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  • : Le Carnet d'Hitomi
  • Le Carnet d'Hitomi
  • : Une petite partie des scénarios érotiques co-écrits par Hitomi. Hitomi est une adulte qui se comporte souvent comme une gamine. Elle a gardé ses rêves d'enfant. Soyez indulgents envers elle.
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Edito

Vous trouverez bien mieux ailleurs en blog d'histoires érotiques ou blog érotiques tout court.
J'ai souhaité ici mettre en ligne des textes écrits à plusieurs car je pratique ce genre d'exercice depuis bien longtemps et je trouvais dommage qu'il n'en reste finalement aucune trace.
Certains récits peuvent être très hard voire même dépasser les limites mais rappelez-vous qu'il ne s'agit que de pure fiction....
Quant à moi, si vous me le demandez gentillement, peut-être que je vous raconterais un peu de moi....

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Lundi 17 novembre 1 17 /11 /Nov 20:51
Résumé de l'épisode précédent
Hitomi attachée dans la cellule ne doit pas perdre l'objet qu'elle a dans le vagin. Ayako revient et l'aide à le maintenir ce qui stimule l'envie d'Ayako et d'Hitomi. Les autre locataires de la cellule reviennent et punissent Audrey en lui faisant subir le même sort. Hitomi excitée par la vue d'Audrey laisse échapper l'objet de son sexe. Comme punition, Kendra la force à lécher Audrey et lui rendre ainsi ce qu'Audrey lui a donné lors de l'examen gynécologique.

