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  • : Le Carnet d'Hitomi
  • Le Carnet d'Hitomi
  • : Une petite partie des scénarios érotiques co-écrits par Hitomi. Hitomi est une adulte qui se comporte souvent comme une gamine. Elle a gardé ses rêves d'enfant. Soyez indulgents envers elle.
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Edito

Vous trouverez bien mieux ailleurs en blog d'histoires érotiques ou blog érotiques tout court.
J'ai souhaité ici mettre en ligne des textes écrits à plusieurs car je pratique ce genre d'exercice depuis bien longtemps et je trouvais dommage qu'il n'en reste finalement aucune trace.
Certains récits peuvent être très hard voire même dépasser les limites mais rappelez-vous qu'il ne s'agit que de pure fiction....
Quant à moi, si vous me le demandez gentillement, peut-être que je vous raconterais un peu de moi....

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Mercredi 17 septembre 3 17 /09 /Sep 22:21

Je t'ouvre la porte de la voiture, t'aide à descendre et te pousse par le cul vers la porte d'entrée murmurant : « Il a beaucoup insisté pour que nous venions, tu sais comme il est le voisin » La porte s'ouvre m'évitant de donner plus de détails, je vais pour régler quand ma femme demande : « Tu ne trouves pas curieux que les hommes seuls payent plus que les couples et que ce soit gratuit pour les femmes ? » Je me retourne énervé, je viens de réaliser que j'ai payé avec ma carte bleue, payer avec ma carte bleue dans cet endroit que je ne connais pas et qui est pour moi l'enfer du vice. Je demande agacé : « Quoi ? » La porte du bar s'ouvre et nous pouvons entrer sans poursuivre une fois de plus ce début de conversation.


Pas de réponse à ma dernière question. Il descends simplement de la voiture et m'ouvre de façon romantique. Je descends à mon tour, replace ma robe sur mes cuisses. Il me pousse gentillement vers une façade avec une vitrinne teintée et une porte rouge. La porte s'ouvre toute seule à notre approche comme si nous étions attendus. A l'entrée, une reception en bois laqué avec une hôtesse tout sourire, je le vois s'y diriger et sortir son porte-feuille. Je me dis qu'il est étrange de devoir payer si le voisin nous a invité mais finalement cet aura de mystère entourant cette soirée m'amuse et pique ma curiosité. Mes yeux vagabondent et tombent sur l'affiche des prix à l'entrée : "Tu ne trouves pas curieux que les hommes seuls payent plus que les couples et que ce soit gratuit pour les femmes ? ". Ta réponse est presque brutale : je te regarde sans comprendre ce comportement mais la porte s'ouvre et je n'ai pas le temps de demander ce qui t'ennerve.


 L'ambiance est douce et tamisée, je soupire intérieurement, j'avais peur de rentrer directement dans une salle de « tortures ». J'avise un coin avec 4 fauteuils de libre, y conduits ma tendre et chère, je m'y affale ma compagne à coté de moi. Je regarde discrètement autour de nous. Une voix me sort de mon inspection : « Ah vous êtes là »


Je te suis et découvre l'endroit, un bar en bois au fond de la salle éclairé par des lumières bleues pâles et tamisées. Quelques personnes mais sans plus au bar. Au fond de la salle des couloirs en ambiance rouge cette fois. Cela ressemble plus à un club privé qu'à un bar et je n'ai pas beaucoup l'habitude de ce genre d'endroit. Je me tourne vers mon homme mais il se dirige déjà vers des fauteils confortables et profonds. Haussant les épaules pour son manque de réponses, je m'assois à ses côtés. Il ne se passe pas longtemps avant que quelqu'un nous adresse la parole.


 Notre voisin s'assoie devant nous, une femme plantureuse prend place à coté de lui. J'ai beau faire un effort, elle ne ressemble pas du tout à ma voisine, et de toute façon il m'est impossible d'imaginer la femme de mon voisin dans la tenue de ma vis à vis dont les vêtements cherchent plus à montrer ses formes généreuses qu'à cacher quoique ce soit.


