préparer assène 4 coups de cravache sur chacun de ses seins.


Presqu'avec envie, je me dirige vers la chaise gynéco vers mon destin sans hésitation. J'ai toujours détesté ces fauteuils gynécologiques qui ouvrent et expose d'une manière si vulgaire les chairs intimes des femmes. Bien sûr, c'est sans doute pratique pour le praticien, mais ce sont-ils déjà rendus compte de la situation dans laquelle ça nous mets, nous les femmes ? La soumise du voisin m'accompagne, ses gestes sont doux, ses mains exquises et je me prends à espérer de les sentir de nouveau entre mes jambes. Mais, elle dépose mes jambes sur les étriers m'ouvrant et pose des bandes a velcro pour empêcher mes cuisses de bouger. Je déguste cette sensation d'être contrainte ... enfin... je contracte mes muscles essayant de bouger mais mes deux jambes sont maintenant écartées écartelées même. Après quelques tests me montrant comment je suis obligée de rester ouverte, je ferme les yeux imaginant ce que voient les gens dans la salle. Mes longues et fines lèvres gonflées, mon clitoris tendu sous mon pubis, mon vagin légèrement ouvert de la cyprine brillant au fond de ma grotte. Je sens alors un frémissement électrique sur mes lèvres, c'est doux et si Hitomi embrassée par la soumise du voisin sensuel que je devine qu'il s'agit d'elle. Mon premier baiser avec une femme se finit trop tôt car j'entends claquer la cravache et la soumise se crisper avant de me quitter. Je l'entends demander la punition. Cela ma fait frémir, saurais je un jour moi aussi demander qu'on me punisse ? Je n'arrive pas à me redresser pour voir ce qui se passer mais j'entends la cravache s'abattre sur la soumise du voisin. Je distingue juste qu'il frappe devant. J'imagine avec excitation qu'il frappe ses seins et cela me rappelle mes fantasmes, la douleur sur mes seins si sensibles. La simple évocation de cette idée, me fait lâcher de nouveau une coulure de mon vagin alors que mes seins sont pointés gonflés.


Je prends mon temps pour revenir vers le lit où voisine ouverte est exposée aux yeux de tous comme une vulgaire poupée dans les vitrines de noël, je m'approche doucement, palpe doucement les seins de voisine ouverte et demande à celle qui l'a installée : « Elle mouille notre voisine ouverte cochonne » La soumise regarde son maître pour vérifier qu'elle a le droit de parle puis : « Votre voisine ouverte est prête et je crois que oui, elle est complètement prête » Ma question est superflue, n'importe quel homme en jetant un regard à la femme attachée sur le lit sait qu'elle est dans un état d'excitation maximum, proche de l'hystérie. Ses seins sont gonflés, ses tétons dressées de façon obscène, son ventre monte et descend grâce à de profonde inspirations, son sexe est luisant, sa mouille semble couler comme un ruisseau de sa chatte, son clito qui pourtant n'a rien d'extraordinaire pointe entre les replis des chairs des lèvres, sa tête est renversée en arrière, son regard presque extatique comme une offrande humaine lors des sacrifices maya. Oui voisine ouverte n'attend plus qu'un prêtre officie pour lui permettre enfin de libérer son plaisir.


La palpation d'un sein hyper tendu me fait réaliser que tu es là, que tu me regardes exhibée ainsi. Toi mon maître... J'entends la question sur le fait que je sois ouverte et la réponse de la soumise du voisin. Je n'ai aucun doute d'être en ce moment voisine ouverte, mon vagin réclamant fortement d'être comblé. Puis je vois le regard de mon mari détailler entre mes cuisses attachée ma chatte en feu. Ce qu'il voit ne me fait plus honte, cela me plait m'excite. Je suis exhibée et cela me rend encore plus folle de désir. Je veux lui donner envie. Je veux lui être offerte.
Par Hitomi - Publié dans : Le Passage à l'Acte (offline) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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