P dit (22:03) :
Après cette démonstration, elles vous détachent enfin Elles s'allongent dans leur lit, vous disant de vous mettre a genoux, bras croisés dans le dos, jambes écartées
P dit (22:03) :
Elles vous font garder la position et commencent à discuter entre elles
Hitomi dit (22:04) :
Le visage encore maculée du sexe d'Audrey, je me retrouve épuisée à genoux les mains dans le dos devant le lit de Kendra, Ayako pas très loin.
P dit (22:05) :
Heureusement pour vous, c'est bientôt l'heure du dîner. Les sonneries résonnent.
Hitomi dit (22:06) :
Je souffle espérant enfin pouvoir être libérer de ces furies et pouvoir aller manger en compagnie d'Ayako, Audrey et sans doute Sonia
P dit (22:06) :
Enfin elles vous autorisent à vous lever, à vous nettoyer rapidement et à remettre votre blouse
Hitomi dit (22:06) :
Je suis heureuse de pouvoir enfin soulager mon corps avec un peu d'eau
P dit (22:06) :
Les blouses sont des sortes de tunique fermée par une ceinture et normalement par des boutons qui sont tous manquants
Hitomi dit (22:07) :
J'enfile ma blouse et serre la ceinture comme je peux car il n'y a plus de boutons. Sous la blouse, mes seins dont les mamelons maltraités sont encore pointés frottent contre le tissu
P dit (22:08) :
Tu as pu remarquer que Kendra, Aziza et les autres ont des blouses d'un tissu plus doux, plus soyeux. Tandis que vous, les nouvelles, avez un tissu rêche et rugueux
P dit (22:09) :
Au moment de partir, Kendra te fait tourner vers elle et te gifle sèchement
Hitomi dit (22:09) :
Je n'ai pas le temps de voir venir le geste que je reçois la gifle en criant. Je la regarde sans comprendre
P dit (22:09) :
"Tu crois quand même pas que tu vas partir comme ça, le cul à l'air, salope!"
Hitomi dit (22:10) :
Je n'ai plus de sous-vêtements depuis l'épisode dans le fourgon. Je me sens nue mais n'ai rien à me mettre. Je bredouille "mais...."
P dit (22:10) :
Elle te tend une sorte de petit cylindre arrondi aux deux bouts couverts de picots de caoutchouc
Hitomi dit (22:11) :
Je regarde l'objet. Ayako aussi. "Qu'est ce que c'est ? Que veux-tu ? "
P dit (22:11) :
"Mets toi ça dans le cul... Et t'as intérêt à pas le perdre si tu veux pas que je le remplace par un goulot cassé"
P dit (22:11) :
Aziza tend le même à Ayako
P dit (22:11) :
Les deux blacks en ont remis à Audrey et Sonia qui s'exécutent docilement, habituées...
Hitomi dit (22:12) :
Je pousse un cri "Quoi ???!!!" Je n'ai jamais subi de pénétration anale. Je regarde l'objet. "Non je t'en prie... Je ne peux pas ....' fais je affolée alors qu'Audrey et Sonia l'enfoncent sous leur blouse
P dit (22:12) :
Docilement... Mais douloureusement
Hitomi dit (22:12) :
Je vois leur visage déformé alors qu'elles appuient. J'imagine les picots dans leurs chairs.
Hitomi dit (22:12) :
J'ai encore plus peur
P dit (22:12) :
Kendra te montre le pied du lit : "Si tu préfères, je te laisse empalée là dessus pendant qu'on va diner"
P dit (22:13) :
"Alors dépêche, j'ai faim!"
Hitomi dit (22:13) :
Je jette un œil au pied du lit. J'ai presque envie de lui dire que je préfère ça mais moi aussi j'ai faim. Je panique. Je regarde Ayako
P dit (22:14) :
Le pied de lit est bien plus gros que le petit cylindre de latex... et quand elle dit empalée, c'est bien empalée qu'elle pense et ça se passe aussi par derrière...
Hitomi dit (22:15) :
Mes réflexions m'amènent à la même conclusion et je n'ose imaginer ça. Mais pour autant, je n'arrive pas à lui obéir
P dit (22:15) :
Ayako fond en larmes, épuisée et brisée... Elle suit l'exemple d'Audrey et Sonia, se déhanche pour s'enfoncer le gode dans l'anus
Hitomi dit (22:16) :
Je la regarde effarée. Elle se penche un peu, soulève sa blouse et passe l'objet derrière elle. Son visage grimace. Elle pousse l'objet. Je gémis 'noooon Ayako ne fait pas ça .....' mais elle pousse en gémissant, se soumettant
P dit (22:17) :
Kendra regarde Ayako : "T'es une bonne soumise. Aziza a de la chance. Regarde, je vais te montrer ce qui arrive quand on ne sait pas obéir assez vite"
Hitomi dit (22:17) :
N'écoutant pas les compliments de Kendra, je regarde Ayako grimaçante de douleur en se redressant les joues roses. J'ai honte pour elle
P dit (22:17) :
Avec l'aide d'Aziza et des deux blacks ravies de s'amuser un peu, elles t'attrapent par les bras... On t'enfonce un chiffon en boule dans la gorge
Hitomi dit (22:18) :
A ce moment, les 3 m'attrapent et me bourrent la bouche. Je gémis tout en regardant Ayako
P dit (22:18) :
Elles te retirent ta blouse, la déchirant un peu... Elles te lient les bras croisés dans le dos maintenant tes bras avec des cordes autour de ton buste, de tes seins
P dit (22:19) :
Apeurées, Audrey et Sonia ont pris Ayako à part... pour la protéger en l'empêchant d'intervenir
Hitomi dit (22:20) :
Je me débats. Mais elles me maintiennent fermement. J'entends le tissu de ma blouse se déchirer. Je me retrouve nue encore une fois. Elles me tordent les bras dans le dos. Je grimace en gémissant puis la corde passe autours de mes seins. Je vois Ayako s'éloigner avec Audrey et Sonia
P dit (22:21) :
Ce sont des lits à étages... Pendant que deux des filles te tiennent, les deux autres soulèvent le lit supérieur... le déposent à côté... prennent la boule qui arrondit l'extrémité du haut pour la poser sur le piétement du lit du bas
P dit (22:21) :
Kendra prend un petit pot de graisse et enduit généreusement le "pal" ainsi formé, heureusement arrondi...
Hitomi dit (22:22) :
Elles me maintiennent et je les vois démonter le lit sans comprendre. Puis, en voyant la boule à l'extrémité du piétement, je me souviens qu'elle m'a menacé de m'empaler sur le pied du lit. L'horreur se lit alors sur mon visage
P dit (22:22) :
A 4, elles te soulèvent en te maintenant les jambes écartées... et te reposent lentement sur le pied de lit... y enfonçant ton anus
Hitomi dit (22:23) :
Puis je vois Kendra enduire le pal. Je me débats. Je rue comme une furie mais les deux noires me maintiennent
Hitomi dit (22:23) :
Elles me soulèvent devant les 3 autres soumises et me déposent les fesses sur le pal. Je pleure sur mes joues en hurlant sur le chiffon dans ma bouche. La boule appuie sur mon anus. Je les implore
P dit (22:24) :
Ça entre facilement... bien graissé... mais c'est énorme
Hitomi dit (22:24) :
Elles me laissent aller, ne me soulevant plus. Le poids de mon corps m'entraine vers le bas. Je me cambre en hurlant alors que le pal s'enfonce, me défonce.
P dit (22:24) :
Lorsque tu es bien enfoncée, les pieds touchant à peine terre, elles te serrent les jambes contre le pied et les attachent solidement
P dit (22:25) :
Elles nouent un chiffon autour de ta bouche pour maintenir l'autre et mieux étouffer tes protestations
Hitomi dit (22:26) :
Elles me regardent m'enfoncer, m'empaler pour ma première sodomie. Malgré la douleur, la souffrance, mes pieds touchent enfin le sol. Je pousse des jurons et des cris
P dit (22:26) :
Kendra reprend alors les baguettes qu'elle avait fixées autour de tes tétons auparavant...
P dit (22:26) :
Mais cette fois, elle les pose autour de tes seins, les liants de la même façon, écrasant tes seins
Hitomi dit (22:27) :
La douleur est insoutenable. Jamais je n'ai supporté une telle douleur par là. Je pleure à chaude larme. Je ne peux plus bouger, le pieu enfoncé en moi au fond de mon corps
Hitomi dit (22:28) :
Ce qu'elle fait à mes seins me fait mal mais ce n'est rien comparé à ce que je ressens par derrière
P dit (22:28) :
Kendra ordonne alors à Audrey d'avancer : "lèche un peu les tétons de ta salope de copine"
Hitomi dit (22:29) :
Empalée, dans l'incapacité de bouger, je distingue à peine Audrey qui approche. Et je doute qu'elle puisse soulager ma souffrance
P dit (22:30) :
Habituée à obéir, elle se penche sur toi et lèche doucement tes tétons... les suçant...
Hitomi dit (22:30) :
Malgré toute ma souffrance, du bout de mes seins sensibles, une douce chaleur me parcourt. La bouche délicieuse d'Audrey fait son effet.
P dit (22:31) :
Ça ne dure qu'un moment... Kendra la fait reculer, s'avance vers toi, prend tes tétons entre ses doigts... et les pince aussi fort qu'elle peut
Hitomi dit (22:31) :
Malgré ce que je pensais, la douleur dans mes seins se propage et me fait gémir dans mon bâillon alors que je suis toujours atrocement défoncée
P dit (22:31) :
Puis elle te regarde dans les yeux avec un sourire narquois : "On finira après le dîner... ne bouge pas!"
P dit (22:32) :
Elles s'en vont alors, entraînant brutalement Audrey, Ayako et Sonia qui te lancent des regards horrifiés
Hitomi dit (22:32) :
Mes yeux en larmes la regardent hurlant de désespoir comme si je pouvais espérer quelque chose d'elle... Mes yeux disent "ne me laisser pas ...."
Hitomi dit (22:32) :
Je les vois quitter la pièce en gémissant. Le moindre mouvement remue le pieu en moi dans d'atroces douleurs
P dit (22:33) :
Tu ne tardes pas à te rendre compte que la graisse dont est enduit le pied de lit a un effet irritant... échauffant...
Hitomi dit (22:33) :
Je n'ose plus bouger, tendue. Je me tiens pour ne pas m'enfoncer plus, les bras liés. Puis je sens une chaleur par derrière en moi dans mes entrailles
P dit (22:34) :
Comme tu ne peux rien faire, la sensation s'amplifie petit à petit... devenant de plus en plus vivide
Hitomi dit (22:35) :
Je sens que ça me chauffe, me brûle au fond de moi, profondément. Je vais brûler de l'intérieur
P dit (22:35) :
Et le temps passe... lentement...
Hitomi dit (22:35) :
C'est de pire en pire. Mon anus dilaté sur le pied du lit, la boule en moi profondément ancrée et cette chaleur qui m'envahit par l'intérieur. Je transpire de tout mon corps
P dit (22:35) :
La prison paraît complètement silencieuse...
Hitomi dit (22:36) :
Je gémis à peine. L'effort est trop dur pour moi ainsi ...