C'est notre voisin que je connais peu mais mon mari le côtoie beaucoup ces derniers temps. Il n'est pas seul et si je connais peu le voisin, je connais très bien son épouse. Pour moi c'est un choc car je m'attendais à la voir ... elle. Je regarde la femme qui l'accompagne avec un peu trop insistante, cherchant à comprendre. Cet homme oserait sortir en soirée avec nous avec sa maîtresse ??? Il a vraiment du culot. Que devrais je dire à sa femme ? Me voilà dans une situation délicate.


 Je reprends mon inspection alentours, vois une serveuse arrivée vers une autre table, décidément les femmes de cet endroit attache plus d'importance à montrer ce qu'elles ont comme avantage qu'à se couvrir décemment. Elle pose sur une table une bouteille de château Latour-Martillac, grand cru classé de Pessac-Léognan. La serveuse verse comme il se doit un peu de liquide dans un verre à Bordeaux, au moins ils savent vivre ici. J'écarquille les yeux, après l'assentiment de l'homme, l'employée du bar pose par terre une gamelle pour chien et une adorable jeune femme blonde aux cheveux somptueux se met à quatre pattes pour commencer à laper son vin. L'homme qui lit un journal en dégustant son vin, tapote la cuisse de la femme avec son pied, celle-ci se cambre, met ses mains dans le dos, écartent ses cuisses et reprend sa dégustation comme auparavant son minou et son intimité largement visible. Je ferme les yeux : « C'est pas possible, là elle va se lever, me foutre une baffe et partir »


Vision de soumise

L'atmosphère me pèse je ne sais pas quoi dire. Je vois mon mari regarder partout. je détourne les yeux de la compagne de notre voisin oubliant un instant mes reflexions pour suivre son regard. Les serveuses sont peu vêtues leur tenue mettant en valeur leur féminité. Il s'agit visiblement d'un club privé ou d'un bar à hôtesse. Drôle d'endroit pour une soirée à moins que ... notre voisin n'ait des idées derrière la tête... C'est à ce moment que j'ai un hocquet de surprise en voyant la jeune femme se mettre à quattre patte et approcher son visage de l'écuelle. J'en reste bouche bée ... Je me doutais bien que c'est endroit respirait le libertinage mais de là à voir une femme s'humilier ainsi je suis choquée. Mes yeux fixés sur la femme je la vois ecarter ses cuisses, sa minijupe largement remontée sur ses hanches à 4 pattes, elle exhibe ses levres intimes de façon à ne rien cacher. Ma respiration s'accélère je rougis jusqu'au oreilles et en même temps une douce chaleur envahit mon bassin. Cette position et cette exhibition me rappellent des photos mais il ne s'agit pas ici de photos ; cette femme s'exhibe réellement devant nous. Je ne peux m'empecher de repenser à ces dialogues où ces h me soumettaient pour mon plaisir et je me vois un instant à la place de cette femme. Le souffle court, j'essaie de reprendre pied. Que faire ? pourquoi m'a t'il amené ici ? Serait-il à la recherche de nouvelles experiences ? Il est vrai que de ce point de vue, notre couple est des plus sage. Mais s'il me connait (enfin s'il connait ce que je veux lui montrer de moi) il devrait savoir que je n'aime pas ce genre de chose. Puis un déclic, les logs dont il m'a parlé ! Serait-il possible qu'il ai connaissance de mes échanges ? Je le regarde mais il me fuit il sait que j'ai vu. Il attend ma réaction .... et je ne sais pas quoi faire prise au piège entre la femme sage que je voudrais être et la femme de mes fantasmes.


 Je réouvre les yeux, rien ne se passe, rien ne s'est passé, il y a un léger flottement, je n'ose tourner la tête vers celle qui est tous les soirs dans mon lit et par le fait la mère de mes enfants. Je regarde mon voisin qui a un regard ironique, s'amuse-t-il ? que dire ? « Ah cette année, cher voisin votre pelouse est magnifique » ou « Vous avez vu ? La mairie a encore changé le ramassage des poubelles » ou pire « Votre épouse va bien ? »


Le silence se fait lourd, de plomb. Je n'ai toujours rien dis comme si je n'avais pas vu cette scene et pourtant, tout le monde autours de la table l'a vue et tout le monde sait que je l'ai vue. Je cherche toujours le comportement à adopter en pleine panique.


 Mon voisin sentant ma gène commence : « Ici vous ne craignez rien, les gens fréquentant les clubs sont discrets par nature et par obligation, tous ont besoin de la discrétion de tous pour pouvoir jouer ici, ils sont très tolérants, sachant que tous ont débuté un jour terrorisé à l'idée de ce qu'ils faisaient, et ils sont très complaisant pour peu qu'on respecte les us et coutumes du lieu» Il respire et poursuit : « D'ailleurs il ne faut pas s'y tromper, les libertins du XVIII-XIXéme siècle n'étaient des licencieux, mais des personnes réfléchissant à d'autres formes de sociétés, d'autres formes de relation entre les personnes, ce n'étaient pas les amoureux de vices qu'a gardé l'imaginaire collectif ».


Le voisin semble un habitué des lieux. Il prend la parole (ce qui soulage tout le monde) pour nous faire un cour sur les clubs libertins que je n'écoute que vaguement. Je finis pas essayer de me convaincre que c'est lui qui nous a invité et qu'il affectionne ce genre d'endroit exotique. Il n 'y a peut-être rien de plus derrière tout cela et peut-être mon mari est-il tout aussi gêné que moi.


 Je le regarde l'air le plus intelligent possible comme un élève écoutant son professeur, d'ailleurs n'est ce pas ce que je suis ? La voisine de notre voisin ouvre la bouche, se retient au dernier moment, se tourne vers notre ami tête baissée, il lui murmure quelque chose, elle répond un murmure : « Merci maitre » Ma femme l'a-telle entendu comme moi ?


Je regarde à nouveau mon mari qui boit les paroles de notre interlocuteur. A priori, il s'interresse au libertinage du XIXème siècle.... J'aimerais pourtant que l'on aborde d'autres sujets plus communs. Ma reflexion est de nouveau interrompue par la première prise de parole de l'amante de notre voisin. Je ne distingue pas ce qu'ils se disent mais un mot me parvient un seul et quel mot ! Mes yeux s'écarquillent et aussitôt je sens entre mes levres intimes comme un aiguillon qui reveille mon entre-cuisse. Ce mot que tant d'hommes m'ont fait utiliser envers eux lors de ces chatt. Ce simple mot qui réussit à m'émoustiller qui signifie l'acceptation de l'appartenance... Elle l'a prononcé, notre voisin pratique la domination et cette femme inconnue lui obeit.


 Puis elle se tourne vers ma réguliére avec un sourire désarmant et mondain : « C'est la première fois que vous venez ? Vous trouvez le lieu comment ? »


Elle se tourne vers moi je ne la regarde plus du tout de la même manière. Cette femme représente mes fantasmes mais ce que je me refuse à être dans la vie réelle. Pourtant ses propos sont totalement anodins en apparence. Je bredouille montrant ainsi mon trouble à tout le monde et réponds "oui ... la première fois... L'endroit est vraiment très... très ... comment dire... surprenant" Je me sens ridicule les joues roses ne trouvant pas mes mots presque intimidée.