Par Hitomi - Publié dans : L'Erreur Judiciaire (online)
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Samedi 8 novembre 6 08 /11 /Nov 21:38
J'enfonce très lentement un doigt qui évidement rentre sans aucune difficulté, je le pousse le plus profondément possible, sentant, palpant largement le col de voisine ouverte, je le ressort légèrement pour caresser cette zone si tendre, si pulpeuse à l'entrée du vagin. Les réactions de voisine ouverte sont celles attendues : elle gémit de plus en plus fort, commence à se crisper, tire sur ses liens. Je rentre un deuxième, puis un troisième, puis un quatrième doigt; limant doucement voisine ouverte la cochonne, la remplissant plus que je ne l'ai jamais fait auparavant, je pousse mes doigts, essayent de les enfoncer bien au fond. Le cinquième doigt fait difficulté, la chatte de voisine ouverte semble ne pas vouloir s'ouvrir suffisamment pour l'accueillir. L'autre soumise s'approche renverse du gel sur ma main, prend délicatement chacune des lèvres de voisine ouverte en un pouce et un index, tire dessus pour ouvrir, colle doucement sa bouche au bouton presque turgescent de voisine ouverte pour l'aspirer. Elle relève la tête pour me murmurer tout bas : « Pourriez vous stimuler son anus ? » Je pose la pulpe d'un doigt sur la rose serrée de voisine ouverte qui se cambre, s'arque les membres entravés, mes cinq doigts rentrent d'un coup jusqu'aux carpes.


Enfin.... Enfin mon sexe en feu, offert, ouvert, exhibé reçoit ce qu'il réclame. Je sens un doigt s'enfoncer dans mon vagin lubrifié. Je ne peux m'empêcher de gémir mon plaisir si longtemps frustré. Mes cuisses se crispent pour accompagner la crispation de mon vagin qui essaie d'aspirer le doigt en moi. Un deuxième doigt vient accompagner le premier en moi, je les sens s'enfoncer profondément. Je râle de plaisir. Puis, un 3ème doigt vient ouvrir mon vagin. Je sens une étrange sensation de dilatation de mon vagin. Jamais, ni moi ni mon mari, n'avons enfoncé plus de 3 doigts en moi. Et pourtant, je sens qu'il étire mes chairs intimes, je gémis plus fort, essaie de serrer mes cuisses liées. Non je reste offerte à son vice de me dilater, je sens qu'il appuie fort pour enfoncer profondément ses 4 doigts alors que je pousse des « ahhhh » sans signification que la sensation de me faire dilater le vagin. Il insiste et je ressens maintenant qu'il veut m'ouvrir plus mais mon vagin me fait mal, son élasticité ne permet pas d'en prendre plus sans douleur. Le souffle court, grimaçante, je sens alors en plus des doigts en moi, d'autres doigts qui attrapent mes lèvres intimes. Pas de doute, j 4 doigts dans Voisine Ouverte e reconnais ces doigts si soyeux, je fonds de plaisir. Je la sens m'ouvrir les lèvres et déposer un produit inconnu sur la main qui pousse toujours en moi. Puis, un délicieux frisson de plaisir monte de mon clito et me fait gémir « ohhh ouiiiiii ». Je sens une succion et je sais que cet aspiration ne vient pas de mon mari mais des lèvres de la soumise. Je découvre ce plaisir buccale prodiguée par une femme et l'excitation est à son comble. Dans le même temps, je sens un autre doigt appuyer entre mes fesses ouvertes par la position qui exhibe autant mon anus que mon sexe. Les vagues de plaisirs proviennent de trois endroits de mon bassin : du vagin, du clito et de l'anus. Je suis au bord du tourbillon de plaisir lorsque les 5 doigts pénètrent enfin mon vagin me dilatant comme jamais.


Voisine ouverte pousse une sorte de cris entre le beuglement et le gémissement, je sens son vagin se contracter fortement comme pour expulser mes doigts, elle jouit secouant sa tête, son bassin, tirant par saccade sur les liens, elle jouit, jouit encore, cela semble être un instant d'éternel bonheur. Je laisse mes doigts en place, les poussant encore si possible, ses cris ont avertis les clients du club qu'une salope est entrain de jouir, des couples maîtres(esse)/soumis(es) convergent petit à petit vers le lit de délicieux supplices de voisine ouverte.