Par Hitomi - Publié dans : Le Passage à l'Acte (offline) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Mardi 16 septembre 2 16 /09 /Sep 20:47
Hitomi menottée
P dit (21:54) :
Je t'avais parlé d'une société futuriste... J'imagine d'une part, des lois qui permettent de transformer des peines de prison en peines de travail, qu'on doit effectuer chez des particuliers qui acceptent de vous loger... et de vous surveiller
Hitomi dit (21:55) :
Intéressant mais c'est un peu risqué pour les particuliers d'avoir des criminels chez eux non ?
P dit (21:56) :
Pas les crimes les plus graves, bien sur. Mais il y a beaucoup plus de condamnations, notamment pour toutes les atteintes à la morale... les comportements scandaleux, l'adultère, etc...
Hitomi dit (21:56) :
Oui c'est une société très stricte
P dit (21:57) :
Il faut être très prudent... mais une de tes amies, jalouse de toi parce qu'elle pense que tu dragues son petit copain... décide de t'"éliminer" de la circulation
Hitomi dit (21:58) :
Pourtant je suis au dessus de tout reproche je m'habille sagement ne provoque pas ne m'exhibe pas mais ... la délation peut faire des ravages
P dit (21:59) :
Elle envoie une lettre de dénonciation, affirmant que tu as une liaison lesbienne avec une de tes amies
Hitomi dit (21:59) :
Alors que je n'ai jamais touché à une f de ma vie, la lettre fait son chemin
P dit (22:00) :
Elle a envoyé des photos ou tu es allongée avec elle sur un canapé... couchée dans le même lit... juste des photos innocentes de vacances et de w-e ou vous vous reposiez, mais...
Hitomi dit (22:01) :
Il n'y a pourtant rien de scandaleux dans ces photos
P dit (22:02) :
Apparemment non... mais vous êtes couchées ensemble... et la lettre donne des précisions sur toutes vos rencontres... indiquant que celle qui l'écrit est une fille que vous voulez forcer à participer a vos ébats
Hitomi dit (22:02) :
Quelle conspiration ! Et la cellule de surveillance de la morale va s'y intéresser
P dit (22:03) :
Exactement. Et la pire humiliation, c'est qu'un inspecteur, et un agent dans l'uniforme très reconnaissable de cette cellule, viennent te chercher un jour à ton travail
Hitomi dit (22:04) :
La brigade des mœurs débarque sur le plateau dans lequel je travaille tout le monde les regarde les reconnait
P dit (22:05) :
Et ca ne plaisante pas. L'inspecteur te présente un mandat, l'agent te fait lever et te menotte les poignets dans le dos
Hitomi dit (22:06) :
Je suis sous le choc lorsqu'il s'adresse à moi. Tout le monde me regarde, j'ai beau dire que je n'ai rien fait c'est l'humiliation
P dit (22:07) :
Tu es poussée vers la sortie du bureau, menottée, sous les regards étonnés de tous tes collègues (sauf peut être une...)
Hitomi dit (22:08) :
Étonnés et choqués car ils savent que c'est un crime de morale dont je suis accusée ils me tirent malgré moi et m'emmènent malgré mes protestations
P dit (22:09) :
Ils te font sortir dans la rue, sous le regard des passants, et te poussent a l'arrière d'une fourgonnette ou t'attendent deux femmes flics en uniforme
Hitomi dit (22:09) :
Ils me poussent sans ménagement sous les regards des passants
P dit (22:11) :
À l'intérieur de la fourgonnette, les deux f te font asseoir sur un banc métallique, te fixant les menottes à un anneau derrière
Hitomi dit (22:12) :
Elles me manipulent comme une criminelle j'ai beau leur dire que je suis innocente je me retrouve attachée à l'anneau. Rageuse je tire dessus
P dit (22:13) :
Comme tu te débats, elles t'attachent les cheville sa des anneaux du sol, jambes écartées... et te forcent à avaler un bâillon boule
Hitomi dit (22:14) :
Elles prennent mes chevilles et les attachent volontairement écartée je crie et les insultes elle enfourne alors dans ma bouche un bâillon je me retrouve liée dans la fourgonnette
P dit (22:15) :
La fourgonnette roule un moment, s'arrête... un arrêt pendant lequel tes gardiennes se moquent de toi, te traitant de sale petite gouine
Hitomi dit (22:16) :