Cette dilatation si forte des parois de mon vagin engendre, au moment de la pénétration des 5 doigts, une irrésistible vague de plaisir qui parcourt tout mon corps qui se tend me cambrant dans mes liens. Je hurle presque un cri bestial tellement l'orgasme attendu est violent. Mon bassin se soulève, les contractions orgasmiques de mon vagin distendu, la tête en arrière les seins tendus vers le ciel, je jouis sur la main de mon maître. Plusieurs spasmes de jouissance me font gémir, tendue comme la corde d'un arc mais je sens toujours en moi les doigts qui restent en place.


Je pousse encore sur ma main trempée de la mouille de voisine ouverte et du gel, elle s'enfonce petit à petit complètement dans les entrailles sexuelles de voisines ouvertes qui semblent concentrée uniquement sur ce qui se passe dans son vagin comme si elle n'était plus que cela. Je peux maintenant serrer mon poing, l'ouvrir, le serrer à nouveau dans le tonneau à foutre de voisine ouverte qui s'ouvre de plus en plus. L'effet est immédiat, elle se remet à gémir, à trembler, à remuer ses liens, elle va jouir à nouveau devant tout le monde, quelques minutes à peine après la première fois. Certaines soumises autour d'elle la regardent avec envie.


Peu à peu, la vague de plaisir s'estompe doucement. Je respire fort reprenant mon souffle. Mais je sens toujours la pression sur les parois de mon vagin malgré la jouissance que je viens de subir. Pire encore, je sens que la main continue de pousser plus avant dans mes entrailles. Comme s'il ne voulait pas en rester là, comme si cet orgasme n'était qu'une étape. Je gémis en me mordant les lèvres sentant ma chatte remplie, la main est maintenant complètement en moi. Le gel aidant à glisser mais mon sexe me fait mal ainsi dilaté. Pourtant cette sensation de remplissage me fait tourner la tête. J'ou Voisine Ouverte fistée blie tout ce qui m'entoure, ne vois pas les gens qui me regardent. Les terminaisons nerveuses de mon sexe me donnent une image virtuelle de ce qui est en moi au creux de mes reins. Je visualise la main enfoncée jusqu'au poignet. Écartelée, sur la chaise gynéco, la main dans ma chatte se crispe se serre, le poing se referme en moi me dilatant encore par l'intérieur cette fois. Je pousse un cri surprise par les mouvements dans mon corps. Je me cambre de nouveau tirant sur mes muscles qui ne bougent pas. La main bouge en moi, joue en moi, fermant le poing l'ouvrant, mes chairs intimes distendues me renvoient une sensation obscène de dilatation, d'intrus dans mon corps qui stimule l'intérieur de mon sexe sans sortir comme si un monstre jouait en moi par l'intérieur. La sensation est tellement forte, tellement nouvelle et tellement sexuelle que je repars en criant la voix hachée par des interruptions provoquées par le poing dans ma chatte, en tirant sur mes cuisses en tendant mes seins. Au bout de quelques pressions internes, je cambre mon bassin empalée sur le point en jouissant pour la deuxième fois, à peine quelques minutes après mon premier orgasme. Je retombe le bassin dans le vide, essoufflée.


Je ressors lentement ma main, faisant attention de la faire tourner, d'être délicat pour ne pas brusquer voisine ouverte dont les chairs semblent complètement distendues. Puis un à un, je retire mes doigts, libère ma main. Je la fais bouger devant les yeux de voisine ouverte qui semble prendre conscience avec des yeux écarquillés et effarés de l'immense plaisir qui l'a submergé sans qu'elle puisse le contrôler, des hommes et femmes rassemblés autour d'elle, du lit, des liens.


Je sens la main sortir doucement me quitter. Une sensation de vide en moi mon vagin grand ouvert comme jamais. Je réalise doucement ce qui vient de m'arriver. Mon maître me présente sa main, je réalise que je viens de recevoir cette main en moi. Jusqu'à présent, je l'avais imaginé en moi en fonction de mes sensations mais là, je la vois, pleine de jus de ma chatte. Puis mon regard s'élargit et constate la foule amassée qui m'a regardée jouir par deux fois sur cette main. Leurs regards portés entre mes cuisses qui doivent exhiber mon vagin dilaté ouvert de façon obscène.