Je reçois les insultes en pleine face mais ne peut pas répondre je les vois et la façon dont elles m'ont écartés les jambes je me demande si ce ne sont pas elles les gouines ... je gémis dans mon bâillon
P dit (22:17) :
Après quelques minutes, la porte s'ouvre, l'inspecteur et l'agent poussent à l'intérieur ton amie, celle qui a été dénoncée avec toi, bien que vous n'en sachiez encore rien
Hitomi dit (22:17) :
Je regarde la porte s'ouvrir je suis attachée ne peux rien dire je vois mon amie je me demande ce qu'elle fait là
P dit (22:20) :
Elle subit presque aussitôt le même traitement que toi... elle se retrouve attachée, jambes écartées, bâillonnée, sur le banc juste en face de toi
Hitomi dit (22:20) :
Elle se débat un peu mais les deux femmes la mettent dans la même situation. Face à face nos regards se croisent sans comprendre et paniquées
P dit (22:22) :
La fourgonnette repart, les deux h à l'avant, les f vous contemplant en ricanant : regarde ces deux petites gouines... on a surement le temps de leur donner une bonne leçon
Hitomi dit (22:23) :
En entendant « gouine » mon amie a la même réaction que moi et leur jette un regard dédaigneux. J'essaie toujours de tirer sur mes liens en vain
P dit (22:23) :
En face de toi, la f commence à déboutonner le chemisier de ta copine, remontant sa jupe sur ses cuisses...
Hitomi dit (22:25) :
Je la vois faire elle l'a déshabille Ayako se rebiffe mais attachée ne peux rien faire je vois sa jupe remontée je suis sous le choc
Hitomi dit (22:25) :
(Ayako est japonaise aussi pur souche, je portais jupe longue et chemisier dessous culotte et sg blanc)
P dit (22:26) :
La gardienne qui s'est assise a côté de toi commence à te faire subir le même sort... déboutonnant ton chemisier pour découvrir ton sg...
Hitomi dit (22:27) :
hmmmm hmmm je gémis dans mon bâillon voulant hurler mais elle découvre mon sg et mes seins pressés à l'intérieur sous le regard d'Ayako l'une en face de l'autre exhibée l'une à l'autre pour la première fois
P dit (22:27) :
Elles ricanent : elles ont toutes des petits seins, ces chinetoques. J'vois pas pourquoi on leur donne des sg... allez, on va leur enlever
Hitomi dit (22:29) :
Je me crispe tire sur mes liens sur mes chevilles en grimaçant Ayako est sous le choc des insultes impossible de les laisser faire ... et pourtant
P dit (22:29) :
elles prennent chacune une sorte de lanière de cuir, vous la passant autour du cou... la fixant a un crochet au dessus de votre tête... vous forçant ainsi à rester le buste très droit, à moitié étranglées
Hitomi dit (22:30) :
La lanière de cuir se referme sur mon cou je suffoque dans le bâillon elle tire dessus me faisant mettre la tête droite à la verticale je suis terrorisée je distingue Ayako qui subit le même sort
P dit (22:31) :
Ta gardienne prend alors un cutter, sans doute confisqué à une délinquante... et tranche ton sg au milieu, entre tes seins
Hitomi dit (22:32) :
Je vois la lame du cutter approché de mon corps affolée je ne peux plus bouger je sens la lame entre mes seins je me tends puis sens le sg me quitter et libérer mes seins nus sous le regard d'Ayako
P dit (22:33) :
Malgré sa situation, elle est fascinée... elle a toujours été un peu séduite par toi... mais elle subit le même sort, tu vois ses seins apparaitre en face de toi
Hitomi dit (22:34) :
Je vois son regard sur mes seins offerts l'autre exhibe les siens je les découvre à mon tour moi qui n'ai jamais connu de f je suis obligée de regarder mon amie être mise à nue
P dit (22:35) :
Elles continuent en découpant les bretelles, vous retirant complètement vos sg... Ta gardienne prend un de tes tétons entre ses doigts, et commence à le pincer
Hitomi dit (22:36) :
Elle me fait mal le pince fortement je grimace mais ma tête liée je ne peux que subir sous le regard d'Ayako
P dit (22:38) :
Ayako subit la même chose... elles pincent vos tétons, les étirent, ricanant : c'est autre chose que de se gouiner entre vous, hein, les chinetoques? Ça vous plait?
Hitomi dit (22:38) :
Elles les pincent les étirent sans ménagement me faisant mal mais rapidement le traitement fait dresser mes mamelons qui pointent en direction d'Ayako je ne peux m'empêcher de regarder l'autre torturer ses seins
P dit (22:40) :
Elle aussi semble fascinée par le spectacle que tu offres... la gardienne remonte de plus en plus sa jupe sur ses cuisses, découvrant sa culotte
Hitomi dit (22:40) :
Ricanant et l'insultant elle la retrousse montrant sa culotte tendu entre ses cuisses écartées malgré moi mon regard se porte à cet endroit
P dit (22:41) :
Assis à l'avant, l'inspecteur se retourne de temps en temps pour profiter du spectacle
P dit (22:42) :
Ta jupe est plus longue.... plus difficile à remonter. Après quelques efforts, la f en coupe lentement la couture au cutter, la fendant très haut
Hitomi dit (22:43) :
J'entends le tissu être découper et le regard d'Ayako en face qui suis l'ouverture de ma jupe je me crispe mes jambes tirent sur les liens je me fatigue inutilement
P dit (22:44) :
Tu sens maintenant la main de la femme s'avancer entre tes cuisses écartées... frotter rugueusement ta culotte : hmmm... on va voir a quoi ca ressemble de la chatte de Viet!
Hitomi dit (22:45) :
Je vois dans le regard fixé d'Ayako que la main de la f approche entre mes cuisses ouvertes puis je sens le contact brutal sur ma culotte juste à l'endroit de mes lèvres je gémis humiliée sous les yeux de mon amie
P dit (22:46) :
Ayako subit le même sort... elle bouge légèrement dans ses liens, et tu constates qu'elle ne peut s'empêcher de te détailler du regard, horrifiée et fascinée
P dit (22:46) :
L'autre gardienne ricane c'est une Viet, la tienne? La mienne a l'air encore plus pute, ca doit être une de ces salopes de thaï
Hitomi dit (22:47) :
Alors que je sens qu'elle fixe mon entre jambe moi aussi je regarde l'autre appuyer sur sa culotte au niveau de son sexe de f nous accusons les insultes racistes mais nos regards restent fixés entre nos cuisses
P dit (22:48) :
Elles saisissent à nouveau leurs cutters... commençant par fendre vos culottes en longueur, les ouvrants sur vos fentes
Hitomi dit (22:48) :
Je sens et vois sur Ayako le cutter ouvrir le tissu juste au niveau de nos lèvres un geste plus loin et nous serions coupés je suis terrorisée
P dit (22:49) :
On aurait mieux fait de les renvoyer chez eux, ces foutus boat people. Regarde ces salopes... on va leur apprendre à se tenir
P dit (22:49) :
Elles ont fait leur découpe soigneusement... l'habitude? Maintenant, elles font glisser l'autre extrémité du cutter, arrondie, sur vos fentes
Hitomi dit (22:51) :
Elles maitrisent leur arts je comprends qu'elles ont l'habitude de terroriser de pauvres f comme nous que m'arrive t'il pourquoi suis je là j'ai envie de pleurer
P dit (22:51) :
Après avoir joué un peu ainsi, elles finissent de découper vos culottes, jetant les restes de cote... ca vous dirait, les gouines, de vous branler sur nos matraques?
Hitomi dit (22:52) :
Mes yeux suivent sur la vulve d'Ayako le jeu pervers de la f puis je vois enfin son sexe je suis surprise et troublée de regarder ainsi un sexe de f puis j'entends les deux f flics j'ai un mouvement de refus
P dit (22:53) :
Elles ricanent : regarde, elles s'en frétillent d'envie, ces salopes... on va leur faire plaisir... elles détachent leurs matraques de leur ceinture, et les enduisent d'une sorte de lubrifiant
Hitomi dit (22:54) :
Je sais qu'Ayako voit mon sexe autant que je vois le sien je vois les matraques d'une taille importante je comprends qu'elles vont nous violer de nouveau je gémis en me débattant
P dit (22:55) :
Avec le bout de la matraque, elles commencent à frotter votre toison, vos lèvres intimes... puis elles commencent à les enfoncer doucement
Hitomi dit (22:56) :
Je sens la matraque grosse frotter entre mes lèvres mon sexe offert je vois la matraque appuyer sur celui d'Ayako puis je sens la pression pour dilater mon vagin je me cambre en regardant l'autre matraque s'enfoncer dans le sexe d'Ayako