Je pose ma main sur son visage, repend sa mouille sur ses joues, sa bouche, ses paupières, je prends une voix douce mais audible autour de moi. « Alors voisine ouverte, tu as joui comme une cochonne ? » A l'évocation de ton nom, certains sourient, une femme rie franchement. Je poursuis : « Alors c'est ça, tu as joui comme une femelle n'attendant plus que cela, comme une femme ne pensant plus qu'à cela ? Et cela a été si fort n'est ce pas, si puissant, tu en rêvais depuis tellement longtemps sans moi » « Et maintenant, ça ne peut plus s'arrêter sinon cela deviendrait fade, tu vas en vouloir encore, tu en veux encore, et je t'en donnerai petite voisine ouverte, et tu es tellement belle quand tu te transforme en chienne en rut. » Je te masse les tempes en te parlant, termine ce monologue intime en posant mes lèvres contre les tiennes, ma main te caressant comme je ne l'avais jamais fait, pinçant, tirant tapotant tes lèvres, ma langue fouillant ta bouche, aspirant tes lèvres, les mordillant, puis les mordant de plus en plus fort pour les tirer avec les dents. Je termine cette délicate caresse en pinçant son clito pour le secouer puis claque une cuisse en disant au voisin : « Ta voisine ouverte est à toi »


Mon maître et aussi mon mari, tourne autour de la table et me caresse de sa main qui vient de ravager ma chatte. La mouille se répand sur mon visage me faisant renifler mon propre sexe. Puis tu t'adresses à moi, mettant en évidence devant tous mon nom et le fait que je viens de prendre mon pied. J'entends les moqueries et la honte, l'humiliation bien que me blessant me procure un plaisir vicieux. Et surtout, tu insistes sur le fait que je vais en vouloir encore. Et, après de tels orgasmes, je réalise rapidement que tu as raison, qu'une relation sexuelle « normale » ne peut pas me donner le même plaisir... Puis ta bouche dépose un baiser sur ma bouche. Un frisson me parcourt de nouveau d'autant plus que ta main s'active de nouveau sur ma chatte offerte. Et ce ne sont pas des caresses, tes doigts jouent avec ma chatte d'une façon possessive, brutale comme jamais tu ne m'as touché. Tes doigts étirent mes lèvres intimes, les pincent alors que ta langue s'enfonce vulgairement dans ma bouche. Tes dents me mordent pendant que tes doigts pincent mon clito. Ces attouchements machos font raviver une certaine envie entre mes cuisses. Et surtout la claque sur ma cuisse me fait tressauter, mouvement typiquement dominateur et possessif. Mais ce qui me fait écarquiller les yeux, c'est la phrase lancée au voisin : « Ta voisine ouverte est à toi »


Le voisin sourit, tapote les mamelles de voisine ouverte en ricanant : « Charmante voisine ouverte, voyons cela » Il va se placer entre les étriers, palpe le pubis, le cul de voisine ouverte pour choisir son trou, puis me demande : « Je crois que voisine ouverte n'est pas très ouverte du cul, je laisse se trou là alors ? » « Oui je te remercie de ton intention voisin, je préfère être le premier à enculer à fond ma chienne. » L'importante question du trou à utiliser pour baiser voisine ouverte étant réglée, le voisin sort sa bite pour vider son foutre dans l'éponge à foutre de voisine ouverte.


Je regarde le voisin, horrifiée par l'idée que ce pervers ne me prenne. J'ai joui sur la main de mon mari mais être offerte à un autre est plus difficile à accepter. Je me souviens du regard de l'homme plus tôt dans la soirée au moment où j'ai été nommé « voisine ouverte ». A cet instant, il savait déjà que je serai ouverte aussi pour lui. Alors que je commence à gémir en direction de mon mari, le voisin passe entre mes cuisses. Ses doigts me touchent sans gêne, pose sa main sur mon pubis, ma vulve descends entre mes fesses. Je me crispe. Je n'ai pas le moyen de me plaindre. Mon mari et maître discute avec le voisin sans m'écouter. Ils parlent de mes orifices devant tout le monde de façon profondément humiliante. Je ferme les yeux de honte mais ces propos humiliants m'excitent malgré moi. Je me mors les lèvres en voyant le voisin sortir son sexe, je sais qu'il va me prendre, qu'il va se défouler en moi et qu'il en rêve depuis le début de la soirée.


Par Hitomi - Publié dans : Le Passage à l'Acte (offline) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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