P dit (22:56) :
C'est super, ton lubrifiant, ca glisse bien, t'as trouve ça où ? - je l'ai pique a un type qu'on avait arrêté... tu vas voir, ça a une sorte d'effet chauffant, ca va les démanger de se faire ramoner la chatte, ces deux la
Hitomi dit (22:57) :
Je sens en moi la matraque progresser je vois la taille en face dans le sexe d'Ayako elle s'enfonce aussi je ressens soudain une chaleur dans mon vagin que m'arrive t'il je vois le même trouble en face
P dit (22:58) :
Les matraques s'enfoncent en vous... commençant à aller et venir au même rythme... glissant facilement, mais avivant cette sensation d'échauffement, d'excitation de votre intimité...
Hitomi dit (22:59) :
Les matraques s'enfoncent plus facilement que je n'aurai cru mon regard vois l'objet s'enfoncer dans le sexe d'Ayako qui luit je ressens la même chose mon sexe brûle et coule sous ce viol à la matraque
P dit (23:00) :
Elles s'arrêtent un moment, laissant les matraques enfoncées en vous, vous ordonnant de serrer les cuisses pour les garder. Et elles détachent de leurs oreilles leurs boucles d'oreilles à clip... pour les poser sur vos tétons
Hitomi dit (23:01) :
J'ai chaud mon sexe mouille la matraque en moi je sens que j'ai envie mais c'est impossible la matraque dans le sexe d'Ayako m'excite je suis perdue je ne comprends plus
P dit (23:02) :
Elles reprennent leurs matraques et continuent ce mouvement de va et vient... en face de toi, Ayako commence à se trémousser, elle aussi le regard noyé... te fixant avec fascination... gemissant... de plaisir???
Hitomi dit (23:04) :
Les clips se referment sur mes mamelons tendus la douleur se transmet dans mes seins jusqu'à mon sexe le mouvement reprends j'halète dans mon bâillon je regarde Ayako qui ondule comme si elle prenait du plaisir quelle honte ...
P dit (23:04) :
ca devient quasiment une certitude maintenant... elle ondule de tout son corps... laisse échapper des râles a travers le bâillon... se tend par à coups...
Hitomi dit (23:06) :
Ayako se crispe sur la matraque son sexe luit la f la sort complètement avant de lui enfoncer profondément et Ayako se cambre de plaisir je le vois et cela me trouble moi aussi mon sexe est en feu mes seins me renvoient des vagues de plaisir je résiste
P dit (23:07) :
Les deux femmes regardent Ayako : je t'avais dit qu'elles aimaient ca, ces putes jaunes... et toi, tu fais ta fière? Tu préférerais qu'on te l'enfonce dans le cul, hein?
Hitomi dit (23:08) :
Je vois le sexe d'Ayako ouvert réclamant je transpire je sens le plaisir en moi mais je refuse de l'accepter puis la menace me fait horreur et ça se lit dans mes yeux
P dit (23:08) :
Elles ricanent : regarde comme elle en a envie... t'inquiète pas, ma salope, en prison t'auras tout le temps de te faire enculer par les negresses
Hitomi dit (23:09) :
Leurs plaisanteries sadiques m'indiquent la destination et je comprends que là-bas ce sera pire moi qui suis vierge par derrière j'imagine le pire
P dit (23:11) :
La fourgonnette commence à ralentir, les h annoncent que vous arrivez au centre judiciaire.
P dit (23:11) :
Du coup, les f rangent leurs matraques, retirent les pinces de vos tétons... reboutonnent - à peine - vos chemisiers
Hitomi dit (23:12) :
Ayako continue de se trémousser visiblement avec l'envie de jouir les pinces nous quittent mes les seins restent pointés elles remettent nos jupes sur nos sexe nus en feu dégoulinant
P dit (23:13) :
Peu après la camionnette s'arrête dans une des arrières cours du centre judicaire (commissariat, comité de sécurité morale, tribunal, prison...). Elles vous détachent de vos bancs et vous font sortir, menottées et bâillonnées
Hitomi dit (23:14) :
Elles nous poussent nous deux encore sous le choc du viol nue sous nos vêtements et surtout les chattes en feu frustrées
P dit (23:15) :
Les chemisiers à peine reboutonnés, l'impression d'être presque seins à l'air... les h et les f vous conduisent tous les 4 vers une petite salle de tribunal
Hitomi dit (23:15) :
Elles nous poussent je sens l'air sur mes seins tendus le souvenir des clips sur mes mamelons
P dit (23:16) :
Vous allez être mises en examen... un détenu sort encadre par deux gendarmes, tout juste condamne... on vous fait avancer a votre tour vers le box des accuses
Hitomi dit (23:17) :
Les baillons toujours sur la bouche impossible de nous défendre nos regards se croisent paniquées
P dit (23:18) :
Les f fixent au sol deux sortes de barres en T, la petite poutre verticale à hauteur de vos aisselles. Les h vous y poussent vous faisant passer les bras autour, poignets ainsi retenus en arrière, la barre poussant entre vos bras et votre dos
P dit (23:20) :
Ensuite, elles fixent vos chevilles à des anneaux du sol, jambes écartées
Hitomi dit (23:20) :
Ils nous attachent sur ces T comme des condamnées dangereuses. Immobilisées les bras dans le dos
P dit (23:20) :
Dans cette position qui vous cambrent, tes seins semblent près à sortir du chemisier a peine boutonné
Hitomi dit (23:21) :
De nouveau ils écartent nos jambes et les fixes jambes écartées bras an arrière penchée en avant je subis une position humiliante
P dit (23:21) :
Les gardiennes se mettent debout derrière vous, comme pour vous surveiller
Hitomi dit (23:22) :
Impossible de bouger je sens mes seins visibles
P dit (23:22) :
L'inspecteur se tourne vers le juge et demande une procédure de MOF
Hitomi dit (23:22) :
Nous ne comprenons pas le terme mais ne pouvons pas parler de toute manière
P dit (23:23) :
Le Maintien à l'Ordre Force : pour les prévenus particulièrement agités, violents, insultants, il peut être décidé d'examiner leur dossier en les empêchant de troubler l'ordre public...
Hitomi dit (23:23) :
Mais nous n'avons rien fait nous ne sommes pas dangereuses !
P dit (23:23) :
L'inspecteur témoigne sous serment que vous avez été violentes, que vous les avez insultés pendant tout le trajet, que vous vous êtes débattues violemment...
P dit (23:24) :
L'agent et les gardiennes viennent contresigner sa déposition
Hitomi dit (23:24) :
Nos yeux s'écarquillent nous ne pouvions pas parler nous avons été violés c'est de l'abus de pouvoir
Hitomi dit (23:24) :
Je croise leur regard un instant dans son œil le vice et le sadisme
P dit (23:25) :
Le juge examine alors votre dossier... il lit la lettre, dont vous découvrez le contenu avec stupeur...
P dit (23:25) :
Il fait passer les photos, vous ensemble, allongées côte à côte, ou vous tenant par les épaules...
Hitomi dit (23:25) :
Je reconnais les photos mais il n'y a rien de mal
P dit (23:25) :
Autant d'attitudes innocentes mais qui semblent soudain vous accuser irrémédiablement, à leurs yeux
P dit (23:26) :
Finalement, le juge tranche : pas la peine de perdre du temps avec un procès, on peut constater le délit
Hitomi dit (23:26) :
On gémit toutes les deux dans nos baillons
P dit (23:27) :
Les accusées sont condamnées à 18 mois d'emprisonnement, dont 12 avec sursis. La peine est commuable en TSP.
Hitomi dit (23:27) :
J'accuse le coup 18 mois alors que je n'ai rien fait
P dit (23:27) :
Le jugement est rendu, les gardiennes vous détachent pour vous entrainer
Hitomi dit (23:27) :
Nous sommes effondrées on se laisse guidées
P dit (23:28) :
Les Travaux en Situation Privative sont une possibilité d'effectuer votre peine en travaillant pour un employeur prive, particulier ou entreprise, qui prend a sa charge votre hébergement. Une mesure qui permet de vider un peu les prisons...
P dit (23:29) :
La mesure ne s'applique pas aux condamnes pour crimes, délits graves... et normalement, pas non plus à celles qui sont supposes avoir un comportement violent...
P dit (23:30) :
En attendant, on vous emmène directement vers les cellules...
Hitomi dit (23:30) :
Dans les couloirs nous sommes trainées comme deux fantômes qui ne comprennent rien à ce qui leur arrivent
Par Hitomi - Publié dans : L'Erreur Judiciaire (online)
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